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Les billets assassins. | Les billets assassins. Lun 30 Juin 2014 - 20:08 | |
| Aux Etats-unis, un jour provoque la folie dans les cœurs, un jour, durant lequel le monde lui même semble avoir perdu la tête. Ça hurle, ça court, ça se bouscule, si bien qu'un inconscient croirait sans soucis que la fin du monde est enfin arriver. Ce jour, c'est le Black Friday, un jour où tout le pays, au lendemain de Thanksgiving, propose des soldes incroyables. C'est un jour apprécier par les super-vilains du pays, et pour cause ! Un maximum de civils dans des lieux publiques, de l'argent liquide qui circule dans tout les sens, quel aubaine ! Même si le Black Friday était encore dans plusieurs mois, nombreux étaient les vilains qui prévoyaient diverses plan pour l'occasion. C'était le cas de l'Ultra-Humanite, bien installer au sommet d'une grue surplombant un chantier, en plein cœur de la ville de Belltown. Le gorille blanc, aider de ses jumelles, fixait avec attention un simple et vulgaire distributeur de billets à la sortie d'une banque. Un homme s'approcha calmement, inséra sa carte, et pris les billets avant de repartir. Humanite de son côté, fit un grand sourire un coin, avant de suivre l'homme de ses jumelles. Il partit calmement vers sa voiture, dans une petite rue derrière, une fois installer au volant, il sembla comme pris d'intense bouffer de chaleurs, visible par ses divers geste comme tirer sur sa cravate, ou déboutonner sa chemise. Quelques minutes s'écoulèrent, puis l'homme sortie immédiatement de sa voiture, toussant, les yeux injecter de sang. Il se redressa, bavant à souhait, et partie vers le passant le plus proche, sur lequel il se jeta avec une violence, comme un vulgaire zombie de film d'horreur, cherchant, au sens propre, à le dévorer. C'était donc le test d'Humanite ? Combien de pauvre civils allaient toucher les billets meurtriers ? - Dans la tête du Gorille blanc.:
Black Friday, bon sang que j'aime cette période, et cette années, Metropolis va découvrir une autre facette de ses habitants.
J'ai toujours trouver amusant comment certains films se plaisent à montrer des choses répugnante, inquiétante, que l'humanité pense irréel. Mais ils sous-estiment grandement la science, et plus encore, mon génie !
Bon, je dois le reconnaitre, sur ce coups, je ne suis pas à l'origine de cette trouvaille.
Le sel de bain comme on dis, une drogue incroyable qui rend la douleurs absente, mais plus encore, qui rend l'homme comme dans une transe cannibale, en plus d'accélérer et de déclencher une putréfaction du corps, menant aussitôt à une sorte d'état rappelant à s'y méprendre un zombie ou autre revenant.
(Point culture: Cette drogue existe réellement, attention si vous voyez des personnes agissant de façon étrange et maladroite, bien que consommer essentiellement en Russie, le sel de bain se répand de plus en plus en dehors)
Et c'est là que mon génie entre en scène ! J'ai repris cette drogue, normalement utilisable uniquement par voie Oral, pour en faire une drogue active par contact physique.
Et c'est là que le distributeur va fonctionner, l'homme prend les billets, est contaminer, essai de manger les autres. Si le test de Belltown s'avère concluant, au prochain black Friday, je contaminerait tout les distributeur de Métropolis, cette fois, j'offrirais aux hommes, l’apocalypse de zombies dont ils ont toujours rêver.
Oh, il me tarde tellement de voir les super-nabots dans une situation pareil, tuer les civils ? Ou laisser la ville entière se dévorer sans scrupule ? AHAHAHAHAHAHAHAHA.
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| | Re: Les billets assassins. Mar 1 Juil 2014 - 0:54 | |
| Belltown, une petite ville qui ne paye pas de mine, un coin tranquille dans lequel je n'aurais jamais pensé trouver des traces de mon père. Disons qu'après l'échec de Camelot je me suis pleinement plongé dans toutes les affaires de mon père et c'est là que je compris qu'il savait qu'il était observé et qu'il n'était pas le seul à bénéficier du fruits de ses recherches.
Ce qui me permis de mettre de doigts sur ce fait, vient de la manie qu'il avait de parlé de choses qui lui arrivait personnellement dans ses notes et ce qui me mis la puce à l'oreille est une anecdote concernant une visite que lui et moi aurions rendu à une de ses cousine dans cette ville quelques temps avant mon coma.
Choses rigolote, je n'ai jamais mis les pieds ici auparavant et si mon père avait de la famille dans le coin, je le saurais, en revanche il laissa des information plus ou moins précise sur le fait qu'au domicile de cette soi disant cousine il avait laissé une clé permettant d'ouvrir un coffre dans une banque, du moins c'est ce que j'ai compris en lisant entre les lignes. En me rendant à l'endroit je découvrit que "La cousine" était le nom d'un petit bar à l'air plus ou moins louche, et en entrant à l'intérieur je compris à quel point cela était probablement vrai, mais prenant mon courage à deux mains je me rendit au comptoir et déclara à l'homme derrière ce dernier que je venais récupérer la clé de mon père.
Le type, un grand blond d'une quarantaine d'années et à la bedaine bien pendante, me fit attendre quelques minutes avant de finalement réagir à mes dires et sa seule réaction fut de poser un petit verre contenant une clef marqué par le sceau d'une banque locale. Je saisit ce début de nouvelle piste en le remerciant puis quitta l'endroit en me mettant à la quête de ce lieu.
Je finis par la trouver avec un long moment de recherche et surtout une fois que j'ai osé demander sa localisation à un passant à la mine joyeuse, je rejoignis donc tranquillement l'endroit à pied, j'étais très impatient d'arrivé. Mais alors que je me trouvais non loin de cette dernière, la porte d'une voiture s'ouvrit non loin de moi et le type qui en sortie n'avait pas une gueule de porte bonheurs. Le regard délirant et injecté de sang, ajouté à la bave lui dégoulinant de la bouche, il passait pour un parfait spécimen atteint de la rage ou je ne sais quoi.
Mine de rien sa première réaction lorsque son regard se porta sur moi, fut exactement celle à laquelle on pouvait s'attendre, il se rua sur moi, l'air de vouloir faire de mon son foutu quatre heure. Réagissant certainement aussi instinctivement que lui, je fit un bond en avant et alors qu'il passa dans mon dos, il trébucha sur mon pied ce qui provoqua également ma chute. J'eus juste le temps de me retourner et me recevoir comme je le put avant qu'il ne reviennt à la charge sans même prendre le temps de se redresser. Je mis mes pieds en barrage et le repoussa de toute mes maigres forces avant de bondor à nouveau en hurlant.
- Mais lâche moi espèce de monstre !
Et sans perdre de temps, je me jetais à l'intérieur de la voiture qu'il avait quitté et referma rapidement la portière, ce qui ne l'empêcha pas de se ruer sur moi et de faire valser la vitre comme si de rien n'était en se fracassant dessus et cela ne l'arrêta même pas. Autour de nous des cris paniqué s'élève, alors que le "zombi" s'acharne sur sa propre portière de voiture.
Et bordel encore la chance, faut qu'il y ait une chance sur un million de tomber sur un taré et il faut qu'il soit pour moi. |
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Re: Les billets assassins. Sam 2 Aoû 2014 - 18:58 | |
| (HJ/ Je m'excuse mille fois... j'avais COMPLETEMENT oublié ce sujet ! Merci à Virgil pour me l'avoir rappelé, et désolé pour cette trop longue absence ! /HJ)
L'homme transformé s'acharne sur la vitre de son véhicule, dernière protection actuelle de Virgil. Si la population autour hurle, personne n'ose s'approcher ; lâcheté humaine compréhensible, mais qui n'arrange pas le jeune homme qui n'a définitivement pas de chance dans sa vie à Metropolis.
Cependant, les cris se font un peu moins peur, l'agitation se calme légèrement alors qu'un coup de vent frappe l'avenue dans laquelle se passe la terrible scène.
"Monsieur."
Une voix de tonnerre s'élève derrière l'homme transformé, qui ne s'en occupe guère. Une forme est apparue soudainement, et lévite quelques centimètres au-dessus du sol.
"Monsieur, je ne peux vous laisser continuer."
La main puissante de Superman s'abat sur son épaule, et le soulève comme une plume. Maintenu à bout de bras au-dessus du sol, l'homme transformé essaye de toucher son nouvel ennemi, de se dégager, mais les doigts d'acier sont trop puissants et l'empêchent de tenter toute action agressive. Avec sa main libre, Clark ouvre lentement la porte et offre à Virgil une sortie. Un grand sourire passe sur son visage alors qu'il reconnaît le jeune homme.
"Bonjour. Je vois que votre cuisse va mieux, mais que vous avez le chic pour attirer le danger et les phénomènes étranges. Pour moi, c'est une qualité, si on fait suffisamment attention pour toujours s'en sortir."
Son sourire disparaît cependant quand il se tourne vers l'homme transformé. Sa super-vision le scanne directement, et il n'aime pas ce qu'il découvre. Il comprend immédiatement que l'homme a été infecté par un virus, qu'il ne connaît pas mais qui est en train de modifier son système nerveux et ses réponses instinctives ; un rapide scan de son cerveau montre que la partie de la "raison" n'est pas autant sollicitée que l'aspect direct et bestial, et ça ne lui plaît définitivement pas.
"Sortez du véhicule. Vite."
Sa voix est autoritaire, sèche. Volant toujours, l'Homme d'Acier recule et se tourne vers la foule, faisant des signes avec sa voix libre pour les faire partir.
"Evacuez la zone. Appelez la police et les secours. C'est une alerte sanitaire."
Quelques instants plus tôt, Clark volait au-dessus de Metropolis et sa banlieue, cherchant d'éventuels troubles en ce vendredi si particulier. Il a donc vu l'homme sortir de son véhicule, et se précipiter vers Virgil. Là, il vient de comprendre que l'homme transformé a été infecté, et il ne sait pas encore par quoi ; cependant, la voiture peut comprendre la source de l'infection, et il ne veut pas que la maladie se propage à Virgil ou aux autres habitants. Il faut maintenant agir vite, et efficacement.
"Comment vous sentez-vous ? Décrivez vos sensations, toutes. Même les plus accessoires."
Kent se met à scanner le jeune homme, pour voir s'il n'a pas été infecté lui aussi. Il n'y a aucune minute à perdre. |
| | Re: Les billets assassins. | |
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