Pénurie ! (Sujet ouvert à tous)

Inscription : 26/09/2019

L’attaque était lancé en surprenant un monde qui n’y était pas préparé. Simultanément et à divers endroits de la planète la flotte sous marine sous les ordres d’Ocean Master et Tula Marius avait commencée à paralyser le trafic des navires pétroliers à travers le monde. Tantôt en abordant les navires et menaçant voir violentant l’équipage s’il refusait de faire demi tour pour retourner à son port de départ tantôt en sabotant leurs gouvernails et propulsions pour les reconduire si nécessaire, ce furent d’abord quelques tanker à travers le monde qui lancèrent des étranges appels, pour qu’en seulement une heure la nouvelle se repende comme une trainée de poudre chez tous les navigateurs.

Les Atlantes s’en prenaient aux pétroliers, les empêchaient de passer. Les dégâts aux navires se chiffraient déjà en dizaines de millions de dollars et les forces côtières étaient totalement impuissante face à cet ennemi invisible caché sous la mer et dispersé sur des milliers de kilomètres pour harceler ce qui passait au dessus de leur tête.

Au cour de la journée des gouvernements tentèrent d’intervenir contre ces étranges actes de piraterie qui n’avaient pas vocation à voler le contenu des navires mais les empêcher de passer. Plusieurs accrochages furent signalés entre des forces militaires déployées par la marine Saoudienne pour protéger les tanker et les Atlantes mais deux navires de guerre furent coulés en douceur, leurs coques percée en divers points. Ceux qui procédaient au blocus n’avaient de toute évidence pas envie de livrer une guerre car ils n’empêchèrent pas les canots de sauvetage de s’évacuer ou les garde côte d’intervenir. Quelque chose qui alertait et même s’il n’y avait pas de morts certains pays qualifiaient déjà les actions de terroristes, dès lors que de tels intérêts économiques majeurs étaient en jeu. L'économie toute entière de nombreux pays étaient menacés.

Au fil que la journée avançait la bourse paniquait et les états prenaient des mesures de sauvegarde de leurs intérêts stratégiques en sécurisant le pétrole non raffiné et les carburants sur leurs territoires. Les particuliers passant à la station service n’avaient droit qu’a une dose limitée de carburant et personne ne doutait que d’ici le lendemain le prix à la pompe aurait explosé, voir que dans certains pays n'ayant pas la possibilité d'extraire du pétrole sur son sol ou de le raffiner qu'il n'y aurait plus rien.

L’Europe avait été relativement préservée par ces attaques, le transit méditerranéen n’étant pas attaqué. Les pipeline passant par la Russie qui ne l'appréciait pas continuaient eux aussi à fournir en pétrole. Mais le prix à la pompe exploserait tout de même comme aux états unis qui disposait du pétrole de schiste extrait sur son sol et au canada, créant des mécontentements. En Asie la situation était encore plus préoccupante, la pénurie était presque totale de par leur grande dépendance au pétrole de la péninsule arabique. Péninsule arabique où la panique grandissait car le commerce devait reprendre au plus vite sans quoi leur économie tournée vers le pétrole risquait l’effondrement. Aussi l’Organisation des Pays Exportateurs de Pétrole menaça ces terroristes Atlantes qui n’avaient pas encore revendiqués leurs actions de prendre des mesures radicales contre eux s’ils ne cessaient pas leurs actes. Ils ne manquaient pas d’argent et l’utiliseraient pour se défendre.

HJ:

Spoiler:

Inscription : 04/10/2019

Les océans sont en proie à une lutte de force terrible, un bras de fer tel que le monde n'en a encore jamais vraiment connu: aux rêves de richesse et à l'argent roi s'opposent des idéaux, une volonté, une vision partagée par des hommes et des femmes, un espoir en un avenir meilleur. La planète se meurt, alors il faut tout faire pour la défendre, même s'opposer aux grandes puissances humaines. C'est grand. C'est beau. C'est efficace, pour le moment. C'est surtout quelque chose que l'Habitant des Profondeurs laisse aux autres. S'il participe activement à cette petite affaire de déstabilisation écologico-économique, son but premier se divise en deux grands points: s'assurer d'un approvisionnement minimal pour sa petite consommation personnelle, et s'amuser. Oh oui, s'amuser. Surgir des océans avec une barbe tentacule tout droit sortie de l'imaginaire étrange d'hommes-amphibie xénophobes pour effrayer de pauvres humains innocents, et ce sans risquer de se trahir ? Quel pied ! Quel fun ! Quel plaisir ! Bon, parfois, il n'a pas résisté à l'occasion et s'est paré de ses plus beaux atours contre toute raison; ainsi, les rescapés de ces naufrages évoquent aussi avec une lueur de folie dans le regard l'apparition d'une créature enflammée toute droit sortie des enfers. Un démon. Le Diable. Un dragon... des élucubrations de marins encore traumatisés, oui. Les autorités le savent: ce sont les Atlantes qui attaquent, pas Satan, alors pas de raison de s'inquiéter.

Quoi qu'il en soit, partout où l'Habitant est passé, la cargaison des navires a disparu avant même que le navire n'ait fini de sombrer dans les abysses. Un vol pur et simple des ressources, que seul un examen des carcasses reposant sur le plancher océanique pourra révéler. Après tout, quel mal y a-t-il à en profiter un peu ? Quand de belles voitures attendent de prendre l'air dans un garage sécurisé de Los Angeles, hors de question de les faire trop longtemps languir ! Alors par magie spatiale, tous les conteneurs de carburant raflés se sont retrouvés dans divers hangars privés aux quatre coins de la vallée de San Fernando, à l'abri des yeux indiscrets.

Mais ce n'est pas tout.

Aléatoirement, des stations maritime pétrolières à travers le monde ont subi des assauts similaires avant de s'embraser. Avant d'exploser. Par chance, par miracle, ni marée noire ni victimes ne sont à déplorer, les employés ayant été évacués juste à temps et les coulées noirâtres de pétrole consumées par les flammes avant d'avoir pu se répandre. Chaque plate-forme évoque une défaillance humaine, due à des manipulations hasardeuses de nouveaux employés; les discours sont embrumés, mal fagotés, étranges, mais difficile de ne pas mettre ça sur le coup de l'émotion: au final, cela semblerait même crédible, s'il n'y avait qu'une seule catastrophe, et pas une trentaine.

Des millions et des millions de dollars d'équipements ravagés, inutilisables, perdus.

Les jours qui ont suivi ces assauts dévastateurs, les pauvres habitants de L.A. ont agi comme agissent toujours les humains en temps de crise. Ils se sont renfermés sur eux-mêmes, en préservant leurs petites possessions comme s'ils allaient mourir de les perdre. Les plus roublards et débrouillards se sont aventurés dans les rues pour siphonner d'avance les réservoirs, afin de recueillir le précieux liquide. Astucieux. Mais leur triomphe de ce jour ne saura pas perdurer. Quelqu'un d'autre viendra leur voler, et devra à son tour défendre son bien, jusqu'à défaite. Ainsi sont faits les petits mortels: pitoyables.

Pourtant, malgré la crise, un moteur continue de vrombir dans les grandes allées de la Cité des Anges: celui de Lucifer Morningstar, qui prend un plaisir fou à remonter le Hollywood Boulevard sans le moindre bouchon.

Présentation • Fiche RP • Demandes RP • Contact

Inscription : 19/06/2021

Un message commença à circuler sur les réseaux de communication de la terre, radio pour commencer, puis trouvable aisément sur internet. Dans les trente langues les plus parler de la planète on pouvait entendre le même ultimatum, la voix artificielle du système d'exploitation informatique de chez lex corp annonçait:

"Habitants de la surface, la pêche industrielle doit cesser, tout navire qui tentera de passer outre cette interdiction sera neutralisé. L'élevage piscicole est toléré."

Et dans l'heure qui suivit l'immense flotte de bateaux usines chinoise qui frayait en mer de chine fut attaqué, une trace sur les radar sous marin, une torpille? difficile à dire...
Les hélices des navires furent détruite, plus de propulsion, plus de mouvement, plus de pêches, les câbles des filets tranchés net. En moins de 10 minutes la flotte qui posait de sérieux troubles diplomatiques en Asie de sud est n'était plus que des navire privés de moyen de locomotion et de continuer leurs activités.

Durant la courte attaque le message inonda les radio de la flotte, inlassablement alternant entre le cantonais et le mandarin.

Dans la journée plusieurs dizaine de navires usines subir le même sort dans le monde, quelques petits chalutiers virent les câbles retenant leurs filets tranchés. Le lendemain la majorité des petits pécheur refusèrent de prendre la mer, ne pouvant se permettre le risque de perdre leurs navires ou leurs moyen de pêche. Certains bateaux usines choisirent de rentrer au port, d'autre tentèrent de braver l'interdit, ils se transformèrent rapidement un embarcation flottante attendant une évacuation.

Le début de pénurie de carburant poussa les capitaines et les armateurs à mettre leurs flottes au port.

Ça m'a prit une heure pour bidouiller des radios avec leurs moyen de communication archaïque, fallait pas que ce soit signer extraterrestre. Puis j'ai enregistrer les messages avec un de leurs ordinateur, j'aurai eut le temps j'aurais apprit les trois langues qu'il me manquait dans leurs top trente, j'ai pas toute la journée donc je me suis abstenu...

J'ai lâché le message, puis j'ai allumé mon radar, j'ai commencé par la plus grosse flotte, ma bécane fonctionne aussi bien sous l'eau... Faut que j'aille moins vite, y'a des trucs a éviter, c'est vachement vivant là dedans. Pour le reste en deux coup de crochet c'est réglé, les grosse pales détachées de la transmission et hop tu bouges plus petit navire, les gros câbles tranchés et hop un filet qui racle plus le fond sans distinction... Le plus chiant c'est de retirer les filets du fond après et de les mettre dans un coin où personne viendra les chercher et où ils pourriront pas l'environnement.

Quelque part sur la cote namibienne Lobo émergea de l'eau sur sa moto, couvert d'algues, il descendit d'un saut souple cracha un poisson, dans l'eau qui lui arrivait aux chevilles, qui s'éloigna l'air méprisant, il se secoua violemment chassant les végétaux de sa personne, fourra la main dans son pantalon et en sorti un tas de varech, avant de retirer un filet, bien plié, de l'arrière de son véhicule il fit quelque pas sur la plage, plus passa la première dune, et balança son fardeau sur l'énorme tas qu'il y accumulait depuis la veille.

"527, bon on continue, c'est en bonne voie ce truc là..."

Le czarnien s'étira puissamment, il jeta un œil à son communicateur, voir si les autres zigoto avait tenter de le contacter, puis il observa son radar, un gros bateau dans la mer du nord, ça ressemblait à la signature des vaisseaux qu'il traquait depuis la veille. Il lança son fidèle destrier dans les flots vers la lointaine destination. En chemin il trancha les câbles de quelques petit chalutier, pas besoin de ruiner la propulsion des petits, les priver de filet suffisait. Arrivé non loin il entendit le son distinctif des moteurs des filets qu'on lâchait, le grincement des câbles métalliques sur leurs axes, avec son sourire mauvais il se dit qu'il allait enfin pourvoir détruire quelque chose...

-PROFIL--MESSAGE--FICHE RP-

Pénurie

feat. Libre

Assise sur un toit de Gotham, alors que le soleil se lève, annonçant une nouvelle journée, je m'étire et tend mes bras au dessus de ma tête. Près de moi, un petit butin non négligeable et prêt à être mis à l'abri pour contribuer à la survie des prostituées de la ville... Mais ce n'est pas tout. Il a commencé. L'homme poisson a commencé ses actions un peu partout dans le monde et à en croire ce que j'entends ou vois dans les informations, c'est un sacré bazar que lui et toute sa petite famille de thons ont mis dans le monde.

Un à un, les pétroliers sont neutralisés, certains gisant sous les eaux, pendant que les plateformes pétrolières s'enflamment. Alors ouais, je suis d'accord, la race humaine est la pire des races et abuse probablement beaucoup sur certaines choses mais de là à mettre le feu partout, je comprend pas trop. Je laisse échapper un miaulement tandis que je retire ma cagoule, passant une main dans mes cheveux courts, noirs.

"Moi qui croyais que le chat était l'animal le plus vénéré..."

Je me lève, saute agilement sur la corniche et fronce les sourcils quelques secondes.

"Faut croire que le poisson monte en grade."

Je laisse échapper un petit rire, ramasse mon butin et me dirige vers mon petit appartement. Je bondis de toit en toit, à la lueur du lever du jour et lorsque j'arrive enfin chez moi, c'est une minette toute mignonne qui m'attend... ou plutôt qui attend son petit déjeuner. Je laisse tomber la petite bourse sur la table basse, retire mes bottines, descend la fermeture de ma combi et la retire tout en rejoignant la cuisine. J'attrape un vieux tee-shirt, le passe par dessus mes sous vêtements et me hisse sur la pointe des pieds pour attraper une boîte dans le placard. Isis miaule son impatience et grimpe sur le plan de travail, me donnant un coup de tête dans le bras. Je la caresse, pendant que je lis la composition de sa pâtée... forcément, du poisson...

"Hum..."

J'ouvre la boîte et dépose son contenu dans une assiette que je pose sur le plan de travail. Mes doigts glissent dans la fourrure blanche de l'animal.

"Profite ma mignonne... Bientôt, tu devras te contenter de poulet..."

Je lâche un soupir et repars en direction du petit salon. J'allume la télévision sur la chaîne info et file me prendre une douche alors qu'on parle d'une chute historique des actions en bourse.

nightgaunt

Inscription : 03/03/2021

Sur les chaînes d'actualité, l'information s'emballe. Les navires coulent, les stations pétrolières les suivent, les actions comme les cours s'emballent et les Etats s'arment contre une menace méconnue, soudainement bien trop présente.

Les conséquences se font sentir dans bien des domaines : les prix s'emballent et l'essence se raréfie. Certains pays essayent de contre-attaquer, sans succès.

Les pays, pourtant, ne sont pas les seuls à contre-attaquer.

En Amazonie, dans le delta où la frontière où fleuve et océan se dessine difficilement, un ballet peu commun et probablement plus étrange encore que dans le reste du Monde se déroule. Un ballet dont les conséquences ne manquent pas d'être immortalisées par les caméras de télévision, entrecoupés des dernières conférences de presse de l'armée brésilienne.

" ... à 9 heures, heure de Brasília, ce matin, 53 cibles tout le long du large de la côte Sud du Brésil ont été attaquée simultanément ... " déclare un amiral devant un pupitre que l'on devine assemblé à la hâte, " ... à 14 heures, l'armée a repoussé plusieurs offensives sporadiques dans le delta de l'Amazone et à plusieurs endroits de l'état de l'Amazonas, principalement autour des installations pétrolières de Manaus. Il y a eu des pertes, mais il est impossible de déterminer pour l'heure si il s'agit d'une infiltration atlante en profondeur à l'intérieur des terres ou bien... "

Placés devant le fait accompli, les humains avaient pu découvrir une lutte improbable, au gré d'embarcations échouées et criblées de flèches : sur les plages, des dépouilles aux physiologies sous-marines, mais également des jaguars, d'énormes crocodiles, et des femmes aux tenues bariolées, couvertes de peintures de guerre et portant des armes archaïques.

Les combats avaient été brefs, mais meurtriers, et la rumeur fit affluer les navires dans le delta du fleuve Amazone, l'un des derniers endroits sûrs pour les embarcations industrielles du monde des Hommes. Un répit qui, au cours des heures et des jours suivants, se mua en audace. L'audace de tenter de pallier à la pénurie par les installations locales, en Amazonie. Une audace qui radicalisa plus encore les opérations industrielles, maintenant directement couvertes par une armée persuadée d'affronter une invasion atlante sur son propre territoire.

Une situation paranoïaque qui embrase petit à petit toutes les nations comptant une partie de l'immense jungle amazonienne. Suriname, Guyana, Colombie, Venezuela ... Même la garnison européenne de Guyane.

Par une unique incursion malheureuse dans le delta de l'Amazone, les Atlantes avaient embrasé l'Amérique du Sud, en lançant les Amazones d'Amazonie dans une implacable guérilla contre les oppresseurs de la jungle ...

Présentation • Carnet de RP • Messages
Pénurie ! (Sujet ouvert à tous) YHtKFLl

Pénurie ! (Sujet ouvert à tous) 200544_press5

-Allons Sparky, ne tire pas comme ça voyons ! Non Lucy on ne mord pas la dame qui se roule par terre. Le grand chef poisson a dit "pas de morts" !

Elle acheva sa phrase en levant un index en l'air et en imitant le ton de la voix de Orm. Pendant ce temps, Lucy et Sparky les deux hyènes d'Harley Quinn continuaient de pointer leurs museaux vers les pauvres gens qui se roulaient au sol... De rire. Les employés de cette scierie étaient en effet pliés en quatre, secoués par des spasmes ininterrompus. Ils avaient eut le droit à une bonne dose de gaz hilarant made in Joker, Harley et ses deux créatures de compagnie étant affublés d'un masque à gaz afin de ne pas souffrir des effets du produit.

-Je sais que vous avez faim, j'irais vous voler quelques morceaux de viandes dans une boucherie après, je vous le promets. Mais le boulot avant tout !

Harley Quinn avait eut un long moment de réflexion afin de savoir si dans l'hypothèse où les employés mourraient littéralement de rire, elle pouvait être tenue pour responsable de cette mort. Après tout ça aurait été le gaz qui les auraient tué, pas elle. Mais elle avait finalement décidé de ne pas prendre de risques et avait veillé à introduire la dose juste suffisante pour les faire s'écrouler de rire pendant un bon moment, sans pour autant les tuer. Quant aux hyènes... Elle les promenait.
Pour se faire pardonner de les avoir abandonné pendant des mois, elle ne les quittaient plus.

-Je suis pas un poulpe habitant dans les mers ou un alien avec une grosse moto moi, mais je sais aussi obliger le monde à restreindre sa consommation en matières premières.

Enfin, elle faisait ce qu'elle pouvait à son niveau de criminelle humaine et sans grands pouvoirs. Ainsi, elle avait kidnappé un hackeur et l'avait obligé à désactiver pour elle les systèmes de sécurité de trois scieries. Ensuite, elle avait répandu ce fameux gaz hilarant afin de mettre tous le monde KO sans avoir besoin de taper sur qui que se soit. Lucy et Sparky étaient quant à eux des mesures dissuasives si quelqu'un se reprenait avant le départ d'Harley.
Même avec des masques à gaz, les deux hyènes avaient quelque chose d'effrayant.

Enfin, l'Arlequin de Gotham arriva à destination. Là où étaient rangés tous les appareils et engins servant à traiter le bois. A maltraiter ces plantes et ces arbres si chers au coeur d'Ivy en fait ! Puisque Pamela n'était plus active, elle avait décidé de faire un geste pour le combat de son amie. Ainsi tout ce qui pouvait servir à faire du mal à des arbres ou des plantes étaient massacré à gros coup de maillet et de griffes lorsque cela pouvait se faire. Une fois son travail de destruction effectué, la demoiselle s'en allait. Fière et de son travail et non sans laisser un petit cadeau à ses victimes.
Rien de bien méchant, mais un présent légèrement inquiétant quand même.

Pénurie ! (Sujet ouvert à tous) Diable-en-boite-saw-billy-1410781057_ML

The Ocean Adventures of Orion - 0

Bordel de merde !

Et c'est sur ces derniers mots qu'expira la kawasaki 1500 sumo version 1996 "empruntée" il y a quelques semaines dans une ville du district de Leipzig de l'ex RDA.

Elle venait de toussoter et de rendre ses derniers spasmes juste avant d'arriver au col de cette dernière chaîne de montagne de l'ex yougoslavie, dont cette partie portait maintenant le doux non de Macédoine du Nord, qui me séparait de la Grèce.

C'était la patrie d'Aristote que j'avais bien connu jadis lors de mes voyages sur cette terre qui était en effet le but de mon périple en Europe depuis l'extrême nord après le noël désenchanté que vous connaissez déjà.

Pourquoi la Grèce ? Et bien pour ceux qui n'auraient pas suivi depuis le début, pour rejoindre la Crête et l'Ekklisia Analipsi et surtout l'Ideon Andron que ceux qui en connaissent la légende sauront pourquoi j'y voyais un lien absolument évident avec ma propre personne.

Le réservoir était à sec, ainsi que les deux jériccans que je n'avais pu remplir entre la dernière pompe et ce lieu perdu.

La faute à qui ou à quoi ? Déjà à la teneur désertique pour ce qui est des points de ravitaillement dans la région, ensuite, à cause de la crise dont j'avais entendu les rumeurs à mon dernier arrêt en ville. Quelque chose, ou plutôt quelqu'un, tenait à contrarier le transit du pétrole de par le monde et y réussissait.

Les gens s'étaient rués sur les pompes et les avaient vidées très rapidement, précipitant d'autant plus vite les pays dans le chaos avant que les états ne réagissent en instaurant des quotas et des rationnements.

Au fur et à mesure de ma progression vers le sud, je voyais des gens utiliser des moyens de transport les plus archaïques sinon à pied et des épaves de véhicules en tous genres sur le bord des routes quand elles ne les encombraient pas tout simplement abandonnées par leurs conducteurs au milieu du pavé le temps que des âmes éclairées ne les poussent sur le bas côté.

Une vision apocalyptique tel qu'on en voyait lors des guerres lorsque les populations fuyaient les lignes de front.

J'avais réussi à récupérer du carburant en pressant comme des citrons les réservoirs arrachés aux véhicules, mais il est de notoriété publique que les Kawas, c'est des gouffres à carburant et j'en savais maintenant quelque chose.

A peine remplie et quelques kilomètres qu'elle m'en réclamait déjà !

Je posais le pied à terre, saisis la moto à pleines mains, la soulevais, puis, d'une impulsion la projetais dans le ravin qui bordait la route sinueuse.

Cela me fit un bien fou sur l'instant, décharger ma rage sur quelque chose de concret, mais du coup, je me rendis compte de mon erreur en réalisant que derrière le col, il y aurait une belle descente que j'aurais pu faire en roue libre ...

Trop tard !...

Imbécile !...

Me morigénant encore, je balançais mon baluchon sur l'épaule et partais en petites foulées.

Arrivant en haut, je soufflais encore de colère retenue devant ma bêtise destructrice, mais en bas, je voyais ce long ruban de la Moglenitsas dont je savais qu'elle me mènerait à Thessalonique d'où je pourrais certainement embarquer pour me rendre plus au sud, en Crête ...

Un tronc d'arbre ou un radeau de fortune et une godille feraient l'affaire, à moins qu'une petite baignade revigorante par ce soleil de plomb qui terrassait le paysage. On est en Grèce quoi ! Rien que de plus normal !

Je vous passerais le reste, trouvaille d'une barque et godillage jusqu'à bon port sous les regards effarés des autochtones de voir un tel esquif animé d'une vitesse de hors-bord par un simple mec, votre serviteur, maniant un morceau de bois.

Thessalonique ! J'y étais venu dans le temps, plus rien à voir avec mes souvenirs helléniques ... Une ville comme tant d'autres, sans aucun charme et en pleine perdition.

Je débarquais au port, tristement devenu célèbre lors de la seconde guerre mondiale, et refaisais chou-blanc en ce qui concernait un transport à moteur officiel.
Tous les ferrys, dont ceux pour la Crète, étaient assignés aux amarres par sécurité.

Heureusement, pour moi, un gros navire transportant du carburant venait d'être amarré dans la partie industrielle, et, profitant de la nuit, j'en rapprochais un petit bateau de pêche "emprunté", ça devient une sale habitude, ponctionnait discrètement de quoi en remplir les réservoirs avant de filer vers le large.

J'en avais pour au moins 25 à 30 heures de navigation pour rejoindre la grande île, Si ceux qui paralysaient le trafic ne venaient jouer les trublions ...

Ce qu'ils firent quand les côtes disparurent derrière moi ...

Je sentis une secousse comme si une choses imposante avait donné un coup dans la coque, mon gouvernail se bloqua puis fut forcé jusqu'à commencer à faire changer de cap mon embarcation.
On tentais de me détourner et à priori de me faire revenir sur mes pas ...

Heu ... Pas d'accord ! Mais pas d'accord du tout ! Et quand Orion pas d'accord, lui toujours faire ainsi !

Il se met en colère et fonce dans le tas !

Dans le cas qui nous occupe, je plongeais à la baille !

Et pas pour regarder passer les poissons si vous voyez ce que je veux dire !

Je suis Orion, pas le commandant Cousteau !

Re: Pénurie ! (Sujet ouvert à tous) Ven 3 Sep 2021 - 9:41

Je n’avais pas répondu à l’appel du coquillage car sous un but louable j’entendais clairement la musique des 7 péchés. La haine n’engendre que haine et le sang appelle le sang. J’avais eu le temps de réfléchir et d'enquêter sur ce qui m'était arrivée et les conclusions et doutes que je nourrissais ne faisaient que démontrer que les humains, même pour faire le bien, sont parfois assez détestables.

Pourtant, je ne vois pas en quoi nourrir cette machine infernale ferait de nous des êtres meilleurs. En plus agir aurait été au nom d’un pays, risquant leur sécurité et leur paix aussi après concertation j’étais restée au côté d’Adam au Kahndaq.

Localement la situation était loin d’être désastreuse, voisin terrestre du moyen orient, le prix du baril était clairement bas au vu de leurs difficultés pour exporter. Nous avons même dû renforcer les infrastructures routières du pays afin de permettre à des Noriats de camions citernes a transporter le précieux or noir. Avec ce nouveau réseau routier, de nouveaux commerces; de nouvelles entreprises. Avec le prix raisonnable de l’énergie et l’ancienne route de la soie qui retrouvait sa richesse, les entreprises étaient en train de se multiplier.

L’écroulement du commerce mondial avait été critique au départ, certains produits avaient rapidement disparu des étalages, leurs pièces détachées devenant impossible à réunir. J’avais été obligé d’aider des paysans à planter de nouveaux champs, faisant germer en quelques instants les pousses qui auraient dû mettre des mois à sortir de terre.

Au final notre agriculture locale en avait été renforcée, le marché local ne pouvant plus se faire écraser par les gros pays agricoles.

Pour l’occasion j’ai pleinement aidé mon mari dans sa politique ...autarcique vis à vis des supers : le premier qui se pointe sans autorisation s’en prend une.

J’avais seulement fait un écart, une lettre que j’avais été déposer à l’école des super-héros alors que j’allais suivre un cours. En tant que reine consort, je demandais à la nouvelle reine d’Atlantis quelle était sa position. Car la situation nous emmenait clairement vers une guerre de la mer contre la terre.
D’ailleurs lors de de ces sorties je m’étais même fait interviewer.

Soutenez vous les défenseurs écologiques ?

De qui voulez-vous donc parler ?

Vous n’êtes pas sans savoir que des pirates coupent le commerce mondial, que la pêche devient impossible et que les amazones ont transformé l’amazonie en sanctuaire.

Oh, cela, mais en quoi défendent-ils Gaia ? Oui, l'homme rend malade notre planète, mais cela ne remet pas en cause sa vie, seulement celle de l’homme et des espèces qui nous accompagnent. D’autres êtres vivants détruisent parfois trop vite leur biotope .. Le biotope ne disparaît pas il devient impropre à la survie de l'espèce qui meurt. L’homme n’est qu’une parcelle infime de la vie de notre terre. Notre terre survivra à l'homme et qui refleurira de nouvelles créatures sur le cadavre de notre civilisation.

Mais oui sur ce point je suis en accord avec eux, nous détruisons notre planète et un jour cette façon de vivre va nous tuer.

Toutefois, je ne vois pas par exemple, en quoi des créatures d’un dieu grec sont en droit de voler les terres des hommes descendant directement des Maia et des Incas. S' ils exploitent mal leurs richesses, elle n’ont pas à faire la guerre ni a juger. Chaque homme qui meurt a une famille qui est en droit de demander une juste réparation a ses assassins.

Oui aujourd’hui certaines amazones sont de mèche avec les supers-criminels qui ont pris le pouvoir. D’un autre côté, j’ai été assassiné pour la liberté car je tendais trop la main aux opprimés. Alors qui a raison ou a tord ? Je n'avais aucune preuve que des grosses présomptions en recoupant les arrestations les "évasions" mais c'était l'occasion de mordiller un peu, juste pour dire que je n'étais pas dupe.

Alors vous comprenez bien qu’il reste difficile pour moi de vous donner une opinion tranchée d’un sujet aussi épineux. Néanmoins, je pense que la habitants des mers et des terres devraient plus communiquer afin d'éviter un avenir désastreux.

Inscription : 26/04/2021

Être un justicier n'était pas une affaire de bonté. Ce n'était pas d'avantage une affaire morale. C'était une affaire de résultats. De résultats pour l'avenir, un avenir qui se dessinait grâce à deux choses : la capacité à tenir une vision et la capacité à mener des actions. Le reste était un enrobage accessoire. Affaire secondaire en somme.

Surpopulation ; surconsommation ; croyance en une surpuissance naturelle de l'Homo Sapiens. Les superlatifs ne manquaient pas pour montrer combien le collectif prenait et combien il ne rendait pas. Un coup de frein était nécessaire pour donner à chacun le soin de juger de son impact sur le monde qui l'entourait.

L'eau et la mer étaient choses gérées. Orm ne manquait pas de pouvoirs à ce sujet.

Restait la terre.

Le docteur Thawne regarda le compte à rebours qu'affichait en trois dimensions Gidéon.

Derrière lui, lui-même, d'un autre temps, s'activant pour préparer au milieu de trois autres reflets de sa personne des mécanismes particulièrement sophistiqués. Depuis son alliance avec l'atlante, il n'avait concentré ses efforts qu'à un seul but. Un seul objectif : mettre un terme aux convoyages terrestres des hydrocarbures. Oléoducs. Gazoducs.

Systèmes de sécurité multiples à outrepasser.

Protection militaire ou mercenariales aux points névralgiques.

3.500.000 km de tuyaux, 120 pays.

Premiers de la liste : les Etats-Unis ; Russie ; Chine. Seuls cible d'intérêt.

Dans un premier temps.

Vitesse moyenne d'un speedster : Mach 3,4, soit 4198,32 km/h. Il lui aurait donc fallu, rien que pour suivre chaque mètre des pipeline un peu moins de 834 heures, soit 34 jours...

Heureusement, pour rendre ces installations dysfonctionnelles de façons plus ou moins durables, il n'aurait qu'à frapper des points très précis sans suivre leurs tracés. L'affaire, en terme de timing relevait d'une petite promenade de très précisément 10 heures 53 minutes et 43 secondes. Avec optimisation heuristique très simple naturellement. Ce tracé lui permettrait de rejoindre chaque point des réseaux qui l'intéressait et de saboter le nécessaire.

Il fit craquer ses cervicales lorsque ses doubles se dissipèrent dans l'espace-temps pour rejoindre leurs lignes temporelles. Une nécessité pour éviter des troubles quantiques entre leurs interactions prolongées. Derrière lui, stockés dans un hangar d'une plate-forme pétrolière abandonnée et fort utile, des milliers de modules de sabotages conçus pour un but extrêmement précis attendaient leur moment.

Gidéon émit un sifflement.

Le temps était venu.

Deux failles temporelles s'ouvrirent et deux nouveaux Eobard surgirent.

Rectification. L'affaire prendrait 1 heure 37 minutes et 54 secondes.

Chaque speedster se lança une salutation polie de circonstance avant que le professeur Zoom de cette temporalité ne rabatte son casque de protection et s'élance pour prendre les premiers modules.

Trois flèches jaunes traversèrent les eaux.

Un contingent américain fut alors ébahi par la soudaine apparition d'une faille temporelle dont surgit un flash jaune aux yeux rouge comme le sang. Il fila, parut tourner autour de la structure et disparut. Le commandement local émit un avis, craignant une attaque européenne ou une nouvelle affaire de méta-humains. Ailleurs sur le territoire, à quelques micro-secondes seulement, d'autres soldats et entreprises émettaient des observations similaires.

En Russie, le même spectacle agita l'armée et les escouades qui surveillaient le réseau.

La Chine ne fit pas mieux.

Deux Reverse-flash repartirent ensuite dans leur trame temporelle pour ne plus laisser qu'un seul et unique héros pour profiter du spectacle.

Eobard Thawne, le seul et unique flash allait prouver au reste du monde qu'il était le sauveur qu'il attendait.

- Gidéon ?

"Oui professeur ?"

- Il est temps.

Chaque module installé fit alors son œuvre et provoqua pour commencer une alerte générale sur les modules physiques et électroniques qui devaient surveiller l'absence de fuite. Pour les superviseurs, ce fut comme si l'intégralité de leur système se transformait en sapin de Noêl annonçant que la moindre surface de leur équipement était percé. Panique et appels d'urgence.

Les systèmes coupèrent donc logiquement toute arrivée de pétrole ou de gaz naturel, asséchant les tuyaux. Inquiétudes, rappels des astreintes, lancement des opérateurs pour constater de la réalité des faits remontés. tentative, trop lente, pour reprendre le système en mode "manuel".

L'assèchement était nécessaire à la deuxième étape. A savoir...

Chaque équipement, sans explosion qui aurait causé des dégâts collatéraux regrettables et contre le plan initial déversèrent dans les tuyaux des petites quantités d'acide qui transformeraient les installations en parfait gruyère et les rendrait inopérant pendant un certains temps.

Eobard observa sa montre et eut un ricanement satisfait. L'opération dura pour le monde environ 10 minutes. Joie des sauts temporels.

- Reverse-flash à Ocean Master, fit-il dans le communicateur que lui avait fourni Orm. Assèchement effectif.

Inscription : 26/09/2019

Les choses auraient pu en rester à une attaque d’Ocean Master certes d’ampleur car coordonnée et prenant la forme d'une guérilla à travers le monde, mais n’étant que le fruit de l’action d’atlantes. Stopper les échanges maritimes de l’industrie fossile aurait déjà eu un impact majeur sur l’économie mondiale mais cela allait plus loin.

Ce furent plusieurs plate forme pétrolières qui furent détruites sans que des marées noires n’ai lieux, étrangement. Lucifer était passé à l'action sous une apparence infernale, semant un peu plus la peur chez les marins du monde entier. Des Atlantes qui deviennent agressif avait déjà de quoi inquiéter avant de prendre la mer mais des monstres infernaux? La superstition ferait rester à quai de nombreux équipages de navire ne transportant pourtant pas de carburant. Les raffineries quand à elles durent dire adieu à une source de pétrole qui manquait déjà grandement du fait du blocus à l’encontre des pays exportateurs.

A cela s’ajoutait les actions de Lobo qui s’en prit aux navires de pêche industrielle, et plus personne avec un navire de gros tonnage n’osa prendre la mer pour pêcher le moindre poisson. Les actions de l’extraterrestres permettraient à la faune marine de se reconstituer du moins le temps que ce blocage persisterait.

Les informations qu’entendit Catwoman se vérifièrent les jours suivant les attaques, la bourse était en chute libre et en quelques jours des entreprises pourtant solides mirent déjà la clé sous la porte, leurs employés cherchant désespérément un travail dans des secteurs inquiets. Comment faire sans carburant?

Certains pays se crurent à l’abris au départ. Les Etats Unis par exemple, exploitaient les énergies fossiles sur leur sol. C’était compter sans Reverse Flash qui sabotât les oléoducs et gazoducs à travers le monde, les empêchant durablement de fonctionner si l’on voulait éviter des accidents. Cela allait maintenant plus loin que la menace économique, c’était les réserves stratégiques qu’il devenait quasi impossible de constituer. Avec peu de carburant pour ses navires, ses chars et ses avions comment l’Amérique ferait elle pour assurer sa propre défense? Il restait les super héros heureusement, en attendant les dépôts d’essence seraient lourdement protégés car il faudrait tenir le plus longtemps possible avec.

En Amazonie les sœurs de Yara Flor tuèrent plusieurs atlantes s’étant approchés trop près de leur fleuve. Face aux actions des troupes d'Ocean Master les industriels demandèrent le soutien de l’armée et des accrochages eurent inévitablement lieu avec les amazones sur les lieux. Savoir si elles étaient alliées aux Atlantes ou non intéressait peu le président brésilien qui ne voyait qu’une chose, l’industrie implantée dans la forêt ne pourrait pas travailler tant que la menace de ces femmes ne sera pas réglée. Peacemaker fut engagé par le gouvernement brésilien et mis à la tête d’une force armée qui serait chargée de pacifier ces indigènes une bonne fois pour toute, avec les manières qui étaient les siennes.

Suite aux actions de Harley Quinn la plupart des scieries des USA fermèrent leurs portes pour raison de sécurité, attendant que la crise soit passée pour rouvrir leurs portes. C’était toute la filière du bois et les usines de meubles qui cessèrent de produire et ne reprendrait que quand la peur ne serait plus là.

Dans les eaux européennes Orion s’en prit à des atlantes dont il suspectait peut être le lien avec ceux qui avaient causé la pénurie sauf que...c’était des atlantes d’Atlantis, sous les ordres de la reine Mera. En effet La méditerranée et les mers bordant l’Europe occupée par le Haut Chancelier Degaton n’avaient pas été attaquées par Ocean Master. Était ce par solidarité avec ce qu’il restait de la Secret Society pour laquelle il avait déjà agis ou parce que le régime Européen aurait du carburant contrairement à la plupart de ses voisins? Sans doute la seconde raison. En continuant a s'approvisionner on carburant quand les autres en manquaient cruellement l’Europe ferait encore plus peur et on pourrait facilement penser qu’Orm cherchait sciemment une situation géopolitique explosive. Que les surfaciens s'entretuent tout en s'en lavant les mains, arguant que c'est eux qui sont incapable de vivre en paix.

Dans toute cette crise le Kahndaq tirerait son épingle du jeu. Black Adam protégeant ses intérêts pétroliers avec Isis les atlantes menacèrent nullement l’exportation du pétrole de ce petit pays du moyen orient vers ses voisins. L’or noir dont le prix avait explosé enrichissait déja le Kahndaq que des pays comme la chine courtisait pour s’assurer l’approvisionnement par camion, un moyen de transport que Thawn n'avaient pas attaqué.

L’impossibilité d’exporter son carburant mettait à mal l’Organisation des pays exportateurs de pétrole et celle ci prit une mesure afin d’éviter la ruine de l’économie de ses adhérents vivants de l’or noir sous leurs pieds. Un groupe de mercenaires fut recruté puis présenté à la presse pour intimider ceux qui menaçaient leurs intérêts. Black Manta serait son meneur, et elle comprendrait Cheshire, Grant Wilson, Bloodsport, Boomerang Deadshot et Atomic Skull. Leur mission serait de trouver et tuer les atlantes qui causaient la pénurie mondiale.

HJ:

Spoiler: