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Carcerophobia [Edward Nigma]

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Carcerophobia [Edward Nigma] Ven 18 Mar 2022 - 17:02

Rome ne s'est pas faite en un jour, disait Manzoli, célèbre cardinal italien ... Surtout connu pour cette phrase, en fait. Il a été également été reconnu pour avoir assisté à l'un des grands fiasco de l'histoire de l'Eglise, à savoir le concile de Pise. Une grande réunion du clergé pour décider qui des deux papes devait être celui qui serait le véritable souverain pontife. Au final, le conseil à jugé que les deux sois disant pape étaient fou ... En créant par la même un troisième. L'art d'empirer les choses lorsqu'on souhaite les arranger.

Certains diront que cette histoire n'a rien à voir avec l'histoire de l'épouvantail, mais Crane aimait s'inspirer des récits, mythologiques comme historique, pour relever des similitudes avec le présent. Et des ressemblances, il y en avait énormément.

Déjà, Gotham avait sans doute mit bien plus que Rome à se construire, et l'histoire d'Arkham était telle qu'une prise en un jour était également impossible. Si la prise de contrôle, spectaculaire, c'était déroulée en moins de temps qu'il faut pour le dire, sans grande exagération, c'est grâce à la préparation acharnée mise en place par le docteur que tout avait été possible, à savoir des mois. Graisser des pattes, persuader du personnel ... C'était un travail de longue haleine qui avait été entrepris. Scarecrow n'avait pas particulièrement besoin de son gaz pour être un grand super-vilain, il ne lui avait fallut que la parole pour commencer. Une sainte parole qui avait poussé au suicide nombre de ces codétenus, en proie au désarroi et à la terreur, une parole qui, ici, lui avait été utile pour rentrer dans l'esprit des gardiens et des psychiatres. Une fois dans la chambre des scellés, avec tout les outils des super-vilains à sa disposition, le reste n'était plus qu'un jeu d'enfant, même s'il n'avait eu besoin que de deux choses : son sérum, et le dispositif du Chapelier. Après cela, reprendre l'asile était si simple qu'il a eu le temps d'inventer un conte, à la gloire de ce nouveau chapitre inscrit dans les murs d'Arkham.

Aujourd'hui, il était le maître des lieux. Incontestablement, ou presque. Parce que de l'extérieur, rien n'avait changé, et le dispositif du Chapelier fonctionnant sur les couvre-chefs des employés, rien ou presque ne laissait présager que le Dr Jonathan Crane était de retour dans la danse. Sauf si un fantôme à l'oeil attentif se promenait dans l'asile, il pourrait le voir ici et là, se promenant à sa guise pour le bien de ses test et de ses expériences.

Car Crane ne comptait nullement s'en aller pour le moment, si ce n'est pour le business ou faire quelques petites escapades : sa maison, c'était Arkham, et il en était le propriétaire officieux désormais.

Mais les ressemblances avec monsieur Manzoli ne s'arrêtent pas là, car des papes, il y en a bien deux, à Arkham, mais aucun ne souhaite se tirer dessus pour le moment. Déjà, il a bien sûr Crane, qui dirige l'asile et dispose des gardes comme il l'entend. Mais il n'est pas seul.

Warren White, le grand requin blanc, est également un grand visage de l'asile. Il troque, fait passer clandestinement à l'extérieur de l'asile toute personne pouvant lui revaloir un tel service ... Il est une mafia à lui seul dans cet asile. Et tant qu'il a un champ d'action aussi libre, il est une menace. Il ne se permet pas de sortir des clous pour le moment, parce que l'épouvantail améliore la vie des patients (et en pourrit d'autres) et parce qu'il sélectionne également des tarés qui prendraient congés de leur maison d'adoption ... Mais chacun des deux veille, et dès que l'un en aura l'occasion, il virera l'autre.

Et la première pièce sur le puzzle de Crane n'était autre que celui qui adorait en créer. Le Sphinx s'était blanchi de toute les activités criminelles qu'il avait pu faire, et menait désormais une vie de bon citoyen. Un bon conte, auquel Crane ne croyait pas. Il était sûr que Nigma préparait quelque chose, ou dans le meilleur des cas, qu'il allait sombrer de nouveau très bientôt dans le monde criminel. Mais soit. Le maître des peurs joua le jeu, et invita le Riddler à se rendre à Arkham, pour ses compétences, se faisant passer pour le directeur de l'établissement. Ce qu'il était, ceci dit. Nigma se ferait donc guider jusqu'ici, par des gardes. Mais ce n'était pas Jeremiah Arkham qu'il y trouverait.

C'était un vieil "ami".


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Re: Carcerophobia [Edward Nigma] Dim 27 Mar 2022 - 18:45

Mot en six lettres désignant un endroit où, lorsque l’on est gentil, le temps est court. Et lorsqu'on est méchant le temps paraît si long. Que suis-je ?

Edward avait reçu un mail de la part du directeur de l’Asile d’Arkham. Au début, il ne cliqua pas sur le lien. Il pensait que ce n’était qu’un spam. Impossible que l’Asile le contacte. Puis après quelques minutes passées dans ses dossiers d’adultère en cours, il décida de lire ce fameux mail. Et le contenu l’intriguait. Edward vérifia bien que c’était le directeur qui lui avait envoyé cela et non un simple hacker qui souhaitait se targuer d’avoir pranké l’ancien Sphinx. Car vu ce que proposait Jeremiah Arkham, cela laissait perplexe Edward.

C’était une invitation à l’asile pour demain à 21h. Une heure tardive où aucun visiteur ne sera présent. Les visites se terminant généralement vers 19h.

La raison de la visite concernait une demande d'aide concernant la sécurité de l'asile. Néanmoins cela restait assez vague. L’actuel détective privé et business consultant à temps partiel, était simplement “cordialement invité” à l’Asile d’Arkham. Edward le prit comme une blague au début et décida de ne pas s’attarder dessus. Mais après plusieurs heures passées sur ses enquêtes en cours, Nigma prit la décision d’accepter l’invitation et renvoya un e-mail de confirmation. Les dernières actualités concernant ce lieu n'avaient fait état d’aucune évasion majeure. C’était calme. Bien trop calme pour Arkham.



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La nuit était fraîche et il pleuvait, pour changer tiens. Les grilles métalliques de l’asile conservaient leur aspect sinistre. Le bruit qui les accompagnait lors de leur ouverture était caractéristique de ce lieu. Malgré le fait d’être dans un taxi, Eddie pouvait discerner ce bruit. Qu’on soit d’accords, Edward Nigma n’avait peur de rien, mais en voyant cela, un léger frémissement se fit ressentir à travers tout son corps. Il haïssait ce lieu. De nombreuses fois il avait traversé ce portique, cette entrée vers ce lieu maudit. Un lieu toujours sombre et où la nature semblait avoir perdu ses droits depuis bien longtemps; au grand dam d’Ivy.

Arrivant devant l’entrée, deux gardes se présentèrent devant Edward.

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Ce dernier était protégé par la pluie diluvienne, grâce au chauffeur de taxi et à son parapluie. Pourquoi faisait-il cela ? Question stupide à la réponse simple. L’argent.


“Fraîche soirée n’est-ce pas ?

“...”

Aucune réponses. Les gardes d’Arkham étaient connus pour être rustres. Edward ne pouvait leur en vouloir car après tout il avait été un des résidents de cet établissement. Certes il avait joué quelques tours aux gardes mais rien de bien méchant en comparaison avec Killer Croc. Il aimait se dire qu’il avait été un passager calme dans ce navire empêtré dans une tempête éternelle de folie.

Les portes métalliques s’ouvrèrent. Eddie reconnut le bruit caractéristique du verrou métallique qui s’ouvrait. Le chauffeur s'en alla. Bien entendu, l’ancien Sphinx, escorté par les deux gardes, fit une rapide observation de l’entrée. Les caméras de surveillance n’avaient point bougé de place. Toujours les mêmes vieux modèles. Il ne fallait pas s’étonner que l’établissement soit une passoire. Après s’être présenté au guichet d’acceuil, devant une infirmière au teint pâle et au regard absent, Eddie se vit confié un badge de visiteur. Sa première fois en tant que “visiteur”, quelle ironie. Vu le nombre de fois qu’il s’était échappé de cette passoire géante, ce badge aurait dû lui être confié bien avant.

Suite à cette étape, ce fut au tour de la porte métallique géante de s’ouvrir.

“Sésame, ouvre-toi.”

Un système fournit par Wayne Enterprises. Cette porte représentait le sas entre la réalité et la folie qui résidait au sein de ce lieu. Un bien jolie mécanisme qui était présent un peu partout dans l’asile. C'était normalement impossible pour les détenus de défoncer ce type de porte. Y compris pour Killer Croc ou Bane. Et encore il fallait le vérifier. Nigma nota cela dans un coin de son cerveau surdéveloppé.

Au bout de quelques pièces et couloirs, Edward remarqua un comportement inhabituel chez la plupart du personnel. En soit le comportement des internés n’avait point changé, ils étaient restés fous. Mais l’ensemble du personnel ne parlait point. Aucun mot ne sortaient, aucune conversation officieuse ou de blagues vaseuses pour “détendre” l’atmosphère. Le rêve bureaucratique à l'état pur. Etait-ce dû son arrivée ? Le fait de devoir demander l'aide d'un ancien “super-criminel” ? Ou y avait-il autre chose ?

Nigma tabla sur cette dernière hypothèse. Pendant le reste du parcours qu’il restait à ce petit cortège qui entourait Nigma, il fit ses calculs et énuméra une liste. Néanmoins le détective privé se vit arrêter dans ses pensées lorsque l’alarme d’urgence se déclencha. Au bout du couloir, on pouvait apercevoir le début d’une émeute. Quelques prisonniers avaient sûrement commencé à régler leurs différends par les poings et non la parole. Forcément, l’attention entière du personnel de l’asile allait se concentrer sur cette situation. “L’escorte” de Nigma l’emmena au plus vite dans une salle d’interrogatoire, encore une fois sans sortir un son. La porte de la salle se ferma et le verrou magnétique fit un bruit distinctif. Eddie se retrouva alors seul devant une table et une chaise située au milieu de la pièce. Une partie de cette dernière était plongée dans l’obscurité, tandis que la partie située entre la table et la vitre sans teint était éclairée. Une caméra était située dans l’un des coins de la pièce.

Nigma s’installa et commença à reprendre sa liste pendant cette attente. Pour stimuler ses cellules grises, il sortit un paquet de cartes et commença un solitaire. La première carte à sortir fut le Roi de Pique.

“Qui ?”

La deuxième fut un Joker.

“Non. Hors-jeu.”

La carte fut enlevée.

La troisième carte se dévoilà.

“Hmm.”

“Chacun en possède une. Ou est-ce elle qui nous possède ? Enfin, elle nous fait avancer, ou reculer. C’est selon. On peut l’utiliser mais elle peut se retourner contre nous. Que suis-je ?”

Suite à cette phrase, la lumière rouge située sur la caméra et qui était allumée depuis le début, venait de s'éteindre.

Une prison.
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Re: Carcerophobia [Edward Nigma] Dim 3 Avr 2022 - 11:23

L'émeute n'était pas prévue dans le scénario pour isoler l'homme mystère, qui aurait dû se retrouver dans le bureau principal du directeur, mais il témoignait au moins de l'indiscipline qui régnait malgré la prise de pouvoir de l'épouvantail. Warren White menait le business des bas-fonds de la ville qu'était Arkham d'une main de maître, si ce n'est même aussi bien qu'auparavant. Mais contrairement à Jeremiah Arkham, Crane disposait de ressources nouvelles, et d'alliés qu'il s'était fait au fil des ans.

Les caméras ne furent pas les seules choses à s'éteindre : il en fut de même pour la lumière. Scarecrow savait au moins une chose : soigner ses entrées. Alors que les cris des détenus et les ordres des gardiens étaient donnés au loin, la porte de la salle d'interrogatoire grinça. Lentement, elle ne laissait pourtant nullement passer la lumière, qui était également éteinte dans le grand couloir. Elle finit par se refermer, sans que le grincement ne s'arrête, et bien que le Sphinx n'aurait pu sentir nul souffle, il pourrait aisément comprendre que l'atmosphère avait changée. Il était guetté, par quelqu'un, dans l'obscurité. L'ambiance calme était devenue lourde, poisseuse, angoissante. Du moins, pour quelqu'un de saint d'esprit.

Riddler et Scarecrow s'entendaient bien, pourtant, du moins aux dernières nouvelles du docteur. Pour Jonathan, cette situation n'était qu'un salut amical avec le Sphinx, le temps de lui laisser deviner qui était aux commandes.

"La peur, Eddie."

Les lumières se rallumèrent, alors. Un tour de passe passe à base de reconnaissance vocale ou de compte à rebours, ou seulement quelqu'un pour rallumer à ces paroles ? A vous de deviner.

Mais en tout cas, Nigma aurait pu voir face à lui le nouvel hôte des lieux.

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"Ceci dit ce que j'aime bien avec ces énigmes, c'est que plusieurs réponses sont possibles, même si tu n'en garde qu'une. La conscience par exemple, pourrait très bien marcher. Deux thèmes pour lesquels je t'ai convié. Car oui, Jeremiah à du prendre des congés forcés. Qu'est-ce qu'un homme saint d'esprit à la tête d'un asile rempli de dégénérés?"

Une simple devinette qui ne poserait sans doute aucun problème à celui qui en était le maître.

"J'ai réussi à m'approprier cet asile en une attaque éclair, de l'intérieur, qui a fait office de coup d'état. Néanmoins, j'ai besoin de tout garder sous mon contrôle. De combler les failles, pour mener à bien des expériences qui ne sauraient être interrompues par les oiseaux de nuit là dehors."

Lâcha t-il en agitant sa main vers l'extérieur de la salle d'interrogatoire. Il avait un grand plan en tête, qui ne saurait-être perturbé par Batman, les Birds of Prey ou les petits Robins.

"J'ai besoin de tes compétences, réellement. Tu es la seule personne que je connaisse à Gotham à pouvoir faire de cette passoire une prison plus sécurisée qu'Alcatraz. Je t'aurais bien demandé un prix d'ami, mais j'ai un grand plan très important dont la réussite est obligatoire. Je ne tolérerais aucun échec. Aussi ... Ton prix sera le mien, Eddie."
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Re: Carcerophobia [Edward Nigma] Dim 8 Mai 2022 - 20:40

L'art de soigner ses entrées. Un talent qui peut s'avérer fort utile pour impressionner ou avoir le dessus lors d'un échange. Ou tout simplement pour effrayer quelqu'un. Et il fallait l'avouer, Jonathan Crane faisait partie de ceux qui possédaient ce talent. L'épouvantail provoqua quelques frissons chez Nigma. Mais rien de plus, car cela ne faisait que confirmer son hypothèse. Comme toujours Eddie avait vu juste. Et le sentiment de supériorité surpassait la peur.

"La peur, Eddie."

"J'étais sûr que tu trouverais." Prononça le Sphinx qui se rassurait quelque peu d'avoir à faire à Crane plutôt qu'à Hugo Strange. Les deux hommes avaient la plupart du temps eu des échanges neutres et quelques fois amicaux. L'épouvantail avait toujours respecté le génie d'Edward et ce dernier reconnaissait que Crane était bon dans son domaine.


"Ceci dit ce que j'aime bien avec ces énigmes, c'est que plusieurs réponses sont possibles, même si tu n'en garde qu'une. La conscience par exemple, pourrait très bien marcher. Deux thèmes pour lesquels je t'ai convié. Car oui, Jeremiah à du prendre des congés forcés. Qu'est-ce qu'un homme saint d'esprit à la tête d'un asile rempli de dégénérés?"

"Facile. Un fou." Un petit sourire s'esquissait sur le visage du détective privé.

"J'ai réussi à m'approprier cet asile en une attaque éclair, de l'intérieur, qui a fait office de coup d'état. Néanmoins, j'ai besoin de tout garder sous mon contrôle. De combler les failles, pour mener à bien des expériences qui ne sauraient être interrompues par les oiseaux de nuit là dehors."

Nigma écouta attentivement, et nul mot ne s'échappa. Excepté encore ce sourire propre au Sphinx. Un sourire que l'on pouvait interprété comme sarcastique si l'on ne s'y attardait pas.

"J'ai besoin de tes compétences, réellement. Tu es la seule personne que je connaisse à Gotham à pouvoir faire de cette passoire une prison plus sécurisée qu'Alcatraz. Je t'aurais bien demandé un prix d'ami, mais j'ai un grand plan très important dont la réussite est obligatoire. Je ne tolérerais aucun échec. Aussi ... Ton prix sera le mien, Eddie."

"Mmmh." Voilà qui s'avère opportun. Nigma fit la moue pendant quelques secondes. Sa main droite se plaça sur son menton et il abaissa le visage.

"Comment faire d'Arkham, une prison de haute sécurité ?"

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"En voilà, une énigme intéressante que tu me poses Crane." La main droite se releva et son index pointa le plafond de la salle d'interrogatoire. Le détective releva la tête.

"Il y a quelques années, résoudre cette seule énigme aurait été le prix de ce service. Mais j'ai moi aussi un "grand plan" qui va nécessiter plusieurs pièces."

Nigma abattait ses cartes. En prononçant cela, Eddie remis son jeu de cartes en ordre pour le ranger. Il aurait très bien pu cacher le fait qu'il avait un projet de grande envergure à Crane. Après tout il pouvait être encore enregistré par le docteur. Mais comme toujours, son impulsion de laisser des indices prit le dessus.

"Certaines d'entre elles sont d'ailleurs en ta possession..."

"Trois choses." La main gauche d'Edward se leva et l'index, le majeur et l'annulaire suivirent les mots prononcés.

"La première est la technologie de Jarvis Tech. Je sais que tu t'entends bien avec notre amateur de Lewis Carroll. Je vais également avoir besoin d'échanger avec lui." L'annulaire se plia.

La deuxième est d'avoir un accès privilégié à ce lieu. Même si je ne l'apprécie guère, cet asile renferme néanmoins des trésors. Ainsi être habilité à pouvoir avoir accès à l'ensemble des patients et des lieux de cet endroit, quand je le souhaite, est une de mes conditions. Le majeur, levé vers le ciel, se plia. L'index quant à lui, fut dirigé en direction de Scarecrow.

"La troisième est Toi, Crane. Ou devrais-je dire, "directeur Crane"." Eddie fixa le docteur et ne put s'empêcher d'esquisser encore une fois un sourire. Il arrêta d'être grossier, en utilisant ses mains pour remettre le jeu dans son paquet. Son attention passa ainsi de Crane aux cartes.

"Je reviendrais plus tard sur cette troisième contrepartie. Lorsque le travail sera fait." Suite à cela, Nigma, remis son jeu de cartes dans l'une de ses poches intérieurs, se leva de son siège, repris sa canne et se dirigea vers la porte. S'arrêtant à mi-chemin, il se retourna vers Crane et le fixa.

"Je sais que c'est un saut dans l'inconnu. Mais après tout, l'inconnu n'est-il pas une énigme en soit ?" Suite à ces mots, Edward réajusta sa cravate.


"Je suis prêt pour une petite visite. C'est quand tu voudras. J'ai hâte de revoir la salle de contrôle. J'espère qu'ils ont mis à jour le logiciel d'exploitation...Enfin, c'est Arkham, il ne faut pas rêver non plus."



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