[New York] Changement d'air

Le Joker avait décidé de s'éloigner de Gotham, car il en avait assez d'être capturé par son ennemi de toujours, qui n'est autre que Batman.
De plus, les séjours à Arkham devenaient de plus en plus monotone, il lui fallait du piquant, un peu de mouvement dans sa vie, c'est pourquoi il décide de partir pour une grande ville New York avec beaucoup d'habitants. Un des grands espoirs du Joker était que peut être, il n'y aurait pas de héros pour l'arrêter.  
Après un rapide voyage en avion, le Joker arrive à New York bien sur, il avait fait en sorte de se déguiser pour passer incognito auprès des autres voyageurs. Il n'avait pas pu prendre ses armes alors il devait faire sans.
Son plan était simple, il allait kidnapper des civils et les jeter du haut d'un toit pour son seul plaisir mais aussi pour montrer de quoi il était capable. Batman l'avait considéré depuis des années comme un fou sans cervelle, mais à présent, c'était terminé, les habitants de New York allaient goûter au fléau qu'était le Joker.
Il marche dans les rues de cette grande ville, vêtu d'un imperméable et d'un haut de forme , il avait également maquillé sa peau. A la recherche de ses proies, il fallait qu'il trouve des gens prêts à tout faire sous le coup de la menace pour lui obéir sans concession.
Monsieur J parle pour lui même.

"Il me faut des larbins, je vais aller dans les bas fonds de cette ville !"

Il se dirige donc vers les bas quartiers, là où se mêlent crimes et deals en tous genres. Là où d'habitude, un être humain censé ne mettrait pas les pieds, mais voilà, le Joker n'est pas censé et il était certain d'y trouver son bonheur, des gens à martyriser.

Spoiler:

Derrière son bar, adossé à un gigantesque blender, Guy profitait d'avoir une équipe qui tourne bien, et d'un moment calme, pour passer un moment tranquille à superviser d'un oeil distrait son petit établissement. Construit selon des plans de John Stewart en plein Midtown, l'endroit avait eu son heure de gloire avec des clients prestigieux, et des employés qui participent de l'Histoire super-héroïque en une moindre mesure, comme Wildcat, Lady Blackhawk ou Plomb des Metal Men. Il avait même trouvé un emploi à Arisia à la destruction du Corps par Parallax. Lequel d'ailleurs avait détruit les lieux lors de son retour. Il en faut plus pour décourager le fils de maman Gardner. Tout comme un simple refus de la part d'une vieille amie, ne pouvait en aucun cas être accepté par notre gaillard à la chevelure rousse. Il tapa fébrilement le numéro de son amie Sally, profondément vexé qu'elle n'aie retourné ses messages.

Spoiler:

"Ecoute, Tiffany... Je veux dire, Sally. Je suis en ville pour quelques jours, et j'aimerais passer du bon temps avec ma vieille pote, cette bonne vieille toi. Tu sais très bien que tu es ma préférée, petit sucre."

C'était l'après-midi. Il se décala pour laisser son barman préparer un cocktail à l'aide du matériel qui se trouvait derrière lui. Le téléviseur relayait comme un ronronnement les informations en continu. La réponse sembla cinglante, tant Guy ouvrit des yeux ronds et éloigna son téléphone face aux cris de son interlocutrice.

"Sérieux... Tu as cogné des seigneurs de l'espace plus fort que je ne l'ai fait. Tu es la meilleur, Tiff'. Sally. Bref, je passe à ton bureau à huit heures ce soir. Bureau que j'ai financé, soit dit en passant. Oui ça date, mais je dis ça je dis rien."

Gardner se saisit d'une bouteille de Martini et d'une autre de Vodka exposées sur des étagères, et s'éloigna vers une pièce où il était écrit : CONDAMNE. TRAVAUX EN COURS.

C'était autrefois la salle principale pour les groupes d'amis, celle avec les tables pour se poser entre potes, et non entre poivrots comme dans la salle à l'entrée. Elle était décorée de lanternes de recharge factices et de statuaires de Green Lanterns, mais des échafaudages recouvraient les murs, des draps descendaient sur la plupart des statues. Guy voulait du changement, mais il ne savait pas encore tout à fait quoi faire avec les lieux. Il sortit un verre dans un compartiment caché, et se servit généreusement en alcool en préparant son propre cocktail, seul dans cette grande salle, qui avait été un hommage au passé des Lanternes. Il soupira, toujours en communication téléphonique.

"J'espère que tu repenseras à tout ce qu'on a vécu ensemble, vieille copine. Je mettrai mes bottes de cow-boy rouges."

Puis il raccrocha avant d'avaler son verre d'un seul trait. Il posa son cellulaire sur la table, régla un réveil, puis hurla qu'on lui allume la télévision dans cette pièce. Les paupières alourdies par ses dernières patrouilles de Green Lantern, il se servit un nouveau verre tout aussi chargé que le précédent en embrassant sa somnolence presque entièrement. Lorsque l'heure sonnerait avec une douce alarme de smooth jazz, il se préparerait pour rendre visite à son amie, qu'elle le veuille ou non, dans les quartiers les moins bien réputés de New York.

Après quelques minutes de marche, le Joker arrive dans les ruelles glauque de New York, il rentre notamment dans un bar mal-famé. Il s'asseoit au bar et écoute les diverses conversations autour de lui puis un homme vint aux côtés du Joker, déja émêché il dit.

"Eh mon vieux ! Tu fous quoi dans ce costume de clown ? T'es pas le bienvenu ici !"

"Dégages ! Vas voir ailleurs !"

"Oh ! Comment tu me causes !? Tu veux que je t'en mets une ?!"

Le Joker sort son revolver et le pointe sur le visage de l'homme avant de relever la tête et de lui sortir son plus beau sourire.

"Essaies toujours !"

A la vue du visage du Joker, l'homme devient pâle et s'excuse avant de s'éloigner.

Monsieur J rigole puis décide de se lever. Il enlève son imper et son chapeau pour laisser apparaître son magnifique costume et son sourire de fou.

"Ladies and Gentleman, laissez-moi me présenter ! Mon nom est Le Joker, je suis venu dans ce ... taudit, il n'y a pas d'autre mot !"

Au moment où le Joker avait commencé à parler, les gens qui se trouvaient dans le bar étaient entrain de regarder le prince du crime qui tenait son revolver à la main.

"Je suis venu ici pour employer quelques volontaires. Qui veut venir ? Aller, n'ayez pas peur, je ne mords pas... Enfin, quoi que..."

Personne ne bouge, mais soudain, un homme sort de l'ombre et s'avance vers le Joker.

"Moi Joker, je suis ton homme !"

WANTED : ON RECHERCHE UN AUTRE JOUEUR POUR CE RP !!!!

contactez moi par mp