Les cendre du Phénix, Acte 1 - La traque de la mandragore

Stefano Mandragora n'était pas le parrain d'une grande famille de la mafia, mais il restait un homme très important, voir incontournable, du milieu. L'homme avait une stature et une carrure imposante, mesurant plus de 2 mètres, et pesait facilement entre 200 et 300 kilos. Il était né albinos, aussi il avait une peau parfaitement blanche, ainsi que des cheveux blancs et des yeux pâles. Il avait les cheveux mi-longs, brillant et plaqués ainsi qu'une petite barbiche. En plus d'être né albinos, Mandragora était né avec des facultés bien particulière : une force exceptionnel et un résistance hors du commun. Même les balles avaient du mal à pénétrer sa peau. Cela lui avait valu dès sa jeunesse à Gotham à Little Italy une réputation de brutes efficaces. Les mafieux se servaient alors de lui pour effrayé les commerçants, les règlements de comptes, la torture... Il avait rapidement monté en réputation et en richesse et s'était forgé sa propre société au sein du crime organisée. Les familles faisaient souvent appelle à lui, notamment dans l'assassinat, où il s'était forgé un solide réseaux de tueur à gage discret et efficace.


Son plus gros coup remonté à un peu plus d'une quinzaine d'année. Il s'était alors associé à un certain Santo Cassamento, chef d'une famille de la Cosa Nostra de Gotham qui s'était fait ruiné par une association des quatre autres familles de la mafia, tous mené par Salvatore Bertinelli. Il s'est alors vengé des années plus tard en engageant Mandragora pour le meurtre du fils de Salvatore, Franco Bertinelli. Omerta the Silencer avait alors été choisis par Stefano Mandragora pour mené à bien sa mission. Toute la famille, ou presque, avait péri. Jusqu'à ce qu'on découvre des années plus tard que la fille Bertinelli, Helena, avait survécu et avait fui en Sicile. En homme consciencieux, Mandragora avait alors envoyé des hommes sur l'île italienne pour finir le travail, alors que la fillette était devenu une adolescente de 16 ans. Mais contre toute attente, ils échouèrent. Le terrain était sans doute favorable aux siciliens. Il n'avait depuis lors plus rien tenté contre la jeune fille, désormais adulte, pour le moment. Il avait d'autres affaires en cours, plus importante.

Ce soir là, dans son entrepôt personnel, il recevait un jeune homme, le fameux Red Hood, pour une livraison d'arme. Le gamin avait un don pour trouver des armes bons marchés, et cela intéressait fortement Mandragora. Le mafieux avait trouvé un mystérieux nouvel associé, qui se faisait appelé Fenice, qui serait sans doute très intéressé par cette cargaison. Stefano sentait toujours quand le vent tournait dans une direction et s'arrangeait la plupart du temps pour se trouver dans le camp du plus fort. Les Falcone étaient actuellement la famille mafieuse la plus influente du marché, mais ce, ou cette (les rumeurs laissaient entendre qu'il s'agissait d'une femme, ce qui était assez inédit dans le milieu), Fenice était très doué en affaire, et charismatique. Fenice avait pénétré le marché gothamite avec le soutiens de la famille Cassamento, d'ancien allié de Mandragora. Il était donc temps pour lui de renoué avec ces siciliens et de se faire de nouveaux amis.

Il était accompagné par The Blond, qui faisait office semble-t-il de garde du corps. Christopher Castillo de son vrai nom, il avait hérité de son pseudo à cause de sa chevelure parfaitement blonde, chose assez commune dans le milieu de la mafia méditerranéenne. C'était un assassin comme seul la mafia sicilienne savait en produire. Silencieux comme une tombe, pratiquant l'omerta avait un professionnalisme à tout épreuve, The Blond avait un arsenal satisfaisant. Cela faisait des années qu'il faisait ce métier, et son plus haut fait remonté à une époque où il fréquentait Catwoman. Mandragora avait fait de lui un contact de choix dans son camp et avait fait appelle à lui pour cette soirée. Red Hood était imprévisible et incontrôlable, en plus d'être terriblement efficace pour éliminer les criminels, il fallait donc jouer avec prudence et parcimonie.


« Red Hood, mon ami ! S'exclama Mandragora, les bras écarté comme pour le serré dans ses bras. J'espérais bien que tu ne me fasses pas faux bond ce soir. Un nouveau joueur s'est emparé des reines de l'échiquier, et tu ne voudrais pas le décevoir, n'est-ce-pas ? Allons-bon, voyons ce que tu as pour moi cette fois-ci.

Stefano Mandragora se dirige alors vers la cargaison de Red Hood. De nombreuses armes assez sophistiqué, davantage que ce qu'on peut trouver sur le marché italien habituellement, sont présentés ici. Les yeux du gros criminels brillèrent alors comme s'il avait découvert le trésor de Rakam le rouge. Il fait alors signe à ses hommes de lui amener ses mallettes. Il en pose une sur une caisse et l'ouvre, laissant paraître plusieurs liasses de billets verts tout frais, qui sortait à peine de la banque. The Blond de son côté, restait passif plus en arrière, dans l'ombre, a observé la scène. Mandragora referme alors la mallette et s'en saisit pour faire l'échange en main propre avec le Red Hood.

« Tu sais que je tiens toujours mes engagements. En revanche... Fenice m'a demandé de me débarassé de tout les « bat-machins » dans ton genre – il montra alors le symbole sur le torse de Red Hood – et tout ce qui s'y rapproche. N'y tiens pas rancune.

Le sourire carnassier de Mandragora se figea alors, et il frappa violemment le Red Hood avec la mallette métallique. La force prodigieuse du mafieux albinos fit projeter son adversaire plusieurs mètres plus loin, sous le coup de la surprise. Stefano savait cependant que maintenant que le Red Hood était au courant de leurs agissements, les choses se compliqueraient. Le justicier vengeur borderline était réputé dans le milieu pour une agressivité et un talent hors du commun pour se débarrasser des criminels. Mais depuis des années Mandragora avait une réputation de mauvaise herbe impossible à défricher.

« Vous là, prenez la caisse et dégagez d'ici. The Blond et les autres, débarrassez-moi le plancher de cette bat-raclure.

« Bien, patron, lui-répondit The Blond.

Mandragora détala alors de l'entrepôt et laissa faire ses hommes, bien en surnombre. Il pénétra dans une camionnette blanche et disparu. The Blond, de son côté, avait sorti un fusil d'assaut et s'apprêta à tirer sur le justicier. Une dizaine d'homme en costume l'accompagnait mais semblait décidé à le laisser poliment porter le coup de grâce. The Blond s'approcha doucement du Red Hood, encore à terre et sonné par le coup puissant de Mandragora. Mais au moment fatidique qui semblait marquer la fin du justicier, un carreau vint dévier le tir, laissant à Red Hood toute l'amplitude pour répliquer.... et il n'était pas aussi seul qui semblait le croire, lui et les hommes de Mandragora.

Depuis quelques temps Jason avait eu de nombreux bon contact dans le milieu des armes, en effet un certains revendeur européen lui vendait de la très bonne qualité à prix cassé. En passant un contrat avec cet homme Jason s'engageait à lui versé 50% de ce qu'il vendait dans les rues, le jeune-homme savait parfaitement à qui il allait s'adresser pour vendre ses armes. Un homme de la mafia qui est monté en grade depuis quelques années venait de lui passer commande pour un stock d'arme dernier cri. Depuis chez lui Jason appelait son contact européen lui indiquant l'heure et l'endroit où il fallait livré les armes, Red Hood se trouvait dans un entrepôt vide pour le moment son stock d'arme prêt de lui.

Quelques minutes plus tard son client arrivait biensure il était bien accompagné, mais pas de quoi impréssioner Red Hood qui était habitué à bien pire. L'homme en question arrivait devant lui, cet homme n'était autre que Stephano Mandragora, un gros plein de soupe albinos mais mâlin. Tout semblait en ordre Jason derrière son masque rouge observait tout les hommes ici présent, lui était seul eux étaient pas moins d'une vingtaine il fallait garder un oeil sur tout le monde. Comme à chaque fois des hommes à lui venait examiné le contenu de la caisse pour vérifier si tout était là ce qui était normal quand on traitait entre criminels.


Mandragora semblait satisfait ce que qu'il avait vu , le mafieux sortait à son tour deux mallettes sans doute remplie d'argent. Le mafieux en posait une sur la caisse et s'approchait de Red Hood pour lui donner la seconde en main propre, ce gros tas ouvrait ses bras comme pour prendre Jason contre lui ce que le jeune-homme s'empressait de refusé.


Du calme on est associé pas amant, Mandragora.


Cependant, Jason n'avait pas vu venir ce qui allait suivre le mafieux envoyait un coup violent de mallette au visage de Red Hood, l'envoyant ainsi valsé plusieurs mère plus loin sans la moindre difficulté. Et comme à son habitude chaque fois qu'il trahissait quelqu'un Mandragora avait la fâcheuse tendance à fuir comme un lâche se mettre à l'abris.

Encore un peux sonner par ce qu'il vient de lui tomber dessus Jason se relevait doucement, Mandragora venait de le trahir ? Il allait en payer les conséquences ce gros tas, on ne la met pas à l'envers à Red Hood aussi facilement et sans conséquences. A peine qu'il ai commencer à se lever le garde du corps de mandragora arrivait vers lui avec un fusil d'assaut prêt à se debarasser de Red Hood. Cependant, le jeune homme fût sauver par un carreaux d'arbalète qui déviait le tire du blond lui laissant l'occasion de répliquer.

En se levant Jason sortit son arme de poing, un desert eagle et dans le même élan il collait son canon au visage du blond et lui ouvrait la cervelle. Les hommes présents ouvraient tous le feu, courant à l'abris Jason répondait à leur tire les tuant chacun leur tour d'une balle dans la tête. Seul il n'aurait aucun mal à les tuer tous, en lâchant un fumigène Jason passait par dessus sa baricade profitant de la fumée il les tuait tous sans exception.

Après la bataille il se releve et e mis à parler.

Qui que tu sois tu peut te montré les méchants son partit.

Le couloir paraissait immense. Le parquet en bois était brillant, bien entretenue. Les meubles étaient anciens, d'origine italienne sans nul doute, et paraissait comme neuf. Plusieurs portraits de famille étaient accrochés le long des murs. Des peintures, des photos en noir et blanc... l'évolution des méthodes pour capturer un portrait était visible. Tous avaient été des Don, des parrains de la Cosa Nostra, la plupart en Sicile. Seul les derniers portraits avaient été gothamites. Des siècles de criminalités, de trafique, de richesse obtenue sur le dos de pauvre gens... étaient fièrement accrochés au mur, démontrant un certain narcissisme, mais également une grande fierté, de la part des propriétaires de la demeure. Il y avait également quelques symboles catholiques, assez rares en terres majoritairement protestantes, mais les siciliens n'étaient pas du genre à renier leurs origines religieuses. Associés le Seigneur et la l'Église à tant de criminalité relevait de l'hypocrisie mal placé, presque blasphématoire.

C'était dans ce contexte, dans ce lieu, que Helena progressait. Elle avançait le long de ce couloir doucement, à pas feutrés, évitant chaque coin de parquet qui risquait de grincer et donc de faire le moindre bruit. La furtivité était le maître mot ici. Elle n'était pas très lourde, aussi elle comptait là dessus pour l'aider dans sa progression furtive. Sa cible était un jeune garçon, d'origine sicilienne, fils d'un chef mafieux. Elle en était persuadé, il se cachait là, quelques parts. Elle avait cherché dans toute la demeure déjà, enfin presque. Elle n'avait plus beaucoup de temps, le compte à rebours était presque finis. Si elle ne le retrouvait pas dans les minutes qui venaient, les conséquences serait terrible pour elle. Et la jeune fille ne pouvait se le permettre. Il était hors de question qu'elle échoue encore à cet exercice. Elle remarqua cependant qu'un objet de décoration avait été déplacé et, dans la précipitation, n'avait pas été remis à sa place. Hel s'avança de plus en plus doucement, et ouvrit la porte d'un placard.

«  Trouvé ! Fit-elle à l'intention de Pino, son grand frère.  Cette fois, c'est moi qu'est gagné.

Pino Bertinelli fit la mou. Il s'était bien contorsionné pour rentré dans le bas du placard, mais cela n'avait pas suffit. Sa sœur ne gagnait pas souvent à cache-cache face à lui, elle n'avait pas le flair d'un fin limier, mais cette fois il devait s'avouer vaincu. Cette dernière était fière de cette victoire et n'hésitait pas à le montrer, pour énerver davantage Pino. Ce dernier sortit de sa cachette de fortune et s'en alla compter. C'était ainsi au tour de Helena de se cacher de son frère. La demeure était grande, mais la sicilienne soupçonnait Pino d'avoir un flair de chien car il arrivait à la trouver chaque fois. Mais cette fois, elle comptait braver un interdit pour remporter une victoire nette et définitive. Se cacher dans un lieu qui avait été interdit d'accès par leur père, Franck Bertinelli. Elle se dirigeait ainsi avec hâte vers son bureau. Leur père était de sorti et donc ne risquait pas de la surprendre. C'était l'occasion ou jamais...


Stefano Mandragora. Cela faisait des années que Helena Bertinelli n'avait plus entendu ce nom. Il était en grande partie responsable de la mort du couple Bertinelli et de leur fils, Pino. Il s'était ainsi associé au principal rival de la famille de Helena, Santo Cassamento. Mais ce dernier n'avait plus assez d'influence, à l'époque, pour provoquer un tel attenta à l'encontre de la famille mafieuse la plus puissante de Gotham. Il s'était donc associé à une crapule comme Mandragora pour ce coup d'éclat. Si les désirs de vengeance de Helena était toujours aussi vif, malgré les années, contre Cassamento, elle n'avait jamais oublié le nom de Mandragora. Cette crapule ne sortait pas souvent de son repère de bandit, mais cette fois, l'intrépide justicière comptait bien lui tombé dessus. Elle avait eu des informations sur un trafique d'arme qu'il serait en train de négocier en personne.

L'entrepôt en question était évidemment dans le quartier portuaire de l'East End. Helena observait attentivement les lieux. Elle savait Mandragora vicieux et imprévisible, elle s'attendait à tout type de piège de sa part. Il était également du genre très prudent. Malgré sa constitution particulière, le laissant à l'épreuve des balles notamment, il ne prenait que rarement des risques par lui-même. S'il sortait aujourd'hui, c'était qu'il préparait un genre de mauvais coup. Mais Huntress ne risquait pas de se laisser impressionner par ce type. Elle le recherchait depuis des années, elle était aujourd'hui si proche de son but qu'il était hors de question qu'elle abandonne. Elle observait ainsi attentivement les environs, et remarqua deux hommes de main sur les toits d'en face, observant avec des jumelles l'entrée et les alentours. Elle tira avec une précision chirurgicale ses deux carreaux d'arbalète assommantes. La voie était désormais libre, semblait-il.

Elle se dirigea alors vers l'intérieur. Discrètement, elle progressa dans le gigantesque hall de l'entrepôt, qui avait l'avantage d'être suffisamment sombre pour qu'elle soit camouflée. Elle utilisa ensuite son grappin pour monter sur un genre d'engin qui permettait de déplacer des containers, et qui semblait avoir été délaissé ici. L'appareil était de toute façon en si mauvaise état que Helena doutait qu'il puisse encore servir à quelques choses. Elle observa alors pour la première fois la scène centrale. Il était là, Stefano Mandragora, les bras en l'air, discutant avec... le Red Hood ? Huntress tiqua en voyant le costume si particulier du membre le plus dissident de la batfamily. Elle le savait très borderline sur la criminalité, mais de là à traiter avec une crapule comme Mandragora... Elle hésita alors à agir. Peut-être que Red Hood avait un plan, qu'il faisait cela pour piéger l'italien. Mais elle plus elle attendait, plus elle était plutôt persuadé de l'inverse.

Tout à coup, Mandragora frappa un grand coup sur Red Hood. Alors que Helena s'apprêtait à tirer sur le mafieux, un homme de main surgit de derrière elle et la désarma. Elle se débattit alors pour prendre le dessus, et lui fit une prise qui le fit passer au dessus d'elle et le fit tomber au sol, quelques mètres plus bas, avec un bruit sourd. Cependant, aucun de ses collègues n'avaient remarqué la bagarre, car ils étaient occupé à suivre les nouveaux ordres de leur Don. L'un de ses assassins, The Blond, s'apprêtait alors à tirer sur le Red Hood. Huntress ramassa rapidement son arbalète et tira sur l'arme du blondinet, le désarmant au moment fatidique. La réaction du bat-justicier ne se fit pas attendre. Il saisit ses armes et canarda tout ceux qui était face à lui. Sans aucune pitié. Lorsque Huntress s'avança vers lui, elle fit face à un véritable carnage. Elle jura intérieurement. The Blond était un proche de Mandragora et savait sans nul doute où il se terrait.

«  Les mafieux sont partis, et Mandragora avec. Et en plus, il a embarqué tes armes. The Blond savait sûrement où il se terrait, tu aurais pu éviter de l'assassiner, fit Huntress avec un soupçon de reproche dans la voix.  Je ne sais pas à quoi tu pensais en faisant affaire avec la mafia. Batman te fait confiance, la moindre des choses serait d'éviter les types horrible comme Mandragora.

Helena se mit alors à réfléchir à ce qu'elle pouvait faire pour rattraper la bourde de Red Hood. Elle avait assommé trois hommes de mains, peut-être avait-il des informations ? Elle en doutait fortement. Et il faudrait attendre un moment avant qu'ils ne se réveillent. Les carreaux-assomants qu'elle avait utilisé pour les assommés étaient assez puissant. Elle fouilla alors The Blond à la recherche d'éventuels indices qui l'aiderait dans ses recherches. Elle trouva un bel arsenal d'armes et équipements en tout genre. Il possédait le kit du parfait assassin, elle s'attendait presque à trouver un bouquin « Tueur à gages POUR LES NULS ». Elle trouva également un smartphone, malheureusement protéger par un code qui lui serait difficile de craquer par elle-même, sans outil. Mais elle connaissait un endroit qui pourrait peut-être l'aider.

«  Allons à la tour de l'horloge. J'ignore si Oracle s'y trouve, mais son équipement pourra nous servir à craquer ce truc. The Blond était un proche de Stefano Mandragora, on aura sûrement des informations sur son téléphone qui nous seront utiles. De toute façon, c'est la seule piste que j'entrevois.

Huntress n'était pas Batman, qualifié, à raison, de meilleurs détective du monde. Elle n'avait ni le niveau d'intelligence de Red Robin, ni les capacités extraordinaire d'Oracle. Mais elle savait flairer une piste, et s'y tenir. Les proies qu'elle chassait ne lui filait pas très longtemps entre les doigts. Mandragora était sans doute la proie la plus importante qu'elle avait à traquer ses dernières années, et la seule piste qu'elle avait pour le trouver, elle la tenait entre ses mains. Il était hors de question qu'elle abandonne maintenant. Si Red Hood voulait partir et abandonner ses armes au mafieux, c'était son choix, mais elle savait que ce n'était pas dans son tempérament. Aussi, elle espérait avoir de l'aide dans son entreprise. Car même si elle avait l'habitude de travailler en solo, ce n'était clairement pas ici son intérêt.