DEPUTY WILSON La foule s'était amassé devant le palais de justice de la ville. Des pancartes, telles que celles qui représentaient les grèves, surmontaient la vague de gens en quête d'informations. Une émeute avait mit en saccage une rue entière. On se révoltait contre l'immigration et plusieurs autres raisons qui concernaient la politique. La situation était encore sous contrôle, bien que le déploiement des forces spéciales soit imminent. Les gens étaient en colère et malheureusement pour l'officier de police, Deputy Wilson, les politiciens ne se montraient. Non plus que le responsable des relations publiques. Il avait maintenant la tâche de se rendre en avant et parler au micro afin d'éviter le pire. C'était plutôt un ordre de son supérieur qui devait s'occuper des autres secteurs afin d'entourer la foule et éviter un autre soulèvement de la population.
Le policier avança solennellement vers la tribune où figurait un pupitre qui attendait le maire ou son représentant ou tout autre candidat qui voulait bien donner un discours distordu pour calmer la population. On ignora sa présence, ce qui lui permis d'ajuster le micro et diminuer un peule stress.
«Excusez-moi...»Certains se tournèrent. Les gens jouèrent des coudes pour faire taire leur voisin. Il y avait enfin quelqu'un qui prenait la parole devant le rassemblement important. Il avait un certain charisme, mais tous savaient qu'il ne faisait que faire attendre l'inévitable. L'officier sourit bêtement en lissant ses cheveux. Il n'avait ni discourt écrit, ni pensées qui pourraient le sortir de cette nouvelle situation. Beaucoup le connaissait car il côtoyait le roi sous l'eau et représentait parfois son ordre. Certains le détestaient, il n'y a pas tout le monde qui aime ceux qui suivent le droit chemin après tout.
«Nous vous demandons de patienter un court moment.»«ON ATTEND DEPUIS DÉJÀ TROP LONGTEMPS!»«ON VEUX DES RÉPONSES!»La foule recommençait à prendre la voix contre tout ce qui l’horrifiait. Il fallait intervenir tout de suite.
«Oui...je...»Quelqu'un lui mit une main sur l'épaule. On lui chuchota quelque chose à l'oreille et il porta son regard au-delà de la foule vers sa gauche. Une limousine était stationnée un peu en retrait. Certains suivirent son regard et commencèrent à converger vers cet endroit. Les slogans reprenaient de plus belle, mais il n'y avait pas encore de projectiles lancés.
«Mesdames et messieurs, je laisse la parole à quelqu'un d'important. Il...il mène un combat contre la peur et contre un visage connu de l'Amérique. Voici donc Oliver Queen.»L'officier céda volontiers la place à quelqu'un qui pouvait plus facilement parler à la foule et calmer les ardeurs. Il se retira juste à côté pendant que le nommé faisait son entrée sur le podium dressé dans les marches du palais de justice.