[Invasion!] Revenge of the Alien Alliance

Pour protéger le monde et repousser cette invasion alien, les héros s’organisent, tant bien que mal. Parce que les défenses terrestres vont mettre davantage de temps pour intervenir sur les points stratégiques que cette Alliance venue de l’Espace attaque… Ils ont déjà commencé à envahir Metropolis, Washington, Atlantis, Paris… Mais aussi Coast City !

La cité des Green Lanterns, connue pour sa résistance à la peur, réputée pour avoir survécu à bien des malheurs et catastrophes. Une cible de choix pour ces vaisseaux qui s’en prennent au foyer des policiers intergalactiques… pour les occuper, pour les dépasser et les abattre par la force, sans doute.
Ils s'en prennent à tout ce qu'ils croisent, en tirant sur les plus hauts bâtiments, visant aussi en contrebas là où la milice commence à se regrouper pour riposter. Ils concentrent leurs attaques là où ils sont susceptibles de faire le plus de dommages collatéraux. La peur étreint les citoyens qui essaient de fuir. Ils sont pris en chasse par des drones… ...
... qui ne réussissent pas à les atteindre… !
Quelqu’un intervient avec une traînée de flamme. Les gens s’arrêtent quelques instants pour le voir et reconnaître le Green Lantern de Gotham City.


A peine quelques instants plus tôt, il s’est rendu dans cette ville où il vit avec sa femme, habituellement… lorsqu’il ne s’absente pas pendant des jours, voir des semaines. Gotham City, qui est bien souvent malmenée par les meurtres, la délinquances ou encore les guerres entre les gangs a eu la mauvaise surprise de voir son ciel assombris par la venue d’une armada de vaisseaux, venus d’ailleurs...
Le signal a bien été reçu par la majorité des justiciers. Certains étaient absents à ce moment précis, mais l’alerte a été transmise.
Il était sur la Lune lorsqu'il l'a reçu... et s'est téléporter pour trouver Molly. Cette dernière s’est précipitée pour rassembler ses affaires et se mettre à l’abri. Alan a voulu s’en assurer et c’est à ce moment qu’il a remarqué une très forte concentration de vaisseaux à l’approche de Metropolis et de Washington.
« Superman ? Ici Sentinel. Une attaque massive se dirige vers ta ville… et... »
Et aussi à Coast City... ! Et la situation est critique... !
« Je dois trouver Hal et les autres. Coast City est une des cibles principales ! Rassemble les héros, il faut agir maintenant et sur tous les fronts ! Un mot de ta part et je viendrais vous aider ! »
S’il le peut…
Car les attaques sont importantes.
Et c'est lui qui risque d'avoir besoin d'aides rapidement, dans la ville californienne...


Les drones aliens sont repoussés par les constructions de la Sentinelle. Certains se mettent même à brûler. Alan aide les citoyens à se mettre dans des zones protégées, en déployant avions et autres transports pour les embarquer. Et c’est là qu’ils peuvent tous apercevoir l’arrivée de vaisseaux de guerres des Dominator…
« Kyle ? Hal ? »
Alan Scott fronce les sourcils. Il garde son calme, devant n’importe quelle situation. Il essaie, même face au pire…
« Ils sont trop nombreux ! »
Pourtant, il ne peut pas s’empêcher d’être tendu en cet instant précis.

Alan vise les nouveaux vaisseaux et déploie davantage d’énergie pour former une grande bulle de protection, qui englobe une bonne partie du quartier où il se trouve. Ainsi, il tente d’empêcher les prochains tirs de leur tomber directement dessus. Déterminé à tenir pour gagner du temps, il ne veut pas céder du terrain à l’ennemi. Qu’ils soient un seul ou des centaines, cela lui importe peu ! Ils n’auront pas Coast City, ni aucune autre ville. Ils n’auront pas la Terre, pas tant que les défenseurs respirent encore.















[HJ : Hell yeah !

Petit résumé : Alan reçoit l'alerte peu de temps après que les vaisseaux ont commencé à attaqué les principales villes. Il s'est assuré que sa femme est à l'abri avant de foncer vers Coast City. Il prévient Superman qu'une grande partie des vaisseaux qu'il a vu dans le ciel de Gotham se dirigent vers Metropolis et lui propose son aide au besoin.

A Coast City, Alan s'occupe de sauver les civils trop proche de l'attaque et en danger, déployant des transports pour les mettre en sécurité. Lorsqu'il voit arriver les vaisseaux de guerre des Dominator, il déploie une barrière protectrice autour du site où il se trouve pour protéger cette partie de la ville. /HJ]

METROPOLIS

Il ne devait pas avoir peur.
Ce n’était pas le moment d’avoir peur.
Pourtant, quand ses yeux se posaient sur le ciel, désormais noirs de vaisseaux ennemis, nombreux et menaçant, Jon sentait quelque chose lui serrer la gorge et rendre son corps fébrile. Bien sûr qu’il avait peur. Il était mort de peur.

« Superboy, tu es leur cible ! Reviens ici ! » C’était la voix de Robin. Elle raisonnait dans son transmetteur, cachant son inquiétude derrière un trop plein d’autorité. Jon avait peur, c’est vrai. Mais il savait aussi qu’il devait protéger la ville. Protéger les innocents, ceux qui vivaient ici. S’il était leur cible, ou plutôt l’une de leur cible, alors son emplacement est primordial. Il devait s’éloigner du centre bondé, des immeubles habités, les entraînant où les civils seraient plus rare, moins en danger alors que la ville se faisait ravager.
De nouveau ses yeux se levèrent, alors qu’il observait les vaisseaux qui les menaçaient. Ils étaient tellement, tellement nombreux…

« Superboy ! » Jon n’eut qu’à peine le temps d’entendre le cri inquiet de Beacon, qu’un tir ennemi le toucha en plein saut, déviant sa trajectoire alors qu’il chutait à toute vitesse, venant s’écraser contre le béton qui s’envola sous la puissance du choc, laissant un petit corps enfantin au milieu d’un cratère de terre et de goudron, à moitié sonné par sa vertigineuse chute. Ah, qu’est-ce que cela faisait mal...

« Superboy ? Réponds moi ! J’arrive sur ta position !
- Ça va. Ça va... » Dit-il en gémissant légèrement, la douleur du choc et la brûlure du laser le lançant. Malgré tout, Jon réussit à se mettre debout, alors que les troupes s’avançaient, l’entourant, le menaçant. Ils étaient si nombreux, et tellement décidés à nuire... Malgré sa peur, Jon sentit doucement quelque chose d’autre monter en lui, quelque chose qui lui fit serrer le poing, alors que ses yeux se mettaient alors à briller d’un rouge menaçant en réponse à leurs armes braquées sur lui. Si c’était la seule solution...

Soudainement, Beacon atterrit auprès de son ami, le protégeant des tirs ennemis en érigeant un bouclier psychique, avant de laisser partir une violente onde de choc psionique faisant tomber inconscient la plupart des ennemis les entourant. Juste après cela, ce fut à Nobody et Robin d’intervenir, neutralisant les derniers ennemis encore debout, non sans mal. « Je t’avais dit de revenir... » Râla Robin, ce qui, le connaissant, était probablement la chose qui ressemblait le plus à du soulagement…

Jon souffla, soulagé, alors que la jeune extraterrestre psionique l’observait, commençant à soigner ses blessures avec empressement. Ils ont gagné quelques instants, mais cela ne suffira pas, ils le savent.
Robin avec l’aide de Maya et ses drones se mirent alors à scanner la zone à la recherche des signatures extraterrestres, cherchant les regroupements, essayant de comprendre leur fonctionnement, leurs schémas... « Ils viennent de partout. Et ils arrivent par ici. On doit faire vite. Commenta Nobody en regardant au-dessus de l'épaule de Robin.
- Ce n’est pas toi qu’ils cherchent. Commença doucement Beacon, avant d’être coupé brutalement par Damian, agacé par l’énumération d’une telle évidence.
- Évidemment que ce n’est pas lui qu’ils veulent… Ils veulent la version originale.» Superman. Bien sûr, qui d’autres ? Soudainement Jon s’inquiéta, pour ton père, pour Kara et pour tous les autres. Tous ceux qu’il aimait, qu’il chérissait, et qui aujourd’hui étaient des cibles. Il avait peur, toujours, mais cela ne semblait plus aussi important, soudainement. Il devait les aider. N’importe comment.

« Je vais les éloigner, essayer de les réunir. Sécurisez les civils, c’est la priorité.
- Ne meurt pas Superboy. » Hochant de la tête à l’ordre de son meilleur ami, Jon sauta de nouveau, retournant volontairement dans les hauteurs, reprenant son rôle de cible facile à voir, facile à suivre, essayant d’attirer une partie des troupes après lui alors qu’il évitait, tant bien que mal, de se prendre un nouveau tir, essayant de se placer stratégiquement pour les faire se toucher entre eux, profitant de leur surnombre pour jouer sur les dommages collatéraux.

Tirant avec ses rayons thermiques sur tout ce qui ressemblait de près ou de loin à des bâtiments ennemis avec plus de puissance et moins de précision qu’il l’aurait voulu, Jon continua à essayer d’attirer l’attention des envahisseurs. Il devait gagner du temps, préparer le terrain, et essayer de ne pas se faire toucher...
Jusqu'à son arrivée, du moins...

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[Hj : Les super sons, composés de Jon-Superboy Damian-Robin, Maya-Nobody et Kathy-Beacon sont sur place avant l'arrivée de Superman et essaient de défendre la ville comme ils peuvent
- Jon, comprenant qu'il est une cible, cherche à les éloigner du centre de la ville malgré l'inquiétude de son équipe.
- Il est durement touché par un tir ennemi et tombe, sonné, jusqu'au sol.
- Il est sauvé par ses alliés et soigné par Beacon.
- Ils devinent que ce n'est pas après Jon qu'ils en ont vraiment, mais après Superman.
- Jon décide de continuer à les éloigner et d'essayer de gagner du temps jusqu'à ce que son père arrive.
- L'équipe se sépare : Damian, Maya et Kathy s'en vont protéger les civils, Jon sert d'appât pour les troupes présente pour les éloigner des zones à forte densité de civils. ]

C'est la panique, ici à Central City !
La population s'est précipitée pour rester chez eux. La plupart ont déjà pris les devant lorsqu'ils ont vue ces grands vaisseaux dans le ciel qui sont partis pour les États de l'Est. Ce n'est pas la première fois que la Terre se fait envahir... et avec tous ces héros dessus, ça ne sera sans doute pas la dernière fois qu'ils auront affaire avec ce genre de problèmes... Le maire a demandé à ce que tout le monde ayant fait un service militaire ou policier prennent les armes pour aller combattre. Mais pas mal de policier du CCPD sont restés en ville pour veiller sur sa sécurité. Barry en fait parti... Mais il n'a pas pu rester les bras croisés pendant que ses amis sont sur le front, sous les tirs de ces envahisseurs aliens. Il s'éclipse alors et tente de joindre Patty. Il passe par toutes les voies de communication mais rien y fait... Aucun moyen de la contacter. Il doit s'agir d’interférences probablement créées par les aliens dès leurs arrivées. Il peut prendre le temps de régler le souci mais...
D'après les informations qu'il a pu avoir, les attaques ont déjà débutées d'une façon violente, tout particulièrement là où se sont déjà rendus certains justiciers. Pas de temps à perdre !


Il file alors, son costume se place sur lui naturellement. Flash zigzague entre les obstacles et les gens. Il n'est plus qu'une traînée rouge et jaune à travers les rues et bientôt sur la route en direction de l'Est.
C'est à ce moment qu'il reçoit un message... ! Patty qui lui répond ? Non... C'est Hal !
L'attaque est mondiale, mais les forces sont concentrées à certains endroits. Washington est bientôt en vue et de cette route, il peut déjà voir ces gigantesques vaisseaux ... Ils doivent vouloir s'en prendre au Président...
Fais gaffe à toi aussi, Hal.
Un coup d'accélération.
Il arrive en quelques secondes dans le district de Columbia. Il sauve quelques personnes coincées, pris au piège par les premiers dégâts causés par l'ennemi. En une fraction de seconde, il a fait le tour du quartier tout autour de la Maison Blanche... C'est là-bas qu'il a cru voir des aliens descendre de leurs transporteurs.
Flash fonce dans les lignes ennemis, écarte ceux qui doivent l'être et s'en prend aux drones sur le chemin.


Il les attrape et les démonte avant de les abandonner. Il continue sa route jusqu'à passer à travers un mur en vibrant à la bonne fréquence. Il met le temps... Mais heureusement, Barry réussit à se placer sur le chemin de ces... Uhm... drôles d'humanoïdes... qui n'ont pas l'air commode...
« Bonjour ! Je ne pense pas que vous soyez invité à entrer ici... »
Il reçoit un tir...
« D'accord. Pas de discussions possible alors ? »
Flash en esquive quelques autres...
« OK... C'est vous qui voyez ! »


La Comète de Central fait tourner son bras pour créer une tornade, pour les écarter de l'entrée et les repousser sur plusieurs mètres, contrôlant à peu près sa force pour éviter de trop abîmer son environnement.
En parlant de ça, il entend dans son dos la venue d'hommes extrêmement bien armés.
« Je les occupe. Mettez le Président à l'abri, vite ! »

Il file et va puncher les aliens. Barry tente toujours de joindre d'autres héros, pour qu'ils puissent réfléchir à comment s'occuper de vaisseaux aussi massifs sans nuire à la totalité de Washington, ainsi que de ces environs...







[HJ : - Après avoir essayé de contacté Neutrina, Flash fonce vers l'Est. Il arrive à Washington et sauve les civils en danger. Il en profite pour s'attaquer aux menaces sur son chemin, démonte quelques drones et arrive devant les aliens qui sont entrés dans la Maison Blanche.
- Il tente de discuter avec eux avant de répondre à leurs offensives en les repoussant.
- Il croise les hommes du Président et leur dit d'aller mettre le Président à l'abri pendant qu'il occupe les aliens.
- Barry tente de joindre d'autres héros pour qu'ils trouvent ensemble des solutions pour s'occuper des vaisseaux qui sillonnent le ciel ... /HJ]

Aujourd'hui, Carol aurait dû enchaîner les réunions avec différentes entreprises partenaires pour revoir certains accords et contrats. Ca aurait dû être une journée harassante, en fait ça en serait bien une, mais pas pour les mêmes raisons. Caroline Ferris s'était préparée à affronter des vampires prêt à tout pour préserver leurs intérêts, voir même empiéter sur ceux des autres. Surtout l'un d'eux qui était un véritable requin en affaire. Mais bon... Elle avait l'habitude. L'Homme était rarement aimable avec l'homme et c'était encore bien loin de changer. Mais si la reine de Zamaron avait sût que ce qui se préparait réellement pour cette journée, elle se serait moins préparée pour ce face à face.

Parce que ce n'est pas à des chefs d'entreprises et/ou leurs représentants auxquels elle devait faire face, mais purement et simplement à des armées extraterrestres s'étant unit pour attaquer la Terre et la conquérir. Carol se préparait à se rendre aux entreprises Ferris lorsque son anneau sapphire lui envoya brutalement une fournée d'informations tandis que son portable sonnait à cause du message qu'Hal lui envoyait. La Terre était attaquée. La terre subissait l'une de ces invasions extraterrestre tant craintes dans les films. Sauf que celle-ci était réelle.
Carol communiqua avec le Green Lantern via son anneau.

-J'arrive Hal ! Je comprends maintenant pourquoi Belzebeth était si arrogante lorsqu'on l'interrogeait.

La reine de Zamarron ne pris pas la peine de prévenir qui que se soit. Se contentant de sortir de sa maison pour aller dans un endroit isolé pour mettre son anneau tandis que les gens paniquaient autour d'elle à cause de l'attaque en cours. C'était déjà la folie entre les tirs et les assauts de civils sans défense. Alors qu'un groupe de civils était menacé par plusieurs drones. Mais ces derniers furent avalés par un gigantesque tube rose qui se replia sur lui-même pour former une sorte de cube de la même couleur qui fut envoyé vers un vaisseau plus haut.

-Ne restez pas là. Mettez vous à l'abri.

A cause des exactions passées, les Stars Sapphires étaient encore considérées dans le reste de l'Univers comme sur Terre comme de potentielles menaces. Mais les personnes durent admettre que celle-ci était une alliée. L'anneau de Carol brilla tandis qu'un message s'envoyait vers un certain coin de l'espace tandis que la Sapphire filait à travers les rues pour trouver des personnes en détresse.

Elle fini par s'élever au-dessus du sol au moment où une barrière protectrice engloba la ville, limitant les dégâts et les explosions.

-Hal ? Où est-ce que tu es ?

Puis, elle fini par apercevoir le créateur de la barrière. Un Green Lantern mais non vêtu comme ceux qu'elle avait l'habitude de côtoyer. Celui-ci avait une cape verte et un pull rouge. Elle fini par reconnaître Alan Scott, le Green Lantern de la JSA qui avait décidé de protéger Coast City.

[-Carol se préparait à une série de réunion lorsque l'attaque démarre à Coast City
-Elle sort et protège des civils d'un tir de vaisseau Dominator
-Elle reste d'abord au niveau du sol pour tenter de trouver des gens à sauver
-Elle s'élève vers le ciel au moment où le bouclier d'Alan apparaît.
-Voyant que le ciel est sécurisé, elle se met à chasser les drones ayant réussi à passer.]

Metropolis


La Ville de Demain vit à un rythme paisible, en ce petit matin d'automne.
Douloureusement impactée ces derniers mois par Superboy-Prime et Lex Luthor, il lui a fallu du temps pour se rebâtir, et arborer de nouveau ses merveilles. Flèches de béton et de verre aux aspects rétro-futuristes, larges rues aux mille-et-un passants tous différents, bâtiments historiques, grandioses. Bien qu'habitués depuis des années aux menaces titanesques, presque toujours contrées par leur héros local, cela commence à faire beaucoup, là.
Les pauvres ne sont pas au bout de leur peine.
Vers 11h à peine, avec une synchronisation totale, d'innombrables vaisseaux de guerre dominators et thanagariens se positionnent dans l'espace aérien de Metropolis, avec de bien sombres intentions. Répondant aux desseins de leurs pilotes, les machines spatiales commencent à pilonner la cité de manière stratégique, ravageant routes, ponts et buildings. Immédiatement, réaction se fait sentir. Masques et uniformes sont enfilés, et sortent dans les rues et sur les toits pour lutter contre l'invasion en cours.

Dans un sifflement, un éclair bleu et or file entre les bâtiments, propulsé par un moyen de transport inhabituel quoi que bien connu des Métropolitains. James Harper n'est pas l'original; clone amélioré, il se sait le fruit des expériences parfois démentes de Cadmus sur son "premier frère", mais c'est bien par esprit de justice qu'il porte les couleurs du Gardian depuis toutes ces années.
De son bouclier doré quasiment indestructible, il lévite et repousse autant que possible les envahisseurs venus s'occuper de Metropolis.


Moins discret mais tout aussi efficace, l'Agent Liberty occupe les rues avec quelques agents de l'Intelligence américaine avec lesquels il est resté en contact toutes ces années. Surarmé, vêtu de son armure aux lames rétractables et au bouclier énergétique, il décime autant que faire se peut les aliens venus prendre d'assaut son beau pays.


Et dans les rues, les Supersons (& co) agissent en équipe, éloignant les civils et limitant les destructions là où ils le peuvent, encaissant autant que nombreux autres héros ayant trois fois leur âge. C'est irresponsable, mais évident. Ils suivent les traces de leurs prédécesseurs, tous aussi fous qu'eux. Mais leur jeune âge s'accompagne aussi d'un problème: une inexpérience certaine. Chose dont les agresseurs s'accommodent malheureusement très bien. Car petit à petit, la zone de confinement des dégâts prévue par les très jeunes héros se transforme en goulot d'étranglement, et des dizaines de Thanagariens s'y engouffrent, prêts à déchiqueter sans aucune pitié ces importuns miniatures.
La lutte sera dure.
Peut-être même emportera-t-elle quelques uns d'entre eux.
Rectification: peut-être aurait-elle emporté quelques uns d'entre eux.
Car un flou coloré vient balayer la zone de combat.
Un flou coloré rouge et bleu.

Les Dominators à terre et les Thanagariens dans les airs disparaissent, purement et simplement. Comme s'ils n'avaient jamais été là. Ils sont assommés, mis hors d'état de nuire. Les bâtiments qui menaçaient de s'écrouler se trouvent solidifiés par d'épaisses structures rudimentaires fabriquées à la vitesse de l'éclair. De nombreux civils, l'Agent Liberty, le Guardian et les Supersons se retrouvent soudainement... en sécurité.
Si les destructions de Superboy-Prime et Lex Luthor ont été apocalyptique, elles ont au moins eu le mérite de permettre l'ajout de technologies kryptoniennes à l'architecture de la ville. Le sommet de certains immeubles se met ainsi à briller; des sphères bleutées se développent, grossissent et projettent dans le ciel des boucliers énergétiques à même de contrer nombre d'attaques. Tout l'espace aérien n'est pas protégé, mais cela aide. Beaucoup.


La situation est terrible, mais les choses vont mieux. Un peu.
Car Il arrive.

- Oui Alan. Je sais. J'y suis.

Superman !


L'espace d'un instant, le feu nourri cesse.
Car l'Homme d'Acier entre en communication forcée avec le vaisseau principal de l'assaut sur Metropolis. Sa voix résonne dans le cockpit du bâtiment amiral, autant de source de peur là haut que source d'espoir en bas.

- Bonjour.

- L'Alliance Alien, donc. Encore. Humf. Je vois ce que vous faites. Diviser pour mieux régner. Ou dans le cas présent, conquérir.

Alliance Alien.
Un terrible souvenir.
Une guerre totale amenée sur Terre par ceux qui craignent l'humanité et ses merveilles génétiques. Des races effrayées par le potentiel sans limite de la femme et de l'homme. Une décision génocidaire, pour le "bien" de l'univers. Un échec, malgré les nombreux morts.
Et les voilà de retour.
De quoi susciter la colère de Superman.

- Ce ne sera pas permis. Ni par les habitants de cette planète, ni par moi.

La réponse est immédiate.
De nouvelles troupes sont déployées.
Le feu nourri reprend, et un missile vient percuter le Kryptonien de plein fouet, faisant disparaître sa silhouette massive au cœur d'une abominable explosion.

SWOOOOOOOOFL


La fumée se disperse.
Les vaisseaux sont ballotés par la tempête.
L'explosif a blessé Superman, mais il tient bon, et n'a pas bougé au moment de l'impact.
Pour montrer: rien ne le fera vaciller.
Rien ne le détournera de sa mission.

- Vous allez échouer, tout simplement. Et comme vous le savez déjà, je n'ai pas pour habitude de mentir.

Ses super-sens balaient les forces armées, à la recherche d'un point faible, d'un moyen de pression pour mettre fin à l'attaque en minimisant les dégâts. Ce qu'il voit lui glace le sang.
L'immense bouche d'un canon coluan, sûrement récupéré pour l'occasion, se tourne droit vers... LexCorp, l'un des plus imposants gratte-ciels de la ville. La folie des grandeurs de Lex Luthor a encore frappé, car un rayon rouge d'une intensité sans pareille jaillit de l'arme immense, passant entre les boucliers kryptoniens pour aller frapper le pied du bâtiment.
Superman tente de s'interposer, mais la force énergétique l'envoie percuter le sol.


Déjà renforcé pour faire face au pire, le centre névralgique des technologies de Metropolis ne s'effondre pas totalement; une grosse partie de la façade se détache dans un craquement infernal et tombe pour s'écraser plus bas. Dans les rues. Là où courent des gens effrayés. Là où Superboy essaie notamment d'aider, à ce moment là.
L'impact est imminent.
Il sera meurtrier.

Mais...

- Je suis là, fils. Tout va bien se passer.

Les hurlements se calment, l'espace d'un instant.
Poussiéreux, le visage assombri par la suie et les cendres, le costume encore intact malgré la violence des chocs, Superman est là. Et il maintient à lui tout seul le bout de building, au dessus de sa tête.

Spoiler:

Washington est attaquée.
Depuis les cieux. Depuis les airs. Depuis les étoiles.

D’autres subissent le même sort. Dans tout le pays – bientôt dans le monde entier.
Une Invasion est en marche.
Forte de centaines – de milliers de guerriers, déterminés et acharnés à s’emparer de cette petite planète bleue du Système Solaire, qui les gêne et les trouble depuis trop longtemps.

Ils veulent faire ça vite et bien.
Mais.
Mais les… autochtones ne sont pas d’accords.

La défense s’organise. La résistance aussi.
La contre-attaque… surtout.

A Washington, siège du pouvoir américain, les forces locales se lancent dans l’action – et sont rapidement rejointes par un éclair écarlate.
Flash.

Le Speedster se projette, vient au contact de l’ennemi, et sollicite les hommes du Président pour qu’ils le protègent. Ils s’exécutent.
Mais certains adversaires passent les lignes.
Mais certaines créatures s’approchent… de la Maison Blanche.

Ils approchent. Ils avancent. Ils chargent leurs armes.
Mais.

Mais celles-ci leur sont soudain… arrachées des mains.

Par un projectile ; un Batarang.
Envoyé par… une ombre.

Une silhouette, qui se projette – qui file vers eux.
Qui fond sur eux.

Le combat ne dure pas ; en est à peine un, en fait.
Ils tombent. Ils s’écroulent.
Ils sont vaincus.

Devant… un public.

« Clap – clap – clap. »

Un public qui applaudit, alors qu’il apparaît lui aussi depuis les ombres.
Depuis une porte dissimulée, et protégée, de la Maison Blanche.

« Ton… efficacité demeure impressionnante, malgré ton absence. »

Un homme émerge ainsi, malgré les supplications et demandes de ses agents ; de son cabinet.
De son gouvernement.

Jefferson Pierce.
Le Président des Etats-Unis d’Amérique – ancien proviseur, ancien éducateur.
Ancien super-héros.
Ancien… ami, aussi, en principe de l’homme qui lui fait face.

Et le fixe, sobre et déterminé.

Batman.
Dont les prunelles blanches se plissent, en découvrant l’ancien Black Lightning ; son ancien Vice-président, devenu Président à son décès.
Il y a… une vie de cela, peut-on dire ; sans vraiment mentir.

« Monsieur… le Président.
Il me semble que… votre présence est plus indiquée à l’intérieur. Le temps que la crise se jugule. »

Sa voix est lourde. Ses sentiments contradictoires.
Il ne souhaite pas être là ; mais.
Mais même maintenant… même maintenant, il n’a que rarement ce qu’il souhaite.

« Flash. Tu sais qui je suis.
Je suis à la Maison Blanche. Je veille sur le périmètre. Dis-moi ce qui doit être fait. »

La tentation de donner des ordres est forte ; il lutte contre.
Il ne veut plus.
Il ne veut plus faire cela ; plus autant.

Il est venu pour protéger, pour sauver. Pour aider.
Non plus pour… diriger.

(HJ/ Résumé rapide :
- Batman empêche deux envahisseurs d’atteindre la Maison Blanche ;
- Il rencontre le Président Pierce, et le contact est froid ;
- Il contacte Flash et se met à sa disposition, parce qu’il ne souhaite plus diriger. /HJ)

"Paris brûle-t-il ?"

La voix sortit d'un communicateur du XXXIIème siècle fermement fixé à une oreille qui trainait dans un coin de rue. Une araignée bio-mécanique dévorait le reste du soldat sur laquelle elle était accrochée. Le Grand Palais en flamme illumina le pont ALexandre III qui achevait de s'effondrer. Un Char d'assaut à propulsion néo-nucléaire non loin implosa dans une gerbe radioactive qui faucha des drones ennemies aux multiples pattes ainsi que les blessés qui arboraient un "D" sanglant à leur bras.

La population hurlait tandis que les boulevards Haussmanniens se transformaient en charniers.

"Répondez !"

L'Elysée en flamme ne dépareillait pas de la plus belle avenue du monde devenue l'objet du défilé des créatures abominables qui quelques heures auparavant n'étaient qu'une vague de vaisseaux.

Dans les catacombes, un dernier carré protégeait un Haut Chancelier fou de rage. LUI ! Piégé dans l'une de ses capitales ?! Mais ses ennemis avaient commis l'irréparable erreur de ne pas le tuer par surprise. Et chaque minute de vie de ce monstre était l'occasion pour lui de gagner du temps.

Il monta en conséquence sur son disque temporel tandis que sa garde menait une dernière défense acharnée. L'Europe en se jour tombait mais hier restait encore à réécrire...


Il avait l'heure, l'approximative approche de ses ennemis, un dénombrement tout aussi hasardeux, mais il avait maintenant du temps.

L'occasion pour lui de transformer une déroute en une victoire ! Mais avant cela, il allait devoir puiser dans toutes ses ressources, quitte à fracturer d'avantage le tissu de l'espace-temps.

Son armée avait été mobilisée au travers de tout son territoire pour converger vers la capitale française. A l'inverse, et pour éviter toute gêne, une partie de la population, sélectionnée soigneusement avait été évacuée, et remplacée au passage par certains des ennemis politiques et autres journalistes renégats dont le Chancelier espérait se débarraser dans la foulée.

Des jours durant, tout son état major avait été mis sur le pied de guerre, armée régulière, troupes de chocs, Légion Nibelungen et ses magiciens, même sa police politique avait été réquisitionnée. Les soldats avaient été soumis au secret, même si de nombreuse fuites avait percé. La menace d'une attaque extraterrestre était trop souvent utilisée par le pouvoir en place pour que la population se montre inquiète, on avait un temps rit et les journaux qui avaient révélé le secret avaient vécu sous la férule de la censure et des arrestations arbitraires. Au bout de quelques jours, l'inquiétude avait tout de même touché les coeurs, quelques vidéos d'officiers qui haranguaient leurs soldats de passer des portails temporels d'où sortaient des blessés et des tirs avait mis un terme au déni.

Au sein de l'Europe, seule la Chancellerie parlait. Et le mot d'ordre restait : "Ordre".

Le Louvre et les musées avaient été vidés par des couloirs temporels plus rapidement qu'aucune autre institution, les hommes pouvaient bien mourir, le patrimoine restait une priorité pour un pouvoir aussi symbolique que celui de Degaton. On avait ordonné des quarantaines dans la capitale à titre d'exercice pour les incidents de type biologique, annonçant que l'ascension de Mosaïc rendait l'option de tels attentats plus que plausibles. La police avait cloisonné les établissements pénitentiaire pour mener une purge discrète mais massive des détenus, histoire d'éviter les débordements.

Le moment de commettre des atrocités sous couvert d'une invasion était trop belle pour que la chancellerie laisse passer sa chance.

Soigneusement installé dans des catacombes réaménagées, le Haut Chancelier Degaton observait les multiples écrans holographiques que son état-major avait installé ici. Il était la cible, l'Homme que l'on traquait, où il serait, les aliens viendraient, alors autant être au chaud, bien installé et au milieu du cordon de sécurité le plus solide possible.

Il aurait aimé pouvoir avoir plus de temps, mais revenir encore plus dans le passé aurait causé de trop vives inquiétudes chez les Russes, les Chinois ou les Américains qui s'étaient déjà montrés très pressants pour connaitre les raisons de la mise sous code Noir des forces de frappe nucléaires européennes. Il avait même dû réduire sa pression sur l'Irlande... Il pourrait sans doute profiter de l'occasion pour vitrifier l'île ?

Mais alors que ses noires pensées s'agençaient dans son esprit malade, une alarme retentit.

17h00.

Pile à l'heure.


Premiers bombardements, largage des premières troupes ennemies. Premier mouvement de panique dans la population. L'adversaire avait le sens de la mise en scène.

- Que la première ligne se concentre sur les troupes au sol, ordonna Per aux officiers qui l'entouraient. Freinez leur progression au maximum pendant que les batteries sol-air se déploient. Gardez l'artillerie en réserve.

- Progression ennemie importante dans les zones Nord et Ouest. Elysée détruit, service de radiocommunication gravement endommagé, centrale électrique auxiliaire HS.

Ils savaient mener une invasion, on devait leur reconnaître.

Heureusement, l'armée disposait d'un système de communication en avance sur son temps. La population, par contre, allait être plongée dans le noir et sans moyen de communiquer. Restait à savoir désormais de qui elle allait devoir le plus s'inquiéter : un pouvoir en roue libre ou d'une invasion soigneusement orchestrée ?


17h20.

Premiers tirs de snipers depuis des fenêtres et des toits. Les premières escouades quittent leurs zone de casernement pour engager les ennemis et bloquer certaines artères choisies par le commandement pour gêner au maximum la convergence des troupes adverses.

Dans le ciel les systèmes satellitaires commençaient à ne plus fournir de données, terminés les systèmes de géolocalisations, les missiles devraient être employés avec des lanceurs mobiles ou des tirs à l'"ancienne".

Premiers échanges frontaux. Face à la brutalité des créatures abominables, la fanatisme d'une armée qui hurlait le nom de leur Chancelier et de l'Europe dans un amalgame malsain. Armes à énergie, plasma et lance-flamme répondaient aux multiples pattes qui déchiquetaient et traversaient la chair comme des aiguille dans un tissu trop fragile. Quelques hommes en armures futuristes menaient des combat au corps-à-corps pour essayer de retenir l'ennemi au mieux. Les données enregistrées par ces premiers échanges arrivaient à l'Etat-major, plongé dans la perplexité.

Sur quelques toits stratégiques, des batteries de missiles sol-air étaient en cours d'installation, couverts du mieux possible des immenses croiseurs par leur petite taille et des filets de camouflage. S'ils avaient été directement installés, leur source d'énergie les aurait trahi.

- Dites à Arcane de déployer les premières troupes de notre Légion pour faire tomber les engins volants et soutenir notre première ligne, ordonna Degaton. Et qu'il garde ses horreurs volantes en réserve, elles pourraient nous servir.

Il fallait conserver des cartes en main, Paris était déjà tombé après leur première vague et le chancelier ne connaissait absolument pas ce que cet envahisseur pouvait lui réserver par la suite. Mieux valait pouvoir les surprendre, quitte à aller puiser dans le passé pour obtenir des troupes fraîches...

[HRP]
- Après s'être fait laminer une première fois par les envahisseurs, Degaton revient dans le passé pour consolider son armée et se préparer avec de l'équipement venu du futur (avec accord du MJ pour l'intro) ;
- Degaton est installé dans les catacombes parisiennes avec son état-major ;
- L'adversaire arrive et trouve face à lui quelques troupes au sol et des snipers ;
- Plus de système de télécommunication moderne dans Paris, plus de liaison satellite non plus (adieu Gallileo - l'Europe n'avait sans doute déjà plus de GPS );
- Degaton fait déployer des batteries sol-air sur des bâtiments malgré les bombardements ainsi que de premières troupes des Legions Nibelungen (magiciens, occultistes, sorciers) ;
- Il garde en réserve des chars, des troupes et des créatures volantes (made in Arcane) pour résister à une seconde vague.
[/HRP]

PARIS, ville des lumières. Ville de la Tour Eiffel, ville du Louvre, ville de l'arc de triomphe. La première chose qui vient en tête quand on se dit "France". Le repère des mimes. Toujours un peu une source d'admiration pour Ice, qui se demandait bien comment une ville pouvait avoir autant de côtés différents. Toutes les villes en ont, comprenez bien, mais dans les vieux moments, avant qu'il n'y ait le grand changement, c'était une belle ville ou alors l'un des pires endroits au monde. Étrange constat que celui-ci, vous ne trouvez pas? Enfin, si vous demandez à Ice, elle aimait bien l'endroit. Ça avait toujours été joli et il y'avait un certain charme à son agitation. Pour ça que c'était son dernier endroit clé avant son départ vers l'Amérique, où se trouvait ses amis. Mais le départ avait été un peu moins... rapide que prévu, pourquoi, à votre avis, humble lecteur?

Le Per Degaton s'était rendu maître de l'Europe, voilà tout! Satané petit fasciste! Et un peu partout en Europe, ses hommes sévissaient, ainsi qu'avec ses portails. Ice, qui s'était imaginée faire une ligne droite jusqu'a l'Amérique, avait pris le temps de sauver les opprimés qu'elle voyait. Bien sûr, à son grand regret, tout n'était pas si simple: Bien des fois, au cours de son voyage, elle était tombée sur des opprimés qu'elle ne pouvait pas aider, à cause de la sur-concentration de troupes ennemies par exemple. Elle savait qu'il y'avait une résistance, et l'aidait dès qu'elle pouvait, mais elle ne pouvait pas rester, malheureusement. Ou du moins, elle partait pour mieux revenir.

Son voyage était passé du petit retour tranquille à la quête de retour vers l'Amérique, afin d'aller directement voir la Justice League et leur demander de venir aider, tout simplement. Ce sera comme dans les batailles d'avant, pour Ice: Elle, Fire, Superman et le reste iraient démolir Per Degaton si vite que même ceux plus loin dans le passé ou le futur en auront mal au c-aux fesses! Pourquoi laissaient t-il le dictateur se faire tranquillement la main-mise sur l'Europe? C'était absurde! Il fallait que la résistance reçoive vite de l'aide! Et peut être bien qu'elle pouvait l'apporter, cet aide, en allant sortir les autres de leurs sièges pour vite renverse ce régime oppressif!

Aussi, quand Ice passa à Paris, elle s'attendait à le quitter ce soir. Direction: Le Havre, où elle se trouverait un bateau. Enfin, non, Atlantis venait d'émerger, non? Elle pourrait toujours aller voir Aquaman et lui demander de l'aider.

Pour le coup, c'était le complet "Dame de France". Ice avait une perruque noire, consciente que sa couleur de cheveux était du type unique, mais aussi une écharpe, un beret, deux petites lunettes de soleil noires, un faux grain de beauté et une cigarette en chocolat. Bon, la dernière partie était un peu moins bien fait que le reste, mais elle serait damnée si elle se laissait fumer! C'est très mauvais pour la santé! Et puis le chocolat c'est bon. Enfin, en gros, Ice avait son ensemble... Et se démarquait un peu, la capitale était un peu sur le pied de guerre, ces derniers temps. Un cynique dirait "ah, y'a une différence", Tout allait un peu vite, tout le monde était un peu pressé: Quelque chose se préparait. Une attaque de la Résistance? Non, elle le saurait.

Mais la fille d'Olaf ne saurait si aisément fuir. S'il y'avait danger, quelque part, elle devrait être là. Degaton était maléfique, oui, son régime aussi, mais les Parisiens, contrairement aux dires des Marseillais, ne sont pas des nazis. Beaucoup sont des civils terrifiés, un peu coincés dans une ville qui va devenir un grand champ de bataille, et il lui était impossible de simplement les ignorer et partir. Quel héros se casserait donc? Pas Ice, en tout cas, qui était un peu sur les nerfs, marchant près des Tuilleries et tentant de ne pas croquer sa cigarette en deux.

La boule au ventre, elle s'attendait au moindre... choc soudain. Darkseid qui déboule dans le Louvre, Joconde en main, annonçant avoir trouvé l'équation de l'Anti-Vie inscrite sur les lèvres de la femme au tableau. Des Gorilles génétiques, entraînés par Grodd lui-même, qui déboulaient dans les rues, pour se faire des souvenirs via les crânes des vendeurs de rues. Les ciels qui se dispersent alors que des sbires démoniaques déferlent du Paradis, une figure divine les guidant vers leur sombre destruction de la ville. Des araignées mécaniques déferlant d'un vaisseau mère, alors que bien d'autres encore bombardent la v-

Des explosions, du sang, des cris. Ice écarquille des yeux et se fiche sa cigarette en chocolat dans la gorge alors que, d'un coup, la tension se transforme en danger véritable! Degaton semble anticiper l'ennemi, et elle voit des flammes, au loin, mais Ice est seule, entourée de civils qui sont en train de se faire attaquer. Les soldats fascistes, pour une fois alliés, ont quand même du mal à tout contenir! Avalant le bonbon, Ice leva les mains, et une sorte de vent se mit à soulever son grand manteau brun, révélant... des habits normaux. Hein, elle n'allait quand même pas se promener en costume. Enfin, un vent de glace frappa, et, sans prévenir, Ice leva les bras, déployant de grandes bulles de glaces. Terrifiés, les civils bondirent dans les ouvertures présentes au sein des carapaces. C'était un peu confus, et Ice dut fermer les bulles plus tôt qu'elle ne le voudrait par peur qu'une araignée ne s'y glisse, mais au moins ça faisait des civils sauvés.

Les yeux de Tora luirent: Oh, si elle avait été au village, elle n'avait pas chômée pour améliorer ses pouvoirs. Oh non, pas du temps. Comme elle le prouva quand elle leva encore la main pour créer une grande structure de glace, en forme de marteau, qu'elle abattit directement au sol. Le coup écrasa bien des araignées, mais le vrai effet de la technique, ce fut le moment où la construction de glace explosa au contact, envoyant des tonnes de projectiles pointus sur la zone. Ice s'en protégea via un mur épais, mais les araignées proches furent décimées, et les carapaces, elles, résistèrent au choc.

Je reviendrais vite! Restez ici! Heu, c'est facile de le faire car vous êtes tous là dans les bulles mais... heu, bougez pas, y'a de l'air! Ice enleva son manteau, dévoilant un simple pull et un pantalon brun, et fit un signe de la tête. Bon: Des araignées, des vaisseaux. Il faudrait s'occuper de tout ça.

Et elle savait sur qui compter. Oh, pour une fois, une certaine rivière allait bien aider! Déployant un chemin de glace aérien, en "tirant" de la glace devant elle, Tora se dirigea vers la Seine, survolant les Tuilleries. Du coup, elle en était déjà toute proche!

C'est l'heure d'entrer en Seine! Héhé c'est... oh... personne t'écoute, Tora, enfin!

spoiler:

Atlantis-capitale Poséidonis

Dans la cité vide de Poséidonis, deux formes se glissaient à travers les pierres. Elles étaient à la recherche d’un lieu agréable pour une nuit. Situation frustrante pour la forme la plus massive, la tension dans ses épaules se communiquait en tressaillement à son ombre sous la lumière de la lune. Dans un élan romantique, Koryak avait voulu pour l’anniversaire de sa rencontre avec Lorena, revisité le lieu où était né leur amour.
Longtemps, l’absence de son père et de Méra à Poséidonis avait rendu ce projet complexe. Les atlantes n’étaient pas plus accueillants avec les étrangers et hybrides que le Texan.
La cité récemment s’était émergée provoquant son abandon par les atlantes rendant soudainement possible un projet retardé.
Étrangement sa moitié, Lorena s’était avéré un autre problème, ne se montrant guère enthousiaste à l’escapade romantique qui retarderait son départ en Europe. Un autre sujet de conflit dans le couple, Lorena refusait que Koryak la suive jusqu’en Europe, elle voulait qu’il reste à surveiller les alentours de Sub et San Diego, protéger la ville et la population. Koryak avait parfois l’impression que Lorena cherchait surtout à l’éloigner du danger.
Pour la convaincre, il avait fallu qu’une des rares familles atlantes réfugiés à Sub Diego la supplie d’enquêter sur la capitale.

Non seulement ils ne trouvaient rien. Ils n’étaient pas les mieux équipés intellectuellement pour enquêter sur une question visiblement magique et atlante : deux domaines dans l’Aquafamilly où ils n’étaient pas les spécialistes. Par dessus, ils s’étaient aperçus que le mot « sous-marine » dans « capitale sous marine » avait son importance : les jardins étaient en décomposition et la ville construite pour être arpentée dans les trois dimensions s’avérait difficilement praticable une fois l’eau retirée. L’absence d’escalier posait un problème notable.
Sans compter qu’une ville vidée de ses habitants ressemblait à une coquille morte. Le voyage romantique avait pris une apparence glauque.
Lorena avait eu la gentillesse de ne pas le faire remarquer.

Lorena se déplaçait vers la mer avec Koryak, ce voyage à Poséidonis était un fiasco. Elle aurait souhaité que tout cela se passe bien, Koryak avait tellement anticipé et fantasmé dessus. Elle le savait tendu, une moue agacée sur le visage, on voyait la ressemblance avec son père et elle aurait souhaité avoir le temps de le consoler, de le rassurer et de lui dire que ça présence en ce jour suffisait à la combler.
Mais l’appel de Méra avait retenti poignant, l’appel non d’une reine, d’un être espérée, d’une amie. Si Lorena n’avait pas entendu l’appel, elle aurait battu en retraite. Pragmatique, Lorena s’était juré de protéger les êtres qui l’entourait, Poséidonis était dans son état actuel un très beau tas de pierre chargée de sens, mais qu’on pouvait reconquérir, reconstruire. Poséidonis était sacrifiable, même les secrets atlantes ne justifiaient pas une défense suicidaire.
Méra, elle, la justifiait. Une amie a sauvé, a épaulé. Lorena râlait, elle s’était fait éjecter, il y a longtemps, des Teen Titans pour son inexpérience et sa difficulté de jauger les situations : une amère expérience qui lui avait appris à choisir ses combats.

De toute façon, ils étaient obligés de combattre pour survivre, car les envahisseurs avaient déjà attaqué. Évitant les bataillons, Lorana et Koryal éliminaient les soldats isolés, ils avançaient vers la côte de la cité pour se regrouper avec Méra et d’éventuels autres Atlantes.
Le premier allié qu’ils rencontrèrent ne fut pas Méra, mais Orm. Orm, demi-frère d’Arthur, xénophobe et ennemi de la surface qui massacre ses adversaires. Il ne comptait pas parmi leurs amis. Et pourtant, le couple chargea pour porter assistance à celui qui ce prétendait le maître de l’océan.
Lorena esquiva les tirs, consciente que la moindre erreur pourrait signifier la fin de sa vie. Elle ne retient pas ses coups, transperçant de son trident un adversaire. Lorena frappait pour tuer et des ennemis tombent, si peu par rapport à la masse d’adversaires. Cette masse qui se retourne contre eux, les empêchant de tirer sans risquer de toucher un de leur frère d’armes alors qu’Aquagirl commença une danse mortelle sous le soleil de midi.

Koryak suivit de près, il n’était pas armé, mais ses mains colossales broie et meurtrit les corps qu’elle atteignait. Dans un style plus brutal moins élégant, mais tout aussi efficace, il entreprend d’imiter ses compagnons et repousse les envahisseurs.

[HRP] -Lorena et Koryak sont présent à Atlantis par hasard à la demande de réfugié atlante qui s'interroge sur l'emergence de la capitale.
-Avant l'appel de Mera, Lorena aurait préféré rebattre en retraite que se battre pour des pierre.
-Il entende l'appel de Mera et en tentant de la rejoindre tombe sur Orm qu'il assiste dans la lutte contre l'envahisseur.

METROPOLIS

« Papa ! » Dans la voix qui vient de crier, en plus de la surprise, on peut lire de la joie et du soulagement, alors que Superman vient tout juste d’empêcher une façade tout entière de s’écrouler sur Jon et les quelques habitants n’étant pas encore en fuite et qu’il essayait d’aider à quitter les lieux. Le jeune héros aurait eu envie de laisser éclater sa joie dans une accolade, mais il n’en avait pas le temps, et son père en avait encore moins que lui alors qu’il tenait au-dessus de lui un fardeau non négligeable…

Les civils, oui.
Superboy sait ce qu’il a à faire, alors qu’il part à grande vitesse, attrapant les innocents présent par deux ou trois pour les conduire à toute allure jusqu’aux bunkers les plus proches. Il va aussi vite qu’il peut, courant à travers les rues et les buildings, et même s’il est très loin de la vitesse de son père, c’est assez pour qu’en moins d’une minute la rue soit entièrement déserte, permettant à Superman de ne plus craindre que l’ensemble tombe sur les riverains.

« Ils en ont après toi. J’ai essayé de les amener le plus loin possible, mais je n’ai pas été assez rapide... » Jon avait habilement réussi à les éloigner du centre-ville, pour les conduire au mieux jusqu’à des zones moins denses en population, mais il n’avait pas pu rejoindre son but, ayant été touché avant cela, comme le prouvait sa cape et une partie de son sweat brûlé, ce qui l’avait obligé à ralentir, expliquant alors comment il avait fini ici, non loin de la Lex corps.

Cependant, ils n’ont pas le temps d’en parler plus que cela, alors que les ennemis s’apprêtent déjà à enclencher le feu de nouveau, toutes les armes de leur flotte braquée sur leur position. Jon a peur, oui, mais paradoxalement, il n’a pas l’impression d’avoir le temps de paniquer. Si ce tir touche, il détruira immanquablement une partie considérable de Metropolis.
D’ailleurs, superboy remarque au même moment les deux Thanagariens dont les voix étrangères et inhabituelles à l’oreille du petit garçon ont réussi à attirer son attention, alors qu’il fronce les sourcils. Est-ce que cela a un lien ? Il n’en sait rien, à vrai dire, mais il doit agir. Il doit faire quelque chose !
« Je m’occupe d’eux ! » Dit-il en s’élançant vers les immeubles sans attendre la réponse de son père, sautant d’une façade à une autre pour avancer en diagonale avec l’aisance et la force de l’habitude. Même s’il ne vole pas, il ne lui faut que quelques secondes pour arriver sur le premier extraterrestre, dont l’apparence lui rappelle évidemment quelqu’un, mais dont il ne se préoccupe pas. Pas pour le moment.

Ne détenant aucune compétence martiale digne de ce nom, Superboy s’en remet à ses capacités kryptoniennes pour esquiver les attaques sûrement dévastatrices de son adversaire, qui ne semble d’ailleurs pas même gêné par l’idée de frapper un enfant. Jon essaie de trouver quelque chose à faire, une réponse offensive à donner… Quand soudainement, son nez se met à lui démanger. Oh oh, a-t-il à peine le temps de penser avant qu’un énorme éternuent gèle son ennemi sur place sans qu'il ait le temps de comprendre ce qui venait de lui arriver. Bon… Pour le coup, son manque de maîtrise sur ses capacités tombait assez bien…

Sans prendre le temps de plus s’en soucier, Jon attrapa le bloc de glace et l’envoya voler à l’autre bout de la ville, avant de sauter d’un bon sur l’autre immeuble, là où se trouvait le second Thanagariens...

⇜ code by bat'phanie ⇝

[Hj :
- Jon évacue les civils
- Ne sachant pas quoi fait contre le tir en préparation dans leur direction, Jon décide de s’occuper d’autre chose.
- Il attaque sans attendre les deux Thanagariens
- Il réussit à éviter les attaques mais ses maigres connaissances martiales ne lui permettent pas de rivaliser avec le guerrier. Heureusement, un éternuement fortuit gèle son ennemi et permet à Jon de l’envoyer valser à l’autre bout de la ville.
- Après s’être mouché, il saute sur l’autre immeuble dans l’intention de s’occuper de l’autre Thanagariens sans trop de plans en tête...]

Coast City

La barrière commence à se fissurer, à chaque impact. Par ces chasseurs aliens, qui concentrent leurs tirs. Plus les secondes passent, plus elle se fragilise. Mais l’avantage, c’est que leurs ennemis oublient complètement la présence des citoyens de Coast City. Ils peuvent prendre la fuite par les moyens de transports mis à disposition, mais aussi grâce à l’intervention de Star Sapphire. Se concentrer sur deux fronts à la fois n’est pas une chose aisée, même pour le vieux Green Lantern. Lorsque sa barrière éclate, il s’est préparé à l’idée de tout faire pour épargner aux civils de subir les prochaines attaques aliens.
C’est à ce moment-là que l’aide bienvenue des forces de l’armée arrive par l’Est.
Alan accueille Hal Jordan avec un léger sourire. Il ne peut pas lui dire tout de suite, mais il est content de le revoir, surtout en ces circonstances et face à des adversaires qui ont mis clairement les moyens pour attaquer la planète Terre…
L’échec n’est pas une option, ils le savent tous les trois. Ils le savent tous. Alors ils doivent tout mettre en œuvre pour se battre ! Les pilotes de l’armée se sont engagés pour défendre ce continent et ils le font bien. Tandis qu’ils ripostent, prenant tous les risques pour s’approcher des plus grands vaisseaux ennemis, ils sont pris en chasse par les drones, toujours plus nombreux malgré la première tentative d’en éradiquer… L’escadron de la base Edwards reçoit un soutien aérien, fait de lumière verte et venu d’un autre temps.


Alan se rapproche des deux autres Lanterns, son aura faite de flammes plus intense qu'à l'accoutumé. Ils semblent avoir un plan et peut-être est-il le seul et le meilleur qu’ils ont à leurs dispositions. Si Star Sapphire peut faire quelque chose pour arrêter l’une des têtes de cette Alliance Alien, ils feront ce qu’il faut pour la couvrir. Si on leur laisse le temps d’agir…
Hal Jordan accompagne son escadron, tandis qu’Alan Scott utilise un gant géant pour attraper l’un des deux cuirassés…


… et le faire s’écraser sur le second pour les repousser tant bien que mal vers la baie de Coast City. Bien que ce soit difficile, il reste sûr de lui, gardant en tête ce en quoi il croit pour déployer ses flammes sur plusieurs mètres de hauteur et lève ainsi un mur pour empêcher un maximum l’eau de s’engouffrer dans les rues de la ville, déjà dévastée par les attaques.
« Hal ! »

Alan sent qu’il a été distrait par quelque chose…
« Reste concentré. Nous pouvons les repousser, ensemble ! »

Il pense savoir à quoi pense Hal… Alan a vu certains avions se crasher, certaines maisons prendre feu, voire même des immeubles entiers s'effondrer. Coast City et ses citoyens subissent une énième fois la destruction et la souffrance, mais… pas la peur. Ils ne doivent pas céder à la peur.

La Sentinelle renforce ses constructions. D’autres avions apparaissent et des chars de la même époque visent les vaisseaux ennemis. Alan jette un regard vers Star Sapphire. Elle doit être la nouvelle reine du Corps qui manipule cette lumière rosée. Elle ressemble étrangement à celle que Jay a connu et combattu, elle fut condamnée à rester dans la 7ème dimension pour ne pas avoir été digne de porter la couronne…
Si Hal a confiance en elle, c’est qu’ils n’ont rien à craindre de cette couleur rose ni de la porteuse d’anneau. Alan est donc prêt à la couvrir, même s’il doit aller jusqu'à la limite de ses moyens pour parvenir à repousser tous ceux qui vont tenter de les arrêter.














[HJ : - GL a lâché la barrière et s’est concentré sur l’évacuation des civils.
- Il accueille l’arrivée de Hal avec le sourire. Il aide l’escadron Edwards en les protégeant avec d’autres avions, tentant de détruire les drones qui les menacent.
- Alan fait apparaître un gant pour récupérer l’un des cuirassés et repoussent les deux morceaux dans la baie.
- Il soutient Hal moralement.
- GL fait apparaître d’autres avions et des chars pour lutter et fait signe à Carol qu’il est prêt à la couvrir si elle tente quelque chose. /HJ]

Le combat s'éternise un peu, Carol lutte de son mieux de son côté sans avoir de réponse de Hal Jordan. Pas tout de suite en tout cas. Mais l'aviateur ne tarde pas à donner signe de vie, amenant l'armée avec lui. Une armée qui bourrine et arrive à détruire des parties entières des vaisseaux ennemis, bien que cela ne soit pas sans conséquence pour la pauvre Coast City qui risquait d'être détruite par les débris de vaisseaux qui chutaient vers elle. Carol fit apparaître une épuisette géante pour rattraper des morceaux en train de tomber vers le commissariat de la ville et répondit à Hal tout en voyant les débris ailleurs.

-Préviens-moi si tu as des infos sur son emplacement.

Etant la seule Star Sapphire présente sur Terre, il allait sans doute falloir que se soit elle qui affronte le terrible vampire cosmique. A moins que quelqu'un d'autre ne soit capable de se charger de ce buveur d'énergie cosmique. Qui ne ferait qu'une bouchée de la Terre à lui tout seul. Et ils avaient, selon son anneau, affaire avec plusieurs espèces aliens.

Toute à ses pensées, la jeune femme vit soudainement deux vaisseaux aliens s'effondrer vers Coast City, menaçant la ville et ses habitants. Alan Scott essaya de rassurer l'aviateur et Carol se joignit à lui.

-Alan a raison Hal, nous sommes trois Lanterns. Avec nos pouvoirs et notre imagination nous réussirons à repousser cette attaque.

Carol fit apparaître une raquette de tennis géante et rosée pour renvoyer le débris du deuxième cuirassé... Directement dans la figure d'un autre vaisseau alien se trouvant toujours en plein ciel et harcelant la ville de ses tirs. Les avions de l'armée terrienne à proximité furent en même temps englobé dans des balles de tennis roses pour les protéger du passage des débris avant d'être libéré. Puis, elle créa plusieurs avions très semblables à celui de Zinda mais pourvu de canons sur les ailes et les envoya tirer vers les vaisseaux toujours présent dans le ciel.


A Métropolis, les Kent père et fils luttent du mieux qu'ils peuvent et parviennent à tenir tête à l'armée volante qui assaillaient la Ville de Demain. Tout jeune mais bondissant et volontaire, Jon Kent s'élance vers un Thanagarien qui le voit hélas venir. L'extraterrestre volant s'apprête à répliquer et à frapper brutalement le jeune héros pour le repousser mais... Une créature émeraude à crinière lui tomba brusquement dessus, le planquant au sol.


Le lion vert qui avait poppé d'un Tunnel-Boom était apparu avec un air menaçant, mais paru véritablement surpris lorsqu'il baissa la tête pour découvrir qu'il avait déjà fait une victime. Il était venu pour se battre mais ne s'attendait pas à commencer maintenant. La créature léonine descendit du corps inanimé du thanagarien et se jette vers Jon pour poser ses deux grosses pattes avant sur les épaules et lui donner deux coups de langue baveuse.

-Salut Jon, ça gaze ?

Beast Boy reposa ses pattes avant sur le sol et regarda autour de lui où la bataille faisait toujours rage. Sa Boite-Adolescente l'avait alerté de ce qu'il se passait sur Terre et il s'y était précipité... Sans vraiment prévenir personne. Bah... La Terre était en danger, il fallait bien la protéger non ? S'ils arrivaient à résoudre le souci sans se blesser y aura pas de crises. Si ?

-J'viens t'aider à combattre les vilains piafs.

[-Carol demande à Hal de la prévenir si jamais le Luciphage se manifeste
-Elle s'occupe du deuxième cuirassé... En l'envoyant dans la figure d'un autre vaisseau
-Elle s'en prend aux vaisseaux restants
-Garfield apparaît à Métropolis, sous la forme d'un lion, pile sur le Thanagarien que Jon attaque
-Il est joyeux de voir Jon et va vers lui pour lui donner des coups de langue sur la figure]

Washington



Flash reconnaît en effet cette voix entre mille autres, pour l'avoir entendu pendant des années…
« Content de te savoir ici, Batman ! »

Le Speedster s'est attendu à ce que le Chevalier Noir prenne la direction de leur petit groupe, comme le chef vétéran qu'il a toujours su être. Mais il semble vouloir passer la main…
« Ce dont j'ai besoin … »
Barry grimace en voyant les troupes aliens se replier … mais pour mieux se préparer à un prochain assaut bien plus violent.
« Eh bien je ne serais pas contre une solution pour les repousser… Et j'ai toujours le problème des vaisseaux au dessus de nos têtes… »

Il lève les yeux et est surpris de voir une personne qu'il n'a pas croisé depuis très longtemps… Miss Martian mais pas toute seule car elle semble être accompagnée d'alliés qui tirent sur les ennemis aériens.
« Ah ! Super ! En faite je crois que nous devrions nous en sortir ! »
Enfin il reste toujours les troupes qui foncent sur la Maison Blanche à gérer...

Il file à pleine vitesse, faisant tomber la première ligne, prenant évidemment quelques coups. Il manque de se faire avoir en chemin et il lui faut une bonne seconde de temps pour se retourner et cogner les cinq aliens qui l'ont encerclé. Flash tourne autour d'eux et les repousse plus loin avant d'en bousculer six autres avec ses cyclones.
Barry s'arrête ensuite près de l'entrée de la Maison Blanche, pour reprendre son souffle.
« Batman, où en es-tu… ? »

Il en arrive d'autres par les jardins … C'est comme si leur nombre ne cesse de croître. Mais il ne perd pas de vue son objectif et continue de les repousser. Il espère faire gagner suffisamment de temps pour sécuriser Mr le Président. Cependant... Autre chose chiffonne la Comète de Central City.
Si l'aide des martiens est bienvenue et fortement appréciée, la vue des vaisseaux s'écrasant sur les hauts building l'est moins …
Barry ne réfléchit pas plus longtemps et agit, à toute allure.


Faire un détour de dix secondes… Il peut s'en passer des choses dans ce court laps de temps. Mais il veut s'assurer que personne n'est resté bloqué dans le building le plus touché. Ni dans les rues autour, où il peut démolir d'autres drones au passage. Il évacue quelques rescapés deux par deux vers les points de ralliement où ils sont pris en charge par les secours. Et lorsqu'il revient vers les Citadeliens, c'est pour mieux leur mettre des poings chauffés à la super vitesse !
« Ouf… Si tu as quelque chose pour visualiser la ville… je suis pas contre.
- Salut les gars ! »

Une autre voix qu'ils connaissent tout aussi bien se fait entendre dans leurs communicateurs.
« ... Victor ? »


Cyborg, jeune héros mais déjà bien rôdé et ultra connecté.
« Lui-même ! Je vérifie les données que je reçois pour voir si tous les civils sont bien tous écartés de la bataille. Dites-moi si vous avez besoin d'autres choses ! »

Stone lance d'autres analyses pour pouvoir voir ce qu'il se passe. Il s'intéresse aussi aux troupes et à leurs vaisseaux pour récolter le plus d'informations possibles, qu'il essaye d'avoir à temps… Pendant que Flash continue de faire barrage aux Citadeliens, les empêchant d'entrer dans la Maison Blanche.








[HJ: - Flash accueille l'arrivé des autres avec enthousiasme !
- Il combat les troupes Citadeliens et demande à Batman où il en est de son côté. (il ne sait pas ce qu'il se passe à l'intérieur de la Maison Blanche)
- Tout en combattant, il fait un détour pour vérifier s'il ne reste pas des civils dans les bâtiments qui se font écraser par les débris.
- Il demande à Batman s'il a un moyen pour cartographier la ville et Victor Stone intervient.
- Cyborg lance des analyses pour essayer de leur apporter des infos. /HJ]

Metropolis


La ville souffre.
Les pertes sont nombreuses, les dommages énormes.
L'Alliance Alien ne fait montre d'aucune pitié dans sa démonstration de puissance. Leur force de frappe est dantesque. Mais les héros de la ville ne se démontent pas, leur détermination n'en est que plus grande; il faut tenir. Il faut sauver Metropolis. Il faut évacuer le plus de civils possible.

Ce que s'évertuait Superboy à faire, quand son Superpapa est venu s'interposer entre un morceau de building et lui. La façade tient bon, au grand soulagement de l'Homme d'Acier. Mais, pilonnés comme ils sont, il ne peut se permettre de rester là, immobile, à ne "rien faire". Alors, en moins d'une minute top chrono, Jon vide la rue de ses derniers occupants en panique. Après une dernière vérification d'usage, Superman se permet de déposer l'immense bloc de béton à même le sol, où, il faut l'espérer, il ne tombera pas plus bas.

Désireux de s'enquérir de la santé de son fils, Kent se tourne ensuite vers lui, commençant même le début d'une phrase:


- Fils...

Mais peine perdue.
C'est une pile électrique, ce petit bout de garçon, et il est déjà reparti sauver des gens, repousser quelques envahisseurs...
Dans ce genre de situation, Superman est toujours inquiet. Logique, oui. Mais dans le feu de l'action, cette boule dans la gorge s'estompe, pour ne laisser place qu'à la détermination. Pas là. Parce que là, son enfant est aussi en danger, une cible, une victime potentielle. Conscient de cette terrible réalité, Clark contemple alors avec horreur l'entièreté des canons et projectiles se rediriger vers sa zone. Vers son toit. Vers lui. Et vers Jon, encore proche.

Une seconde passe, comme figée dans le temps.
Les canons observent la ville, en contrebas, comme curieux de ce qu'ils y découvrent. Et, enfin, dans un fracas épouvantable, ils ouvrent le feu. Une apocalypse, un Armageddon s'abat sur l'Ange de Metropolis. Le métal, le feu, la rage et la haine filent droit vers lui, pour l'anéantir. Et détruire toute menace persistante.

Il n'y a donc pas le choix.
C'est le moment de dégainer la carte de l'ultime chance.
Dans son communicateur, Superman hurle un mot, un seul, à destination de quelqu'un bien loin d'ici. Quelqu'un qui est actuellement en train de nourrir un bébé héliophage affamé, protégé du froid par d'énormes cristaux venus d'ailleurs. Ce quelqu'un, c'est...

- KELEX !


L'intelligence artificielle qui gère la Forteresse de Solitude quand son digne propriétaire en est absent, comme maintenant. Programmé pour réagir dans l'urgence, le robot n'a alors qu'à acquiescer et déclencher le plan de Superman.

- Bien monsieur. Protocole Paix Fantôme activé.

Le déluge de mort est sur le point de ravager la ville...
La destruction semble inarrêtable, instoppable, inévitable.
Puis...
Plus rien.
Le fruit mortel des entrailles mécaniques des armadas thanagariennes et dominators s'est envolé, comme s'il n'avait jamais existé. Mais il existe toujours. Ailleurs. Là où il ne pourra blesser personne. Au cœur de la Zone Fantôme. Qui s'est refermée une fois le pilonnage atténué. Vu la gourmandise en énergie d'un tel dispositif, il ne sera pas possible de le réutiliser de sitôt.

- Vous nous croyiez vraiment sans défenses ?

Superman disparaît.
Il fonce, à super-vitesse.
Un flash rouge et bleu fend l'air, profitant du temps de surprise et d'hébétement provoqué par ce prodige. Il balaie un par un tous les vaisseaux spatiaux, broyant, arrachant, tordant, soudant toutes les armes les plus en évidence pour réduire un peu la puissance de feu dévastatrice.

FWOUSH SKRUNCH

Enfin, il vient se positionner au niveau du vaisseau amiral, bras croisés face aux vitres de l'énorme cockpit de commandement. Rares sont les colères de Superman. C'en est une. Une qui allume et fait brûler ses yeux avec la chaleur de mille soleils. Un regard que personne ne souhaite croiser, d'ordinaire.


- Vous nous pensiez faibles ? Nous ne le sommes pas.

Bip bip bip bip !
Sur les radars des vaisseaux aliens, une nouvelle raison d'avoir peur fait son entrée. Et elle se déplace vite dans les airs. Très très vite. Suffisamment pour ne laisser derrière elle qu'une trainée colorée elle aussi. Une trainée rouge et bleue. Et blonde.
Et des débris.
D'autres canons et d'autres armes.


- Nous ne le sommes vraiment pas.

Supergirl vient enfin d'arriver sur le champ de bataille, prête à épauler son cousin, son petit-cousin et à défendre la Terre contre cette inacceptable invasion venue des étoiles.

Spoiler:

Batman fait face à Jefferson Pierce, en silence.
Pendant un long moment.

Tous deux se fixent. Tous deux se toisent. Tous deux s’observent.
Tous deux… se jugent.

Leur lien est ancien. Leur amitié aussi ; elle perdure.
Même si… elle s’effrite, un peu.
Parce que l’un a laissé l’autre, l’a abandonné en disparaissant et en refusant de reprendre sa place. Parce que l’autre fait au mieux – mais prend des décisions difficiles ; discutables.

Lourdes de conséquences.

« Hrm. »

Bruce grogne, cependant, quand Rose Wilson les rejoint.
Bel hasard.
Heureuse diversion.

« J’arrêterais… quand le monde arrêtera d’avoir besoin de moi. »

Un peu de théâtral et d’égocentrisme.
Non, il n’a pas tant changé que cela, finalement.

Il acquiesce quand le Président Pierce cède finalement aux demandes de ses employés, et de ses protecteurs.
Il accepte d’aller dans le bunker.

Alors que les portes s’ouvrent et que les protocoles sont suivis, le Chevalier Noir se tourne – et voit la scène ; les scènes.
Tandis que le message télépathique résonne dans son esprit.
Il voit la chute des vaisseaux de la Citadelle. Il voit l’arrivée des engins de Mars.

Et… il ne sourit pas.
Parce que tout cela le préoccupe, encore.
Même si, heureusement, les échanges entre Flash et Cyborg lui confirment que d’autres gèrent, dehors ; et bien.

« Cyborg.
Si… tu te connectes aux fichiers de la Justice League, tu peux te diriger vers les dossiers comprenant les archives des repas scolaires pris par les Teen Titans dans leur deuxième année de cours secondaire.
Tu trouveras, en ôtant quelques parefeux, les codes d’accès à… un satellite positionné au-dessus de Washington. Il te permettra de scanner idéalement la zone – et d’aider Flash. »

Un satellite des Entreprises Wayne, bien sûr.
Batman ne dit rien de plus.
Il cesse alors sa communication, laissant sûrement ses camarades dans la surprise de découvrir quelle cachette il a employée pour ces codes. Belle imagination.

Le Chevalier Noir suit, alors, le Président Pierce, ses hommes et Ravager.
Quelques pas derrière.

Un peu plus lent. Un peu plus… prudent.
Et il fait bien.

Parce que, alors qu’il se colle au mur, trois agents gouvernementaux se transforment ; se changent.
En monstres.
En Durlans – ces extraterrestres métamorphes et agressifs.

« Mmh. »

Un léger souffle s’échappe de ses lèvres, alors qu’il réfléchit à la manière d’agir ; vite et bien.
Cela ne dure pas.

Il se lance.

En bondissant sur un Durlan, qu’il soûle de coups ; qu’il harcèle de frappes.
Au point que l’ennemi ne s’en remette pas.

Le Durlan est vaincu.
Batman… non. Il se relève, se redresse.

Et fait face aux deux autres – avant de se lancer, encore.
Il feint de se jeter sur celui à droite.
Mais se projette plutôt vers celui à gauche, qu’il frappe au visage ; erreur.

Le Durlan module son corps, pour bloquer le coup et tenter d’emprisonner Bruce.
Ce dernier réagit en retirant son bras, au prix de plusieurs autres coups. Douloureux pour le Durlan, fatigants pour le héros.

Batman recule, alors ; et se prépare.
A la suite.
Au combat.
Au pire…


(HJ/ Résumé rapide :
- Batman et le Président se fixent, graves ;
- Batman répond à Rose puis s’adresse à Cyborg pour lui donner accès à un satellite ;
- Batman suit de loin le Président et Rose ;
- Batman saute et bat un Durlan ;
- Batman tente d’en vaincre un deuxième, mais échoue et se prépare à la suite. /HJ)

Metropolis

Deux traînées rouge et bleu traversent le ciel de Metropolis en désarmant les canons de l’armada Domino-Thanagarienne réunie. Superman, Supergirl. Cousin et cousine unis dans un même but commun: Repousser l’offensive militaire de l’Alliance Alien. Superman arrive devant le cockpit du vaisseau le plus gros de la flotte qui attaque Metropolis, celui qu’on peut sans trop s’avancer qualifier de “vaisseau amiral” de l'offensive sur sa ville. Une traînée blanche et argentée parcoure elle aussi le ciel, précédant un bang supersonique et un cris, surtout. Un cris magique qui était désagréable pour les Kryptoniens mais qui est poussé à bonne distance d’eux justement pour cela. Silver Banshee attaque des chasseurs aliens, des cibles à la portée de sa force moindre que celle des porteurs du “ S”.

Parce que Silver Banshee est leur amie aujourd’hui. Même si c’était plus le cas pour Clark que pour sa cousine. Mais l'Irlandaise elle était venue sur la lune pour le tirer des griffes de Zod avec Kalel et Batgirl. La Banshee avait elle même veillée sur cette ville de longs mois aux cotés de Clark, mais la guerre menaçant l’Europe elle était rentrée chez elle en Irlande. Exsangue l’île n’est pas du tout une cible d’intérêt pour les envahisseurs, elle choisi de combattre dans cette ville.

Metropolis où elle avait commise ses crimes par le passé était aujourd’hui sa ville de cœur. Une ville rayonnante comme son protecteur qui valait la peine qu’on se batte pour elle. Kara Zor-El et Siobhan McDougal s'arrêtent aux coté de Kal-El. La banshee prend alors une grande respiration et s’adresse à la flotte d'invasion. Sans crier mais avec une voix suffisamment forte pour que tous les vaisseaux l’entendent.


[Rentrez chez vous et ne revenez jamais!]

Elle leur parle dans la langue des Dominators, qu’elle a découverte à Mosaic. En rencontrant certains d’entre eux dans la grande structure bâtie par Superman, un lieu qui avait pour ambition de réunir le maximum de savoir sur les cultures des extraterrestres réfugiés sur Terre. Un lieu détruit depuis l'attaque d'Eradicator. Mais les habitants de la citée de bric et de broc se battaient, eux aussi. En ce moment les aliens de Mosaic défendaient Sydney, Melbourne et Camberra.

Siobhan était allée là bas pour voir. Car elle voulait savoir ce qu’ils feraient, eux dont elle se méfiait. Si ils aideraient l’envahisseur à conquérir la Terre, car ils étaient déja sur place. Il est facile de croire que les réfugiés sont là pour nous vouloir du mal. Ne viennent t’ils pas de contrées hostiles?

Mais...si ils sont réfugiés. Déracinés. Si ils une partie de leur cœur est restée là bas ce n’est pas pour rien. Ils fuyaient quelque chose. Et aujourd’hui ils se battaient aux cotés de la Terre pour que celle ci ne devienne pas ce à quoi ils ont tenté d’échapper. Silver Banshee a vue leur combat. Qu’elle devait leur faire confiance. Et elle était venue ici auprès du meilleur d’entre eux, pour se battre à ses cotés. A travers la verrière du poste de commandement du vaisseau amiral des Dominators de haute caste se tiennent debout face à lui. Immobiles ils regardent Superman aux yeux rougeoyants, quelques gouttes de sueur perlant sur leurs grands fronts.

HJ:

Spoiler:

Sitôt que Lorena s'aperçut de l'action de Koryak, elle essaya de le décoller d'Orm. Elle ne faisait pas ça pas de gaité de cœur. Elle aimait Koryak, et elle partageait sa peine pour l'illustre inconnue qu'était sa mère mais ce n'était pas le moment. Ce n'était pas le moment de faire la fine bouche alors qu'il était tous en danger de mort.
L'attaque d'un extraterrestre manqua de la blesser, elle lâcha Koryak pour balayer les assaillant autour d'elle. Elle appela son homme à l'aide, seule elle était dépasser par la masse. Elle avait ses limites.

"Par Poséidon Koryak, lâche ce connard ou risque de crever !"

A ce moment, elle lâcha un cris, l'un des tir l'avait légèrement blessé et en Koryak encore en larme surgit pour attaquer le tireur, son poing héritier de la force d'Aquaman broyant le crâne de l'extraterrestre.

"-Je ne laisserais pas ceux que j'aime mourir."

Lorena ignora et transperça un soldat, arracha d'un coup de pied la mâchoire d'un autre. Lorena n'étaot pas une combattante réputée pour sa grâce ou une approche subtile.
Le couple combattis dos à dos recouvrant le sol de sang et encaissant blessure après blessure, mineure mais nombreuses.
Lorena murmura à Koryak quelque chose et un instant, il blêmit car il la savait mécontente. Il les a mis en danger. Un second murmure pourtant sembla la rasséréner. Il aurait un jour sa vengeance.
Lorena se surpris à apprécier la violence, le chaos de la bataille. Elle n'aimait pas cette part d'elle, une part qu'elle savait depuis longtemps existé et qui se complaisait dans la violence. Une part qu'elle ne peut ignorer, ce serait bien plus dangereux.
Elle se repris et questionna Orm sur une solution glacée car elle se rappelle du dôme qui protégeait la cité, peu de temps auparavant.


"-Eh, Orm, tu va pas dire que la glorieuse Atlantis n'a pas de protection comme l'espèce de dôme de glace. Comment on fait pour les activer?"

Il n'y avait pas d'excuse pour le comportement de Koryak, et on sentait la colère dans sa voix. Lorena Marquez se contenait car Orm pouvait être utile, qu'il était nécessaire

[HRP] : Lorena tente de dégager Koryak d'Orm mais est obliger de se défendre.
-Koryak vient à son aide en entendant son cris de surprise face à une blessure.
-Il massacrent leur adversaire mais récoltent de nombreuse blessure mineure.
-Lorena questionne Orm sur les protection d'Atlantis et sur le dôme de glace.