Les comics que vous lisez en ce moment

Super, tu nous diras si ça te plaît.

Fondamentalement, Tom Taylor ne réinvente rien ici... enfin, si.
Tom Taylor réinvente, reprend tout simplement le principe d'écrire une série en aimant son personnage principal, en voulant le servir via une intrigue "simple" mais efficace, avec des dialogues fins et un casting secondaire respecté et plaisant.
Et dieu que ça fait du bien.
Le duo Babs/Dick est parfait, l'arrivée de Tim Drake est fluide et Robin (qui retrouve donc ce nom, sans Red) est pleinement servi ici, dans une approche positive et sympathique, tout en mettant en avant ses atouts. C'est sympa', ça fait souvent sourire, l'intrigue de fond est plutôt bonne même si elle est déjà vue (un serial-killer dans les communautés oubliées de Blüdhaven, et Dick s'en mêle avec ses personnages), les blagues sont drôles et tout fonctionne bien.
C'est en plus très, très joli, avec des planches fluides et des moments de grâce dans la narration. Pff, ça claque.

Quelle belle série qui donne le sourire.
Si, si, ça existe encore !

C'est cool !
Jeremy Adams m'impressionne dans cette saga qui prend de l'ampleur et me plaît bien. On suit donc Wally West qui rend hommage à Code Quantum, en plongeant dans chaque grande période des Speedsters DC, pour "régler un problème local". Les tours de chauffe des deux premiers numéros mènent à ce très bon épisode, où Wally est littéralement dans la peau d'un jeune Jay Garrick, maltraité depuis cinq semaines avec The Ray par les Nazis, pour avoir essayé de voler la Lance de la Destinée. Tandis que, en parallèle, Barry/Ollie/Mr Terrific conseillent Wally de loin.
C'est fun ! Jeremy Adams a de bonnes idées et installe un très bon rythme, bien aidé par un Jack Herbert qui rend de belles planches, graves et travaillées pour ce passé sombre. C'est malgré tout rigolo, bien fichu et prenant avec cette course contre la montre. Le final est en outre "génial", avec Wally qui arrive dans le corps de

Spoiler:

C'est cool, oui, et ça fait plaisir. Ce Wally "l'ouvre" et vanne peut-être trop, mais ça se lit bien et les dessins sont bons. Brandon Peterson demeure figé sur le passage au présent, mais ça passe.

Une bonne surprise, un bon moment.

Ouais la JL j'ai perdu le fil depuis un moment là.
Faudra que je continue un jour ces Flash aussi x)

Pour Hawkeye, c'est vrai qu'il faut aimer ce dessinateur, mais ça change des récents dessins qui sont fait en grande partis par ordinateur (bien que j'aime aussi cette méthode qui permet de faire des rendus de ouf )

En fait, Justice League et The Flash ont été relancés il y a trois numéros.
Tu pourrais t'y relancer, ça reprend presque à zéro.

Yep j'ai vue. Mais ce qui est bizarre c'est que ça fait vraiment suite au reste (pour Flash en tout cas)
Donc je me demande comment ça va sortir dans les comics en France, si ça va continuer à être tag Rebirth ou s'ils vont redémarrer à 0.

C'est beau. C'est mystérieux.
C'est un peu rapide.
Mais ça se lit bien quand même.

Après un diptyque en forme de lettre d'intention durant Future State, Joëlle Jones revient sur Yara Flor, qu'elle lance officiellement maintenant comme Wonder Girl. Le segment Infinite Frontier #0 n'était qu'un appât, voici donc ce début... volontairement mystérieux et trouble.
L'autrice livre peu d'informations, ici, hormis la certitude que Yara Flor a

Spoiler:

Elle a été élevée en Amérique par une tante, revient en touriste dans son pays natal du Brésil et y cherche un sens à sa vie. Ce retour provoque des réactions "mystiques", avec notamment

Spoiler:

Yara ignore encore cela, mais subit une attaque durant une excursion, où elle est

Spoiler:

Ce serait mentir que de dire que Joëlle Jones ne révèle "rien", mais ce serait aussi faux de dire qu'il y a "assez".
Clairement, l'autrice veut surtout installer ici une ambiance, et ses dessins beaux, intenses, sensuels et rudes fonctionnent très bien pour cette atmosphère chaude et envoûtante. Le début notamment, avec ce flashback sanglant, est très prenant.
Le reste, cependant, demeure classique... très classique. Peut-être trop classique, même si cela dépendra de la suite des numéros.

En l'état, c'est un début mystérieux et troublant, un peu "facile" sur les réactions provoquées, mais avec des éléments bien posés, une jeune fille sympathique et volontaire (moins rentre-dedans que dans Future State, ce qui a du sens), et des dessins à tomber.

Un bon début, donc. Mais il va falloir confirmer, et ne pas se reposer uniquement sur l'ambiance et les planches.

Ted Kord/Blue Beetle II a écrit:

Yep j'ai vue. Mais ce qui est bizarre c'est que ça fait vraiment suite au reste (pour Flash en tout cas)
Donc je me demande comment ça va sortir dans les comics en France, si ça va continuer à être tag Rebirth ou s'ils vont redémarrer à 0.

Ils referont sûrement une collection, comme Batman Joker War alors que, en VO, c'est la suite des tomes de Batman de Tom King.

Maintenant, en soi, DC revient ici à ce qui a été longtemps la norme : on garde la numérotation de la série, même si les auteurs changent.
Il y a une période, grosso-modo du milieu des années 2000 à maintenant, où Marvel (surtout) et DC relançaient au #1 leurs séries dès que des auteurs changeaient.
Voire même dès qu'une orientation changeait.

Cela permettait d'instaurer des cycles de "saisons", ou des cycles tout court, mais ça en vient à augmenter inutilement le nombre de volumes... et à "trouver" des titres, pour changer.
En trois ans, par exemple, on a terminé la série Tony Stark : Iron Man (qui ne dépasse pas 20 numéros), on a eu Iron Man 2020, et on a un nouveau volume d'Iron Man.

C'est une course au buzz, au #1 qui fait vendre car les profiteurs en achètent en se disant que ça pourra valoir plus, plus tard.

Je suis assez partisan du retour à "avant", quand un auteur arrive sur un #456 et part au #522, remplacé dès le #523 par un autre.
C'est historique, c'est sympa', et ça met finalement la série au centre du truc, et non pas "juste" l'auteur qui va et vient quand il veut.

Yep.
On verra bien du coup.
L'avantage c'est que comme je connais la VO, je sais comment ça va reprendre au niveau des sorties comics...

Mais là de toute façon avec Flash, ils sont grave à la traine.

Une honte, vu le perso' !

Ray Palmer a écrit:

C'est beau. C'est mystérieux.
C'est un peu rapide.
Mais ça se lit bien quand même.

Après un diptyque en forme de lettre d'intention durant Future State, Joëlle Jones revient sur Yara Flor, qu'elle lance officiellement maintenant comme Wonder Girl. Le segment Infinite Frontier #0 n'était qu'un appât, voici donc ce début... volontairement mystérieux et trouble.
L'autrice livre peu d'informations, ici, hormis la certitude que Yara Flor a

Spoiler:

Elle a été élevée en Amérique par une tante, revient en touriste dans son pays natal du Brésil et y cherche un sens à sa vie. Ce retour provoque des réactions "mystiques", avec notamment

Spoiler:

Yara ignore encore cela, mais subit une attaque durant une excursion, où elle est

Spoiler:

Ce serait mentir que de dire que Joëlle Jones ne révèle "rien", mais ce serait aussi faux de dire qu'il y a "assez".
Clairement, l'autrice veut surtout installer ici une ambiance, et ses dessins beaux, intenses, sensuels et rudes fonctionnent très bien pour cette atmosphère chaude et envoûtante. Le début notamment, avec ce flashback sanglant, est très prenant.
Le reste, cependant, demeure classique... très classique. Peut-être trop classique, même si cela dépendra de la suite des numéros.

En l'état, c'est un début mystérieux et troublant, un peu "facile" sur les réactions provoquées, mais avec des éléments bien posés, une jeune fille sympathique et volontaire (moins rentre-dedans que dans Future State, ce qui a du sens), et des dessins à tomber.

Un bon début, donc. Mais il va falloir confirmer, et ne pas se reposer uniquement sur l'ambiance et les planches.

J'ai à peu près la même opinion.

Je trouve que les couleurs de Bellaire y sont pour beaucoup. Le travail de colorisation autant sur les Future State que sur cette série là apportent énormément à l'ambiance. (On voit aussi son travail sur Superman Red & Blue d'ailleurs, qui rajoute également un supplément de gueule qui n'est jamais malvenu)

Oui, même si j'ai abandonné cette anthologie de Superman, dont les numéros ne m'ont pas emballé.

Je dois avouer que moi non plus ... Mais au moins les couleurs étaient à tomber

C'est à tomber, entre le coup de crayon et les couleurs

Ah, il était temps que ça sorte !

Je lis ça dès que je peux.

J'ai un peu traîné les pieds pour lire ça, notamment parce que je n'aime pas vraiment Todd Nauck mais aussi et parce que si j'aime bien l'idée de Stargirl, j'ai très peu lu sur elle et mon attachement est mince.
Et ben c'est cool.
En soi, c'est moins un one-shot sur Stargirl que sur le DC qu'aime Geoff Johns, avec la mise en avant de sa création fétiche. Il y a un vent de fraîcheur, de simplicité dans les personnages mais aussi les solutions proposées aux complexes soucis de continuité, qui est très agréable. Stargirl et son beau-père sont amenés à retrouver les membres des 7 Soldiers, après que Pat en ait fait partie avec Star-Spangled-Kid. Geoff Johns trouve une belle pirouette pour justifier la présence des vrais Oliver Queen et Roy Harper dans les années 40, où ils fondent les Soldiers avec les autres, mais aussi la présence au présent de ces mêmes autres

Spoiler:

C'est simple, c'est sobre, c'est efficace, j'aime. La petite intrigue est générique mais livre un étonnant beau moment d'émotion avec Crimson Avenger, que ça soit celle du présent et

Spoiler:

Tout fonctionne bien et se lit très bien, avec un beau début d'amitié entre Stargirl et Emiko / Red Arrow.
Todd Nauck est passable ici, ça se lit même mieux que d'habitude car c'est un peu plus précipité, rushé. Je préfère. On finit avec un prologue au retour de la JSA avec Bryan Hitch, qui montre

Spoiler:

Franchement, c'est sympa' !
Geoff Johns a ici une simplicité et une fluidité qui sont rafraîchissantes, avec une intrigue pourtant temporelle mais "sobre" et bien référencée.
C'est peut-être ici que Geoff Johns a encore un avenir chez DC : des récits "dans leur coin", référencés sur le passé sans être trop lourds, avec une sorte de fraîcheur sur de jeunes super-héros héritiers et souriants.

C'est cool. J'espère une suite.

C'est lisible même si on n'est pas familier du personnage, à ton avis ?

Oui, ça passe quand même.

Oh bravo.
Jeremy Adams livre un épisode formidable, autant formidable dans le principe que dans la mise en place. Il poursuit et accélère le traitement Code Quantum, avec Wally qui erre dans plusieurs corps de Speedster avec beaucoup de scènes funs et drôles (ah, dans le corps Jesse Quick / Liberty Belle !). Mais surtout, cela se passe après un merveilleux moment d'humour et de fun à l'époque de la Justice League humoristique.
C'est juste superbe et fluide, mais cela se poursuit ensuite par un moment de pure douceur où Wally tombe dans le corps de

Spoiler:

Le dialogue est magnifique de tendresse et d'espoir, alors que le trio Barry/Terrific/Ollie trouve ce qu'il se passe... et sont aussi formidablement drôles quand ils se font engueuler par Linda Park. Et que dire de ce final, où Wally arrive

Spoiler:

Pff, mais que se passe-t-il ?
DC propose une saga souriante, sympathique, fun, qui donne le sourire et la patate ? DC qui reprend toute sa continuité et en fait une force, non plus un ennemi ? DC qui valorise Wally West, lui redonne ses proches et du sens ?
Mais oui !
Jeremy Adams m'amuse, me fait sourire, me fait rire, me touche, me caresse dans le sens du poil et le fait très bien. Sa saga de base n'est pas révolutionnaire, mais elle est idéale pour remettre l'église au milieu du village... ou plutôt le Wally au milieu de DC ! Bon, je trouve que ce Wally est un peu "trop" drôle, un peu "trop" fun, un peu "trop" blagueur, mais je ne boude pas mon plaisir ! L'humour est drôle, l'émotion est réelle et tout fonctionne.
Kevin Maguire est royal dans le segment bwahaha, viennent ensuite Howard Porter, Berak Pekmezci, Bryan Hitch, Max Raynor, Scott Kolins, Tom Derenick et Fernando Pasarin pour des illustrations sympathiques qui sont justifiées par le principe du saut de corps. Oclair Albert propose un bel échange familial, même si c'est un peu froid sur les couleurs.

Pffou, ça fait tourner la tête d'avoir tellement le sourire devant un épisode avec Wally !

JaitoujoursditqueWallytirais

Plus sérieusement, cette chronique donne bien envie de suivre cette série Flash avec Wally qui semble enfin revenir de sa période tourmentée. Curieuse de voir la suite ^^

Flatteuse !

Enfin ?
Enfin, Brian Michael Bendis et Alex Maleev lancent Checkmate, la suite de leur Event Leviathan ? Enfin, l'auteur "star" des polars s'empare pleinement de l'espionnage DC ? Enfin, Bendis s'accapare pleinement un recoin de son nouvel éditeur, pour relancer un séjour qui s'essouffle ?
Oui... mais pas vraiment.
En fait, le plaisir de reprendre là où Leviathan s'est terminé s'évapore hélas très rapidement devant des tics d'écriture lourds. Bendis en revient aux dialogues trop longs, aux passages trop figés, et aux avancées trop lentes. Les "super-détectives" forment Checkmate (ah bon ? quand ça ? rien n'était clair à l'issue d'Event Leviathan), tandis que Talia et son fils tentent de s'en prendre à Mark Shaw lui-même, et ça échoue. Le même Shaw tente d'attirer à lui Lois Lane (beh oui, il n'a fait "que" tuer son père, hein).
Pff. C'est long, c'est lent, c'est chiant.
Je suis très déçu car j'avais bien aimé Event Leviathan, mais là je me suis ennuyé et la lecture a été désagréable. Damian est très mal écrit, la réunion de Checkmate est mal foutue, et si "ça passe" pour Lois, ça reste maladroit.
Alex Maleev livre des planches correctes, mais même ses ambiances ne peuvent pas tout.

Grosse déception. Et j'étais jusque-là un ardent défenseur de Bendis chez DC.

Sympa', mais très redondant.
C'est sympa', parce que Joshua Williamson sait raconter une histoire et flatter le fan. On a donc Batman / Thomas Wayne qui s'échoue mystérieusement sur Terre-23, on croise Justice Incarnate (plus Justice LEAGUE Incarnate, d'ailleurs ?) avec quelques passages rigolos ("je veux voir Flash" "lequel ?" "Barry Allen" "lequel ?"). On croise aussi l'équipe "secrète" formée par Martian Manhunter, Lex Luthor, Mr Terrific, Talia, Hawkgirl, Alan Scott, Vandal Savage qui gère les grosses crises, avec ensuite Alan qui veut du temps en famille mais

Spoiler:

On a Barry qui parvient à la mystérieuse Terre-Omega où Darkseid a tué la Quintessence, et il semble être corrompu par

Spoiler:

Et on a Roy Harper qui tente de vivre une existence normale, alors que les gens ont des frictions entre eux car certains se souviennent de Dark Nights : Death Metal et pas d'autres. Mais Roy est attaqué par un groupe inconnu, et s'en sort en

Spoiler:

Ca se lit bien, c'est dynamique, c'est fluide, les enchaînements sont bons et Xermanico livre de belles planches, autant lisibles que jolies à regarder.
Mais... mais c'est que du fan-service, en fait.
Que ça soit l'énième réutilisation du Batman de Flashpoint, ou bien Justice Incarnate, ou encore la réutilisation de celui que Barry croise, ou enfin le final, tout ceci n'est que clins d'oeil et coups de coude aux fans. Ce n'est pas désagréable, hein, mais ça devient trop voyant et redondant.
Le fameux "Worlds Will Live" résonne au début, et j'avoue que je n'en peux plus du délire Crisis. On apprend qu'une autre Crisis arrive, et j'en suis déjà soûlé. Là, Williamson prépare bien le terrain, mais ça me lasse déjà après Dark Nights : Death Metal.

C'est sympa', mais c'est trop fan-service pour moi. C'est dire.

Pas mal.
Brandon Easton propose un numéro qui s'ouvre et se termine sur de grosses phases d'action, où Shilo Norman / Mister Miracle tente d'échapper à N'vir Free, fille de Scott Free et Big Barda, qui l'accuse de voler son héritage. Sauf que...

Spoiler:

La MotherBox confirme la piste des mondes parallèles, alors que Shilo gère la révélation de sa couleur de peau par les médias, après la bataille.
C'est pas mal, en soi. En fait, je suis intrigué par cet aspect de mondes alternatifs, même si ça fait "facile" finalement, mais surtout par l'approche de Brandon Easton sur la popularité de Shilo qui s'affaisse alors que sa couleur de peau est révélée. C'est intéressant, c'est contemporain, mais ça demande à être plus creusé.
Fico Ossio propose des planches dynamiques, nerveuses, que je trouve plus jolies et efficaces que dans le #1. L'avis est bon, je suis intrigué et le propos social et politique me plaît, mais... ça demande quand même d'aller plus loin, et d'être un peu plus léger sur l'action bourrine qu'on a ici.

Je te rejoins sur Infinity Frontier : ça propose de bonnes choses, de belles pistes mais ce n'est au final qu'un gros clin d’œil.

Je suis content de voir que Roy est traité avec un peu de respect (même s'il n'a pas été autant maltraité que d'autres, ça fait quand même un moment qu'il n'a pas eu l'occasion de briller), même si je ne sais pas trop où ce nouvel arc l'emmène.

En revanche, je suis moi aussi fatigué de ces Crises à répétition, d'autant que Metal était déjà décevant et mal pensé à plus d'un égard. Si en plus ça s'accélère (leur laissant d'autant moins de temps pour réfléchir au projet), on court droit à la catastrophe.

En fait, j'ai l'impression qu'ils suivent un peu le même chemin que Marvel il y a quelques années : toujours plus loin, toujours plus « gros », au point qu'on n'en mesure plus tellement les enjeux tant il y aura forcément quelque chose de pire ensuite.
Non seulement ces événements majeurs se marchent sur les pieds, mais en plus les histoires traditionnelles finissent par donner l'impression de n'être que du remplissage pour gagner du temps avant la Crise suivante. Pas toutes, bien sûr, mais celles qui sortent du lot sont plus l'exception que la règle ces temps-ci. C'est assez malheureux.