Hey Men, What you wainting for ? [With John Constantine]

Je terminais de posé un vase africain sur un meuble en épicéa quand je pris enfin la décision de mettre une tenue adéquate et tentait une petite sortie en ville.
La ville ? St Roch, j'avais décidé de partir de New York, mon passé me rongé trop et j’éprouvais un cruel besoin de changé d'air. St Roch étant assez polyvalente je pouvais autant continué ma carrière de Top Model que d'Héroïne. J'effleura du bout des doigts mon Totem sans pensé a un animal, je n'en avais pas l'utilité en cet instant.
Quand je fus sortie d'une douche relaxante j'enfilai une tenue qui correspondrais bien a cette envie de sortir mais qui fesait pertinemment ressortir mon côté Africain. Une jupe longue fendu sur la droite jusqu'au haut de ma cuisse doré, d'une intense couleur rouge, coordonnée à un chemisier noir pourvue de manche en jabot, saillant ma taille d'une ceinture noire ornée d'une boucle grenat, une paire de collant marron et une des bottes sombres. Je pris une paire de boucle d’oreille couleur rouge pour resté en harmonie avec ma tenue, prenant soin de me maquillait avec un peu de légereté, un simple gloss transparent sur mes lévres, un peu de fard a paupière sombre puis saisissant une veste noire au cas ou.

Quand je fus hors de mon nouvel appartement situé dans un immeuble assez hupé de la ville, je pris la direction des endroits ou je savais que je pourrais passez un agréable moment. Mon regard noisette jetta son dévolu sur un bar musical dont la devanture brillaient comme un néon neuf, ses couleurs ambre et marron me faisait de l'oeil. J'entra en passant devant une bande d'homme en veste brune qui me regardait comme si j'était un morceau de viande qu'on jette a une horde de loup affamé.
L'ambiance du dit bar était assez joyeuse en vue de l'heure, en même temps il n'était que 22h30 et la nuit ne faisait que débutté. Je pris la direction du bar et m'y accouda de manière plaisante.

-"Bonsoir"! Dis je d'une voix suave au barman.
- "Bonsoir Mademoiselle, que puis je vous servir?" Répondit le jeune homme avec un sourire.
- "Qu'importe...Je veux juste que la couleur soit celle d'un coucher de soleil" Dis je en me retournant pour regardé l'ensemble du bar.

J'entendis les verres et le tintements joyeux des bouteilles, le bruit sourd m'indiqua que mon cocktail était fin prêt, je me retournais une nouvelle fois, et pris mon verre, versa le dollar que coutait la boisson puis je pris la direction d'une table ronde près de la scène en passant devant deux autres tables qui était déjà occupé par bon nombre de personnes qui se délecté de la musique qui était joué sur la scène.
Je fis glissé mon verre sur la table et y déposa ma veste, un sifflement masculin me parvint au oreilles, surement du a ma tenue vestimentaire je présume, je fis une grimace de dédain et croisa les jambes sur ma chaise, sirotant paisiblement ma boisson. Pendant que les hommes en parka brunes s'avançais dans ma direction.
Apparemment ils étaient bien décidés a se joindre a ma table, puisque je venais tout juste de me saisir de la seule table disponible dans ce petit bar.

Je sirotais tranquillement ma boisson quand les voix masculines fusèrent de manière impolie, brutale et évidemment cela tourna à la baguarre. Le groupe de Jazz ne procura plus un son, le barman essuya le même verre à tel point que mon esprit pensa qu'à force il aller usé le pauvre verre. Soupirant, je reposai mon verre doucement sur la table et me leva avec classe.
Je passa mon doigt sur mon totem en pensant au Serpent, ça fluidité dans les mouvements me permit de mettre pile au milieu de cette bagarre pleine de testostérone. L'un des types se figea tandis que les autres asséné l'homme blond de coup de pied.

- Bouge de là ma jolie ! Fit le type dont les vêtements était souillé d'un liquide odorant et ambré.
- J'allais justement vous dire la même chose ! Répondis je avec aplomb sans bougé.
- Ecoute ma mignonne, tire toi et il n'arrivera rien à ton charmant minois. Laisse moi m'occupé de cette épave. Dit il en lançant un regard mauvais en direction de l'homme qui avait osé taché sa veste.
- Et si je me retire pas tu va faire quoi mon chou ? Me jeté ton blouson sale à la figure ? Allez dégage tu empêche le groupe de joué et j'aime pas qu'on ruine mes soirées !
- Okay beauté tu m'a mis en colère je vais t'apprendre a resté à ta place ! Surtout que c'était à toi qu'on voulais faire la conversation Fit l'homme en brandissant sa main.

Un sourire mauvais étira ma bouche laissant apparaître les crocs du serpent, je pu effleurais juste à temps mon pendentif et opta avec facilité pour un de mes félins que j'apprécié tant, lorsque je dois me joindre a une partie de corps à corps tumultueux je prend toujours un félin, dans ce cas précis la panthère était parfaite, agilité, force, férocité, le tout mêlé a mes aptitudes aux combats.
La main de l'homme allait me parvenir aux visages quand je la stoppa en prenant son poignée, mon sourire mauvais s'allongea tandis que le forcais sur le cartilage de son poignet, le cri qu'il poussa accompagné d'un ravissant "sale petite garce", me permit de lui retourné un coup de pied dans l'estomac, le souffle coupé il recula d'un bon mètre atterrissant sur une table dont les occupant c'était empressé de vidé.

- Et toi retourne donc à la tienne !Répondis je en le regardant se levé parmi les débris de bois, tournant la tête vers ses "hommes de mains", je m'avançais vers eux, les mains devant moi, comme si je brandissais des griffes acérés, mon regard se posa sur eux, certains hésitèrent. Hey "le déchet" tu compte bougé ton derche et m'aidée ou tu va resté à terre comme un ver de terre rampant ! Commentais je d'une voix ferme en assainant un violent coup de poing dans le visage d'un des hommes qui l'avait violentée.

N'est ce pas aux hommes de défendre les faibles femmes ? Bon je vous l'accorde je ne suis pas une faible femme, non bien au contraire, mais faut admettre qu'il à crée du grabuge alors autant qu'il se joigne à moi. Je pu me frayé un chemin jusqu'au type par terre, repoussant les agresseurs a coup de pied et de poing et avec une agilité digne du félin que j'avais choisi.
Je tendis le bras vers l'homme pour l'aidé a se relevé tandis que les "brigands", se relevé et avançais accompagné de leurs chefs, prenant un main des bouteilles cassé et des morceaux de bois.
-

Je ne pris pas en compte le fait qu'il venait de m'appellé chérie, passons, le pauvre homme venait de se faire émasculé par une femme, je pouvais comprendre sa colère et donc son besoin de leurs mettre une belle raclée en quelques minutes seulement.
Dommage que le Barman mis fin à la baguarre, je pris ma veste qui était a terre, et pris soin de piétinnées les hommes aux sols quand l'autre me demanda de le suivre pour aller ailleurs.

- Je ne suis pas de la ville justement...Je viens d’emménagé et je pense pas que ces flics viendrons à mon appartement ! Et ci c'est le cas je les embobinerais sans problème ! Dis je en saisissant le bras de l'homme pour le hâte de traversé la route et de rejoindre l'immeuble d'en face, j'entrais le code de sécurité pour ouvrir la porte et appuya une nouvelle fois sur un des boutons pour l’ascenseur. Les couleurs bleuté qui joué sur les murs me firent grimacé.

Je repris le bras de l'homme et le conduisis vers les escaliers, en lui intimant du regard de monté, je dois admettre qu'au bout du second étage le petit bruit mélodieux de l’ascenseur me parvint aux oreilles, j'entendais aussi des bruits en bas et je me doutais que les flics étaient surement venu interrogé tout le monde. Je poussais l'homme dans l’ascenseur et appuya sur le bouton 5.
Nous eurent droit a cette mélodie d’ascenseur, vous voyez le genre de chanson toute douce, toute chiante quand y'a une scène d'action en pause ? Oui celle là.
Attrapant les clé dans ma poche, je fis tinté doucement le tout et quand les portes s'ouvrit je repris le bras de l'homme pour l'emmené avec moi. Il n'eut pas de dire quoi que se soit que je le fis entré sans trop de cérémonie, jetant ma veste sur le canapé, je m'empressais d'allumé la télévision et les lumières.

- Salle de bains ! Dis je d'une voix qui sonner comme un ordre tout en pointant du doigt la porte qui se situé à gauche et dont la couleur blanche tué le reste de la maison, mais quand la sonnette et des coups bref furent annoncé à la porte je vis l'homme partir rapidement et fermé doucement la porte de la salle bain. Il avait compris que je le planquais.Je pris donc la direction de la porte que j'ouvris. Bonsoir messieurs. Dis je d'un ton a la fois polie et surpris.

- Bonsoir Madame ! Une bagarre qui a mal tourné c'est déroulé en face de chez vous, nous faisons un tour pour trouvé ceux qui ont participé.
- Une bagarre ? Mon dieu, y'a t il des blessées ? Demandais je feignant un moment de terreur et de stupeur.
- Quelques blessé Madame ! Nous avons besoin de votre nom, car même si votre visage me dit quelque chose je vois que vous êtes nouvelles dans le secteur. Fit le policier avec un peu de dédain.
- Oh bien sur, je vais vous passez ma carte d'identité ! Dis je en allant ouvrir un tiroir pour prendre la fameuse carte que je lui tendis.
- Mari McCabe...Oh voilà pourquoi vous me disiez quelque chose ! Fit l'homme, je lui décochai un sourire charmant. Il nota mon nom. Si vous voyez quelqu'un de suspect appellez nous, j'imagine que vous êtes seules ? Dit il en tentant de passez la tête à l’intérieur.
- Monsieur je suis arrivé dans cette appartement ce matin, j'ai à peine eut le temps de me douché, j'admet que je désirais sortir, vous voyez ma tenue.Et comme tout male il se hata de bien regardé la tenue évidemment. Mais si vous me dite qu'il y'a du grabuge alors je vais resté chez moi et fermer a double tour ! Répondis je avec naturel.

L'homme me salua, me souhaita une bonne soirée, insistant sur le fait que je devais signalé toute personne bizarre et qu'il s'en occuperais personnellement, je lui fis au revoir et ferma la porte avec soulagement pour ensuite parler avec une voix plus détendu.

- Bon sang, parfois je me dis que j'aurais fait une superbe actrice ! Dis je en me dirigeant vers la cuisine pour sortir deux verres. La porte de salle de bain s'ouvrit et je me retournais pour faire face à l'homme. Si il était de la ville et qu'il avait montré un réel besoin de fuir les flics c'était que son visage ne leurs étaient pas inconnu. Comme vous l'avez entendu je m’appelle Mari. Dis je en saisissant une bouteille de Whisky. Un verre ? Sans attendre la réponse je versa le liquide dans les deux verres et en pris un.

Après lui avoir servie un verre de whisky, le prénommé John se lança dans un subtil monologue, prenant en compte le fait que je n’étais pas d’ici, que beaucoup d’endroit était corrompu, dirigé par des mafieux, la pègre et tout le tintamarre. J’eu un sourire aux lèvres, posant doucement mon verre.
Ai-je l’air d’une femme qui a besoin d’être protégée ? Je crois me souvenir vous avoir aidé a sauvé votre admirable postérieur de cette bagarre si futile. Commençais-je d’une voix doucereuse. Bien sur, j’admire votre combativité. Terminais-je en caressant le rebord de mon verre.

Autant jouer carte sur table non ? Je n’ai pas ma langue dans ma poche, je sais très bien me défendre, je penchai quelque peut la tête et caressa doucement ma peau tout près du pendentif.

Voyez ce charmant pendentif qui orne mon cou ? C’est un totem Africain, qui est donné de génération en génération, ce totem m’a permis d’entré dans la ligue des justiciers. Dis-je en m’avançant vers John. Et oui, même les mannequins ont parfois des supers pouvoirs. Commentais-je dans un murmure en étant encore plus proche de l’homme.

Puis fronçant quelque peut le nez, je devais admettre que malgré son côté assez séduisant il ne sentait pas la fleur. Je me mordis la lèvre inférieur et recula un peu en reprenant un petit verre du liquide ambré.
Je vous invite a utilisé ma salle de bain une seconde fois, j’imagine qu’entre le sang et l’alcool de la bagarre vous devez surement vous sentir sale. Dis je sur un ton qui marqué que même si il se sentait potable, je le trouvais très peu attirant dans un tel état.

Je n’étais pas une marie couche toi là (relevons l’ironie du prénom) mais j’aimais prendre du plaisir en compagnie masculine, après il faut admettre que lorsque l’on vient d’arriver dans la ville qui abrite le grand Hawkman, ça donne envie d’aider. Je m’étais liée avec Shaira, mais je dois admettre que je n’avais encore jamais trop vu Hawkman, cela viendra surement.
Je m’attendais pas à ce que la ligue me convie a une mission, mais plutôt a me présenté pour leurs donné un coup de main, mon état psychologique ne me permettais pas de retourné pleinement dans la ligue. Mais il ne m’empêchais pas de les aidé si le besoin s’en faisait ressentir.

Quand il accepta ma proposition de prendre une bonne douche, je lui adressai un large sourire, quand la porte de la salle de bain se ferma je put enfin poussait un quelconque soupir, prenant la direction de la porte en face de la salle de bain, porte qui aller dans ma chambre, je me posai sur le lit et retira mes bottes. Le bruit sourd de la fermeture éclair qui descendait ne m’apaisait pas tant que ça mais la libération de mes jambes elle…Je poussai un nouveau soupir de soulagement et retira ensuite mes bijoux.
Bien après, je rejoignis la cuisine et passa mon doigt sur le verre, pour ensuite le remplir a nouveau du doux liquide, je tenais plutôt bien l’alcool à savoir si c’était dû au nombreux cocktail mondain auquel j’avais du assisté en tant que mannequin depuis quoi…10 ans environ ? Bah faut admettre qu’à la longue on est presque obligé de tenir la boisson. Les bruits de la salle de bain me firent sortir de ma torpeur, John me regarde et me demande de rester là. Je fronce quelque peut les sourcils et quand il se dirige vers la porte j’entends à mon tour d’autre voix.
Tiens donc…On a était suivie ? Intéressant, alors qu’il sort j’entends plusieurs coups de feu, j’avance de quelques pas pour venir l’aidé mais sans qu’il est besoin de dire quoi que se soit je comprends qu’il a décidé d’en faire une affaire personnelle. Je vois des éclairs rougeâtres qui sortent de ma porte, puis des bruits horribles, des odeurs immondes. Quand le bruit cesse je le vois tanguer, puis tomber au sol dans un bruit sourd.

Décidément…

Je suis dans l’obligation d’attrapa ces jambes et de le tiré à l’intérieur, le laissant au sol, je saisi mon téléphone et compose le numéro du gardien de l’immeuble, signalant qu’il y’a eu du grabuge et que quelqu’un à perdu beaucoup de sang a mon étage que c’est inadmissible…Enfin bon, je joue de ma réputation et menace même de ne pas verser un sou et de repartir illico. Je raccroche et soupire une nouvelle fois. Je suis obligé de retoucher mon pendentif pour prendre la fourmi et soulever le jeune homme que si je prenais un enfant, je l’allonge sur le canapé brun qui orne la pièce. Mon regard se pose sur son bras ou une sévère entaille est encore rouge, du sang coule quelque peut. Je me lève et repars vers la salle de bain. Ouvrant une sorte de petite malle en fer, je prends une bande blanche, un antiseptique, et du coton. Puis je reviens vers John, encore dans les pommes, j’en profite pour désinfecté son bras que j’enroule dans un bandage propre. Je me lève une nouvelle fois et prends un gant que j’imbibe d’eau froide, je reviens et pose doucement le tissu mouillé sur son front. Assise près de lui, je me dis que ce type à l’âme d’un héros, dans un sens il nous a débarrassés de ces gars…Et donc indirectement il m’a sauvé la vie. A le voir comme ça on sent qu’il est un solitaire, qu’il doit passez son temps à faire sa propre justice à l’aveuglette, qui doit souvent boire à en perdre la raison.

Je me lève et part la cuisine, je me hâte de préparé un bouillon simple avec quelques pâtes dedans, que je mets dans un bol, je m’en sers un aussi, certes ce n’est pas de la grande cuisine mais ce genre de plat permet de reprendre quelques forces, je pose le bol dans un plateau, je mets aussi une miche de pain et un verre d’eau, puis je pose le plateau sur la table du salon. Poussant doucement une de mes statues africaines. Je prends place sur un fauteuil près du divan et bois doucement mon bol, allumant la télé en attendant que l’ancien justicier ouvre les yeux.