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[Washington D.C] Des petits mots pleins d'aigreur [Waller]

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[Washington D.C] Des petits mots pleins d'aigreur [Waller] Ven 14 Juil 2017 - 11:31

Il l'avait fait...Il avait réussi à le faire, c'était aussi invraisemblable qu'inadmissible...mais contrairement au dernier visiteur de la Maison Blanche, celui-là ne venait pas, pour une fois, semer le chaos et le trouble. L’Épouvantail s'était invité dans la nouvelle demeure de la monstrueuse Waller. Et alors quoi ? Il était de la Squad et Waller était de facto sa patronne, combien d'employés seraient travailleur au point de se rendre chez leur patron pour leur faire part d'informations valant leur pesant ? Crane avait donc agi vite et bien...Depuis la dernière incursion non-autorisée sur la Maison Blanche, les mesures de sécurité avaient été multipliées pour défendre la leader controversée du Monde Libre...Si seulement ils savaient ce que Crane savait...

L'Homme de Paille fit donc son entrée dans la Maison Blanche en tant que simple touriste, son physique rajeunit lui permit de passer entre les mailles du filet, se faisant passer pour un étudiant, il commença alors la visite guidée de la maison présidentielle avant de semer le groupe et s'enfoncer dans une zone plus restreinte, comme le mess des U.S Marines qui assuraient la protection des ailes adjacentes, il s'empressa de gazer tout ce petit monde avec un gaz anesthésiant diffusé par la ventilation. Ils retrouveraient leurs esprits dans les dix minutes sans se souvenir de quoique ce soit. Direction l'Aile Est, siège des Services Secrets et du Bureau Ovale. Il procéda d'une façon similaire, diffusant le même gaz anesthésiant dans les conduits de ventilation. Une fois l'élite de la sécurité américaine mise hors d'état, Crane pénétra le Bureau Ovale. Il y attendait patiemment sa patronne, assise sur un des magnifiques divans, songeant à toutes les personnes qui avaient siégés dans cette salle avant lui, présidents, acteurs, chanteurs, politiciens, militaires...et maintenant, un maniaque psychopathe qui s'habile en épouvantail...Si seulement les murs de cette pièce pouvaient parler...
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Re: [Washington D.C] Des petits mots pleins d'aigreur [Waller] Ven 14 Juil 2017 - 17:36

Il y'a une Maison à Washington - On dit qu'elle est Blanche.
Et elle a été la ruine de beaucoup d'hommes et de femmes qui s'y sont présentés, porteurs d'espoirs rapidement déçus.


Et elle vient de subir l'attaque d'un de ces hommes, d'ailleurs. Victor Sage, ou Question, à réussi à s'enfuir avec des infos très compromettantes grâce au soutien de quelques taupes. Il a endommagé une partie du bâtiment en se faisant, et s'est permis de blesser du personnel. Il est donc facile d'attribuer son massacre comme l'acte fou d'un terroriste, fâché avec le pouvoir actuel et capable de déployer des armes pour tenter de renverser le pouvoir en place.


Mais il est impossible de l'établir comme tel, pas avec les informations prises. Il faut retrouver et tuer Question, où la stabilité du gouvernement pourrait en pâtir. Waller trône donc au sein de son bunker, observant l'opération actuelle de la Suicide Squad avec plaisir. En dépit de quelques troubles causés par Faora et Razer, les rebelles sont écrasés. Elle sent déjà son speech à faire sur la capture dangereuse de terroristes à pouvoirs.


Tout va bien pour elle, c'est pour ça que la situation se doit de virer au chaos, un agent de sécurité se dirige vers elle, lui signalant une autre invasion troublante. Plusieurs membres du gouvernement et quelques touristes avaient été assommés par un gaz anesthésiant, et une figure trônait au centre du bureau oval. L'épouvantail, un membre de la Suicide Squad qui avait "disparu" pendant plusieurs jours. Elle savait où il se trouvait, bien sûr, les nanos-bombes avaient des trackers, mais elle l'avait laissé faire.


Il n'avait donc pas pris la peine de la contacter directement ? Elle reconnaissait bien là les criminels de Gotham. Intelligents mais excessivement flashy et incapables de faire quoi que ce soit sans tenter de s'établir en maîtres. 


Elle fit un signe de tête à un membre en particulier de sa cohorte, puis se leva.


--


La porte du bureau ovale s'ouvre après seulement une minute, révélant Waller et un océan humain de soldats équipés d'armes et de masques à gaz dernier cri. Pourtant, c'est la présidente seule qui marche au centre de la salle pour observer son adversaire droit dans les yeux, se dirigeant vers un placard près de la cheminée pour y attraper une bouteille.


Je devrais vous faire exploser la cervelle, Crane. Il n'aurait fallu qu'un seul soldat avec un masque à gaz pour se faire.


L'alcool coule dans le verre, de façon modérée.


Je tiens à vous prévenir. Mon temps est limité, ma patience aussi. Si vous n'avez rien à dire d'important, vous mourrez. J'espère que vous avez préparé un discours.
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Re: [Washington D.C] Des petits mots pleins d'aigreur [Waller] Sam 15 Juil 2017 - 19:00

Dés que la porte s'ouvrit, Crane leva les mains, Waller entra la première, suivie d'une armée équipée de tout le nécessaire pour assurer la protection de sa volumineuse personne. Dés qu'elle fût entrée, ait craché ses menaces et se servit un verre d'un délicieux alcool en carafe. L’Épouvantail, ne portant que son costume deux pièces et son masque de jute juvénile, s'approcha de la porte avec toute la force d'assaut et ferma la porte du bureau ovale. Un des pions de Waller interposa son pied entre la porte et le mur, Crane releva la tête et d'un geste vif, décrocha la goupille d'une des grenades de sa ceinture avant de le pousser afin de fermer la porte et de la maintenir fermée avant qu'un boom étouffé par des murs d'un mètre d'épaisseur ne retentisse de l'autre côté de la porte.

- Navré pour ce désordre, je devais vous parler en privé...Quant à ces vies...Dites que c'est un attentat perpétré par le Batman qui a convaincu un de vos agents de sécurité de s'en prendre à vous avant que le brillant sacrifice de la majeure partie de son escouade ne vous sauve d'un attentat suicide...Mais assez parlé d'alibis...Je n'ai pas un discours à vous transmettre mais bien mieux...Je suis venu vous remettre ceci...Dit-il en sortant un microfilm de sa poche.

Il se dirigea vers l'ordinateur de Waller, situé dans le bureau. Il lançait parfois quelques regards envers la présidente, conscient qu'elle pouvait lui faire sauter la tête mais il espérait que la curiosité de Waller et son pragmatisme pour les pertes humaines seraient suffisants pour sauver sa peau. Il ouvrit les fichiers sur l'écran holographique de la Maison Blanche, montrant des enregistrements de la cellule blanche dans laquelle le criminel avait enfermé le jeune Damian Wayne durant des semaines. Il lui avait préparé une petite compilation des meilleurs moments de sa captivité. La voix de Damian résonne dans les microphones, les enregistrements remontent à plusieurs jours après le début de sa captivité.

"Père, Dick, Barbara, Jason, Cassandra, Tim, Alfred, Stephanie, Helena,Père, Dick, Barbara, Jason, Cassandra, Tim, Alfred ,Stephanie, Helena. Je sais Johnny, ils ne viendront pas ! Je dis leurs noms pour ne pas oublier. Pour ne pas sombrer. Ne me juge pas ! Je suis pas fou ! Je sais que je parles à un squelette...C'est pas vrais.... Vous ne le pensez pas. Barbara... Pas toi, je t'en pris... Tu as toujours été... VOS GUEULES ! JE SERAI LE PROCHAIN BATMAN, PAS VOUS. PAS TOI DICK, NI TOI TIM... MOI"

Crane affiche un sourire sadique sous son masque, se délectant des échos de la souffrance du jeune garçon, avant de mettre en pause l'enregistrement et de s'adresser à Waller.

- Vous ne vous y attendiez pas à celle-là, pas vrai ? Voilà la raison de mon absence, j'ai...fais usage de mes talents à un tout autre niveau, le plus efficace comme vous pouvez le constater...Quelques jours en mon pouvoir et il a craqué sur les noms...J'ai remonté la piste, lentement et j'ai découvert...une liste assez longue d'alliés de Batman ainsi que son identité véritable...Mais...je suppose...que c'est un fait que vous savez déjà non ? Je peux le lire dans votre regard, je suis psy avant d'être un dangereux criminel...Cependant...le plus beau reste à venir...

Crane continue d'accélerer les enregistrements de plusieurs semaines. Montrant Damian Wayne au bout du rouleau, murmurant sa haine de son père et de ses anciens amis, de sa volonté de mourir, de disparaître puisqu'il ne pourra ni s'échapper, ni rester vivant après un tel échec...C'est alors que la porte s'ouvre et que la caméra change pour le montrer prendre ses armes et se quitter les lieux, puis une caméra piratée, située à Crime Alley, montrant un combat opposant le père au fils. L'oeuvre de Crane.

- Vous voyez ? Je suis un créateur de monstres...Je manque de détruire Gotham à moi seul et je contribue à votre campagne de haine envers les justiciers en poussant Martian Manhunter à tuer des civils innocents...Je kidnappe Damian Wayne...Robin...Et je contribue à la destruction de Batman en l'opposant à son propre fils via un superbe lavage de cerveau, sans parler d'un petit conditionnement maison qui fera des merveilles lorsqu'il reviendra à moi...Ceci n'était que des hors-d'oeuvre, madame...Je vais avoir besoin de votre aide pour le vrai travail...Si vous voulez que je procède d'une façon similaire au reste des alliés de Batman...

Le plan se dévoilait peu à peu et Crane comptait une fois de plus sur le pragmatisme de Waller.
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Re: [Washington D.C] Des petits mots pleins d'aigreur [Waller] Dim 16 Juil 2017 - 19:44

Waller savait très bien ce que l'Epouvantail avait fait... enfin, d'une certaine manière. Elle avait traquée sa position via les nano-bombes dans son corps, et savait donc qu'il était surtout dans son laboratoire, mais elle n'avait jamais intimée aux agents du gouvernement postés tout prêts de s'occuper du cas de Crane, vu que plusieurs évènements plus importants s'étaient occupés de la distraire.


Etablir son pouvoir sur Gotham, pourchasser les métas, surveiller la JLI, s'assurer que Faora ou Razer ne partent pas et détruisent l'Amérique en revanche, garder un oeil sur Batman et ses objectifs, gérer la future menace du Martian Manhunter corrompu, vérifier la position des New Bloods pour les punir efficacement, pourchasser Question, Metallo et le Balkan, s'assurer de vomir des mensonges à la presse, réparer les dégâts causés à la Maison Blanche.


Sa dernière tâche n'allait pas être réglée de si tot, vu que l'Epouvantail venait de faire exploser son unité d'élite. Waller claqua silencieusement des doigts, et se prépara seulement à effectuer le geste fatal pour faire exploser Crane. Il avait son micro-film en main, ceci dit, et ne semblait pas prendre d'action hostile envers elle, autant le laisser faire et voir ce qu'il préparait. Dans le pire des cas, elle avait des ressources pour l'écraser.


Mais il était clair qu'il payerait. Elle n'avait aucun sentiment pour les soldats mais laisser L'Epouvantail impuni pour son acte serait de la faiblesse. Il faut de la force pour garder les criminels sous sa botte.


Le micro-film montre les expériences de Damien, Waller observant la scène avec son air antipathique habituel, trahissant toutefois de l'intérêt devant le résultat des expériences. Crane aurait pratiqué ses petites activités sur des civils, elle l'aurait tué, mais briser un Robin était déjà nettement plus intéressant. Ils avaient été entraînés par Batman après tout, et Bruce s'était entraîné pour résister à des tortures chinoises.


Elle le laisse parler, puis prend la décision de communiquer.


Je suis au courant des doubles activités de Bruce Wayne depuis bien longtemps, et je connais bien ces Robins. Bravo pour avoir brisé l'un d'entre eux, mais si vous pensiez m'impressionner avec son identité secrète, préparez vos derniers mots.


Waller n'agit pas encore, pragmatique avant tout, et observe seulement la confrontation entre Damien et son paternel. Pas étonnant qu'il rode près de Crime Alley... son infiltration dans la forteresse de Strange elle aussi n'est pas surprenante, en espérant qu'il se soit contenté de se battre sur le cadavre de ses parents.


Effectivement, il avait donc brisé un Robin. Avec Cassandra Cain, ça faisait deux protégés de Batman "recrutés", Dick Grayson était également en sa possession. Trois des petits oiseaux continuaient de courir mais la chasse se déroulait bien.


Jonathan se vante puis lui demande son aide, Waller le dévisageant avec son air habituel.


C'est très intéressant, Crane. Je ne vais pas vous tuer, pas tout de suite.


Elle claque des doigts... et les bombes s'illuminent avant d'envoyer un choc électrique dans le corps de l'Epouvantail. Pris par surprise, ce dernier ne peut que s'écrouler alors que Waller finit son verre, des agents de sécurité entrant par la porte pour le maîtriser. L'un d'entre eux lève son poing pour conclure le travail.


Mais je me lasse des intrusions coûteuses en personnel. Changeons de lieu et estimez vous heureux d'être en vie.


Le poing s'écrase sur le visage du super-vilain de Gotham.


--


La salle est blanche, large et vide. Une prison gouvernementale générique, en somme.


En se réveillant, Crane peut constater qu'il est directement attaché à une table blanche au centre de la salle, deux vitrines noires l'entourent, masquant du personnel. Il fait froid, mais pas assez pour le frigorifier. Il possède toujours tenue et masque, mais peut dire adieu aux bombes et grenades, il se peut qu'ils aient ratés quelques objets mais la fouille fut précautionneuse.


Une porte en métal s'ouvre à gauche, Waller en sort. Elle n'est pas accompagnée de soldats encore, un signe de confiance excessif, sans doute... ou elle sait que Crane n'est pas une menace tant que les bombes rodent dans son sang.


Cette cellule est potentiellement la dernière chose que vous verrez, profitez de la vue. 


La porte se referme.


J'ai déjà une alliée de Batman en ma possession, et un allié dans une cellule. Si votre vrai plan est assez convaincant, vous aurez le droit de vous... occuper de lui. Mes réponses seront simple. Si votre plan me plait, vous vivez. S'il ne me plait pas, vous aurez droit à un choc électrique supplémentaire. Trois chocs et je vous explose la tête. 


Vous êtes assez intelligent pour me comprendre. Commencez donc.
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Re: [Washington D.C] Des petits mots pleins d'aigreur [Waller] Lun 17 Juil 2017 - 19:18

Crane regarda d'un œil vif et sournois, le visage impassible de Waller lorsque cette dernière lui donna ses réponses vis-à-vis de ce qu'il lui avait montré. Sans trop de surprises, l’Épouvantail n'avait pas vraiment attendu une autre réponse que celle qui lui fût faite, pas la moindre émotion ou le moindre "bravo". Elle afficha clairement son intérêt pour les actions faites et pour le travail fourni par Crane.Et bien entendu, avant qu'il puisse se rendre compte de quoique ce soit, une violente décharge se fit dans sa nuque, le poussant à fracasser le lecteur du microfilm, le détruisant violemment au passage. Un groupe important d'hommes en armes se saisissent du psychologue psychopathe et les derniers mots de Waller lui confirme qu'il a piqué sa curiosité. C'est donc un sourire aux lèvres qu'il vit le poing d'un des commandos de Waller s'abattre sur son visage.

Lorsqu'il émergea dans une pièce presque similaire à celle correspondante à celle qu'il avait enfermé et torturé Damian, Waller eût la "générosité" de lui faire part de ce qu'elle attendait des projets de l'Homme de Paille et dans le cas où cela ne lui plairait pas pour une raison comme une autre...La tête de l’Épouvantail repeindrait les murs blancs en un charmant dégradé de rouge. L’Épouvantail souriait derrière son masque. Il saignait du nez et de la bouche, certes et son masque devait déja avoir déssiné ces détails sous la forme d'un sourire de sang à l'emplacement de sa bouche, ce qui lui donnait une touche Joker, mais au fond de lui, il se félicitait car il avait attiré...non...forcé l’intérêt de Waller, dont peu de choses qu'elle n'avait pas fomenté elle-même n’intéressait guère. Crane commença alors à se féliciter d'avoir détruit le microfilm afin de pouvoir faire usage de son meilleur atout : la ruse et le mensonge. Waller n'aurait plus les moyens de vérifier les dires de son exécutant et Crane était libre de faire appel à ses subterfuges favoris, inutile de préciser qu'un expert en psychiatrie est capable de venir à bout d'un détecteur de mensonges, dans l'éventualité où il serait venu à l'idée de Waller de faire appel à de telles méthodes. Il y a fort à parier que les vitres de chaque coté de la porte ne contenait pas que des agents de sécurité, prêts à trouer la peau de l'Homme de Paille au moindre mouvement suspect...Il prit alors une grande inspiration et commença alors son plaidoyer.

- Inutile d'en venir à de telles méthodes...Vous savez que dans ce domaine, je suis très fort...Avez-vous oublier ce que j'ai fais à Gotham avec un peu de gaz et quelques messages diffusés sur une ville ? Je veux que vous m'aidiez officieusement à reproduire le schéma...Vous avez deux de ses pions en poche, moi aussi j'en ai un...Et je peux vous offrir tous les autres sur un plateau...Nightwing, Red Hood, Batgirl, Batwoman, toute la famille...Et de nombreux héros qui les soutiennent...Je peux tous les avoir d'un seul coup...J'ai..j'ai crée une nouvelle arme...Un nouveau gaz, aussi performant et dangereux que ceux que j'ai utilisé à Gotham...Laissez-moi atteindre leur nouveau bastion, leur cachette d'urgence...Damian, dans son délire, m'a parlé des consignes de sécurité de Batman...Ils se sont terrés un peu partout, certes...Mais il y a un endroit où ils finiront par tous se rendre...Un endroit que je peux atteindre directement...

L’Épouvantail révèle alors la cible de son grand projet à Waller...


- Vous savez qui veille sur cette ville, vous savez qu'il fera tout pour défendre Batman et rassembler ses alliés...Tout ce que je veux, c'est que lorsque cela commencera...Lorsque l'Echo des cris de Gotham arriveront aux oreilles des habitants et des derniers espoirs de la Justice qu'ils dissimulent...Vous déclariez l'état d'alerte et que vous me fournissiez une vaisseau de guerre "volé" afin que je puisse raser la cité...Nous savons tous les deux que la population les aidera et les protégera...Je peux faire disparaître au moins soixante pour cent de la menace terroriste. Si le plan échoue, je serai seul responsable, nous le savons. J'assume mon rôle de bouc émissaire, dites que j'ai détourné le matériel de l'état pour mon forfait...Laissez-moi plonger cette ville dans le chaos, la regarder s'effondrer sur elle-même, admirer ses défenseurs s'auto-détruire et sombrer dans la folie meurtrière, prendre autant d'images que possible avant de pulvériser ce fléau pour le genre humain....Tout est prêt, toute mon opération est organisée, mes...éléments sont prêts à intervenir et à agir...Mes armes sont opérationnelles, fonctionnelles et d'une efficacité bien supérieure à ce que je vous avez vu à Gotham...Tout ce qu'il nous manque est l'organisation de la mascarade pour le peuple...
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[Washington D.C] Des petits mots pleins d'aigreur [Waller]
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