Avengers #684 ramène donc Hulk, et annonce la véritable identité de Voyager ; mais, hélas, ça n'est pas vraiment passionnant.
Waid, Ewing et Zub se sont perdus sur cette trop longue et trop simpliste saga. Paco Medina et Joe Bennett ne sont pas brillants mais font le job, hélas pour une histoire très basique et finalement très vaine. Les rebondissements ne sont pas intéressants, sont prévisibles, et s'il y a une surprise sur l'identité de Voyager, la façon de la raconter et ce qui en est fait semble tellement fade que ça retombe à plat.
Anodin, inoffensif ; pas désagréable, pas mauvais hein, mais vite lu, vite oublié. Fade.