Le
Corps des Green Lanterns organise une douane autour de la
Terre.
Ça pique un peu, mais c’est mieux.
Le
Conseil de l’Univers s’est crispé en découvrant le défi lancé à l’
Humanité par Lex Luthor, qui exhorte ses congénères à se révolter – à laisser libre cours à leurs plus bas instincts ; pour que les
Humains deviennent des prédateurs dignes de conquérir l’Univers.
Ledit
Conseil ne pouvait rester sans réagir, et a donc chargé les
Lanterns d’organiser une frontière ; une douane, pour limiter l’expansion
humaine en dehors de la planète bleue.
La
Justice League of America, équipe gouvernementale, a accepté.
Sans avoir vraiment le choix.
Mais en ayant l’opportunité de guider un peu le
Corps – et en ayant l’atout que Hal Jordan, fameux
Lantern et membre de la
JLA, gère ce blocus avec Jessica Cruz et Simon Baz.
C’est une bonne chose ; l’une des rares, en ces moments troublés où les Héros tombent… et les Vilains gagnent en puissance.
Un appel a donc été lancé par le pilote d’essai – pour agir.
Pour faire quelque chose.
Et cet appel a été entendu. Au moins par l’un de ses destinataires, qui rejoint le satellite émeraude… dans une manière bien étrange.
Un vaisseau spatial s’échappe de la
Terre, et file vers la création verte.
Un vaisseau… surprenant.
Qui rappellera des souvenirs aux
Terriens de l’aventure, assurément.
Ledit appareil vient se poster près du satellite, et s’y arrime.
Rapidement, le voyageur le quitte et vient rejoindre directement Hal Jordan, à l’intérieur.
« Hello. »Une silhouette connue mais à l’allure surprenante apparaît.
« J’adore ce que tu as fait du lieu ! »Un grand sourire lézarde un visage nu – et surmonté de lunettes de soleil ; étonnantes.
Comme le reste de sa tenue.
Mister Miracle arrive, donc.
De manière fort surprenante, il faut bien l’avouer.
« Bon. On m’a dit qu’on se rapprochait du soleil, donc je me suis habillé en conséquence, mais… je suppose qu’on ne va pas reformer les Beach Boys ? »Scott Free sourit, et attend ; calme et posé.
Il est là.
Pour aider. Pour accompagner. Pour assister ; pour détendre aussi, un peu.
Car il se doute que ses camarades en auront besoin !